Vendredi 13 juin 2008 à 19:54

Quelle journée de merde. (msn bugue)

Vendredi 13 juin 2008 à 18:59

Rahpfoumffniouniouft. J'ai envie de bloguer. Non non, pas d'écrire, mais bien de bloguer. Genre la fille qui a une vie sociale à raconter, des avis sur tout etc. Ouais ouais. On y croirait presque ? Alors dans un super billet (notez que je ne dis JAMAIS billet) prochain je vous exposerai en long, en large et en travers (important le travers) comment je vais pour mener un combat ardu contre les vilains microbes qui continuent d'assaillir ma gorge. Ou alors je vous parlerai d'un rêve. D'une virée à Lille ? D'un concert ? Euh. Bah. Vlà quoi.

... ma vie est tout à fait fascinante.

Vendredi 13 juin 2008 à 9:53

"Tiny Vessels"

This is the moment that you know
That you told her that you loved her but you don't.
You touch her skin and then you think
That she is beautiful but she don't mean a thing to me.
Yeah, she is beautiful but she don't mean a thing to me.

I spent two weeks in Silverlake
The California sun cascading down my face
There was a girl with light brown streaks
And she was beautiful but she didn't mean a thing to me.
Yeah she was beautiful but she didn't mean a thing to me.

Wanted to believe in all the words that i was speaking
As we moved together in the dark
And all the friends that i was telling
And all the playful misspellings
And every bite i gave you left a mark

Tiny vessels oozed into your neck
And formed the bruises
That you said you didn't want to fade
But they did and so did i that day

All i see are dark grey clouds
In the distance moving closer with every hour
So when you ask "was something wrong?"
That i think "you're damn right there is but we can't talk about it now.
No, we can't talk about it now."

So one last touch and then you'll go
And we'll pretend that it meant something so much more
But it was vile, and it was cheap
And you are beautiful but you don't mean a thing to me
Yeah you are beautiful but you don't mean a thing to me [x2]




Jeudi 12 juin 2008 à 20:59

Je devais dormir. Je n'ai pas dormi, logique. Ça n'est pas grave. Du coup j'avais décidé de regarder le début de Lost In Translation, juste comme ça. Sauf que juste "comme ça" avec moi ça marche pas du tonnerre. Surtout quand il est une heure du matin. J'ai regardé le film jusqu'à la fin. Problématique. Deux heures, deux heures et demie, trois heures, trois heures et demie, boire un peu d'eau. J'ai lâché hier soir. Enfin, ça faisait longtemps que je me retenais. C'est même pire que ça, avant je n'avais rien à exprimer. Hier soir c'est sorti, tout seul. Je pense qu'il fallait au moins ça pour que je puisse être totalement libérée. Les connexions se sont faites, se sont imposées et à travers mes larmes j'avais un petit rire minable. Je n'ai jamais voulu être une princesse. Je n'en ai pas l'étoffe : je suis trop imposante. Je voulais être reine. Mais cela implique un roi, pas pour moi donc. J'ai revu ma vision de la princesse et je dois dire que je suis désormais d'accord. De plus je me bats comme une gitane qui aurait appris au bâton. Ça me va.


La fumée, tirer les cartes, 90 centimètres de bois clair, une arme, un délit, peut-être un crime.

Jeudi 12 juin 2008 à 20:23

Bee.                                                   _ Bang bang. dit :
Mon papa te demande si tu es prete a avoir des températures caniculaires

Mymy ~ We Looked Like Giants. dit :
*rambo*

Mymy ~ We Looked Like Giants. dit :
j'espèreeeeeeeeeeeee

Bee.                                                   _ Bang bang. dit :
( et il te dit bonsoir, par la mm occasion )

Mymy ~ We Looked Like Giants. dit :
(*névrosée* en fait j'ai trop peur de ça !)

Bee.                                                   _ Bang bang. dit :
mouhahaha

Mymy ~ We Looked Like Giants. dit :
Déjà qu'il parait que je pourrai pas survivre en jean.. CRY

Bee.                                                   _ Bang bang. dit :
il dit que tu t'inquietes pas

Bee.                                                   _ Bang bang. dit :
pr l'instant on se les gele

Mymy ~ We Looked Like Giants. dit :
Ah bah chez nous on a remis le chauffage en route..

Bee.                                                   _ Bang bang. dit :
c'est vrai que s'il fait chaud, prévois des juuuupes

Mymy ~ We Looked Like Giants. dit :
Mais j'ai PAS de jupes XD

Bee.                                                   _ Bang bang. dit :
bon ça va, chez nous il fait plus chaud que ça qd mm, on a mangé dehors

Mymy ~ We Looked Like Giants. dit :
o_O

Bee.                                                   _ Bang bang. dit :
bah j't'en preterai va :d

Bee.                                                   _ Bang bang. dit :
ça te fera des minis :d

Mymy ~ We Looked Like Giants. dit :
Ah bah si quand vous vous les gelez vous mangez dehors..

Bee.                                                   _ Bang bang. dit :
:p

Mymy ~ We Looked Like Giants. dit :
Ouais, voir si je rentre dedans -_-

Bee.                                                   _ Bang bang. dit :
bah

Bee.                                                   _ Bang bang. dit :
ui of course

Mymy ~ We Looked Like Giants. dit :
LOL

Bee.                                                   _ Bang bang. dit :
mon papa dit que auj yavait QUE 29° (a)

Mymy ~ We Looked Like Giants. dit :
ARG

Bee.                                                   _ Bang bang. dit :
héhéhé

Mymy ~ We Looked Like Giants. dit :
Le Papa de Bee pourrait-il me faire une place dans son congélateur, en fait ?


Jeudi 12 juin 2008 à 15:20

IL EST VIVAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANT !!

(pour pousser un cri de joie pareil je parle bien sûr de mon portable)

Quel pied d'entendre à nouveau cette petite sonnerie si délicate pour les messages... Non, le nokia indestructible c'était pas mon truc. Mais maintenant mon Samsung a lui aussi gagné l'appelation indestructible, vu tout ce que je lui ai fait subir pour le réparer.

Jeudi 12 juin 2008 à 12:13

Entre le Nuage des filles qui organise une soirée parisienne (à laquelle j'aurais donc peut-être pu aller) le 17 juin (un peu trop tard à mon goût) et deUs qui est en concert à Maubeuge (c'est génial d'habiter le Nord, comme c'est un département grand et actif il y a toujours quelque chose, mais comme c'est un département grand, y'a toujours un problème de chauffeur), ajoutez à ces deux sorties annulées avant même d'être prévues, mon angine qui ne décolère pas, et vous comprendrez que j'en viens à me demander si je n'ai pas la poisse. Par hasard.

Mercredi 11 juin 2008 à 19:14

Je veux bien les croire sur parole. Ca n'est pas ça qui va me bouffer. du moins, je ne pense pas. Je finirai juste par êter fatiguée, à un moment ou à un autre j'arrêterai de courir pour traîner des pieds.

Sauf que... Est-ce vraiment ça le plus important ? Je n'en suis pas persuadée... Le plus important n'est peut-être pas non plus la fin d'année, les adieux, les souvenirs et les cadeaux. On met tout ça sur pause. On reprendra plus tard, si on a le temps. On c'est un con, oui. Mais je n'aime pas écrire à la première personne du pluriel. Même si c'est pour se tourner vers le futur. Parce que qu'est ce qui m'assure qu'il est meilleur que le présent ? Que le passé ? Ce passé que j'ai d'ailleurs décidé de passer sous silence. Alors pour le moment chut. Faut peut être arrêter les dégâts là. Arrêter de croire. De vouloir. De vouloir croire. De croire vouloir. Bien sûr. Sans être pessimiste pour autant, juste une dose de réalisme. Faire le point, avec quelques élements, seuls ceux qui sont à portée de main. Sans voir avant, sans voir après. Un simple gros plan. Flouter le fond du décor. Appuyer sur le bouton de l'appareil photo. Histoire d'immortaliser. Fixer l'image jusqu'à la voir encore en fermant les yeux. Cette volonté stupide, probablement, de préférer la garder dans l'esprit que sur du papier glacé. Pour continuer, vivre avec. Ca doit être ça.

Au final j'y reviens toujours. A attendre. De pouvoir ouvrir les yeux sans crainte. Les "en attendant" ont tendance à revenir de plus en plus souvent. Alors c'est décider de vivre autrement pour posséder une vie, en attendant, justement.

Mercredi 11 juin 2008 à 15:12

J'aimerais pouvoir écrire autant que je le veux. Des trucs qui n'auraient pas grand rapport avec ce que je fais ici. Ou avec ce que j'essaye de faire. C'est pire. Des trucs modernes, d'autres acides, grinçants... Mais ça ne colle pas. Ça ne colle pas avec cette atmosphère. Ça ne colle pas avec cette attitude, cette habitude même. Alors j'attends. Je garde tout en tête, bien rangé, ou presque, dans un coin. Et quand... Quand... Ça va faire mal.

(Martijn en a ras-le-bol de mes tics d'écriture, d'ailleurs.)

Mercredi 11 juin 2008 à 14:14

S'ils pouvaient savoir à quel point ils me fatiguent... Ceux qui me manquent, ceux qui ne répondent pas, ou plus, ceux qui m'ont dit qu'ils seraient là et que je vois s'éloigner. Cet été ça va faire un an. Cela fera un an qu'on pouvait me trouver dehors à trois heures du mat, participant en anglais à une discussion qui se faisait en allemand. "But you're a GENIOUS !" et rire en retrouvant cette phrase griffonnée à la hâte sur un menu du snack. Tout de même, c'était un bel été. Et parce que je n'ai pas voulu le prolonger on m'a privée du printemps. De l'été à venir, aussi, probablement. Je suis partie du cas général pour en arriver au cas particulier. Il m'a dit je t'aime. Je n'ai rien dit. Il est parti. Je suis restée. Si j'avais su un jour que  parler de flash me manquerait autant. En fait, c'était en pleurer. Ou presque. De rage devant l'injustice. Parce que je l'ai perdu. Alors vraiment, toi, je ne veux pas te perdre. Surtout que pour une fois que je tombe sur la bonne personne...

Mardi 10 juin 2008 à 17:40

Il ne manquait plus que ça. (Si vous voulez tout savoir : ma gorge est un ganglion et si la population microbienne qui l'habite actuellement pouvait voter aux USA, Obama foutrait une raclée magistrale à l'autre niouf de Républicain.) Sinon, n'oubliez pas que C'est Vicieux Les Nouilles. Très vicieux. Surtout quand ça prend des excitants. On avait pas envie de travailler, en fait. "Ce ne seront pas des vacances !" à propos de ma semaine de révisions. "Pour Margaux si !" mais c'est qu'il est perspicace le Nicolas ! Bref. Fun la spé aujourd'hui. Je leur souhaite juste de bien s'éclater ce soir. Et puis, aussi, information capitale, j'ai envie de dire que Jésus revient et qu'il n'est pas content... Au fait !! Important, beaucoup de choses le sont, en fait. Mais là, tout de même, n'oublie pas... Fais-toi maaal...


[Sympatoches tout de même les ES2...]

Lundi 9 juin 2008 à 22:34

J'ai mal au dos. Je me drogue à DCFC. J'ai trois photos dans mon portefeuille. Faut que j'équilibre : j'aimerais en avoir plus. Aussi. De ces gens qui en veulent toujours. Normalement un gros texte viendra là-dessus. Sur mon vellada il n'y a que quatre mots, marqués au feutre violet. Tout ce que je veux c'est enlever le passé. Quitte à faire mentir le titre de la chanson. Je veux tout mettre au présent. Je veux vivre. Vivre ce présent. Le transcender. Être la fille qui fait rêver, rire, la fille qu'on aime peut-être bien. Comme il y a quelques trois mois ? Parce que j'ai du mal. Pour ça ne fait pas mal d'avoir de temps à autres une aspiration "normale". Même si à cette époque de l'année les pensées et les souhaits se tournent plus vers les examens. Sauf que ça n'est pas mon genre. Il n'empêche que je vous dis "merde" à tous. A certains plus qu'à d'autres. L'an prochain je crois que je vais passer mon temps à faire la navette vers Lille. Je sais pas, une impression comme ça. Demain sujet bac sur le thème que j'aurai obligatoirement, en SVT. Mercredi je dois avoir préparé mon classeur de français. Bien sûr. Demain aussi, aller acheter du crédit. Rendre les livres à la médiathèque. Vendredi je finis. Vendredi j'ai répétition générale. Je dois trouver les costumes. Me préparer. Alors franchement, le bac, c'est si j'ai le temps, ou entre deux portes. Faut avoir des priorités dans la vie. Je regretterai, ou pas.
[Sa voix me manque, en parlant d'entre deux portes.]

Lundi 9 juin 2008 à 20:50

La portière claque cette fois-ci. Et merde, comment il a deviné que j'étais seule chez moi ? Je ne peux pas faire comme si j'étais absente, il sait bien que je suis là, nous nous parlions sur msn il y a deux minutes encore. J'avais zappé msn sur son portable. Enfin, c'est pire que ça ; je n'y avais pas pensé du tout. Nous y voilà : il passe par dessus la grille, j'entends le bruit de métal caractéristique. Il ne perd pas de temps non plus et si j'avais été à sa place j'aurais fait pareil : le cadenas est mis et la sonnette débranchée. L'habitude quoi. Il frappe à la porte. J'ouvre ou pas ? Bien sûr que oui j'ouvre. Un léger moment de flottement. Il porte son sempiternel manteau noir, sauf qu'il n'est pas fermé, et un seul t-shirt en-dessous. Je crois que je comprendrai jamais ça. On reste là, à se regarder dans le blanc des yeux, ou presque. C'est toujours délicat de regarder dans le blanc de ses yeux à lui, enfin, moi j'ai du mal, je suis captivée par la couleur. On ne parle pas. On va s'y mettre. Ou pas. Il s'approche. Et je ne sais pas trop comment ça se fait mais je me retrouve dans ses bras, la tête sur son torse, je respire son parfum. On parlera après. Je veux que ce moment dure toujours, là sur le seuil de ma porte, en ce froid début de janvier.

Dimanche 8 juin 2008 à 22:21

"Company Calls Epilogue "
 
"Synapse to Synapse: the possibility's thin. I'm dressed up for free drinks and family greetings on your wedding your wedding your wedding date. The figures in plastic on the wedding cake that I took were so real. And I kept a distance: the complications cloud the postcards and blips through fiberoptics, as the girls with the pigtails were running from little boys wearing bowties their parent bought them: "I'll catch you this time!"Crashing through the parlor doors, what was your first reaction ? Screaming, drunk, disorderly: I'll tell you mine. You were the one but I can't spit it out when the date's been set. He white routine to be ingested inaccurately. Synapse to Synapse : the sneaky kids had attached beer cans to the bumper so they could drive up and down the main drag. People would turn to see who's making the racket. It's not the first time. When they lay down the fish will swim upstream and I'll contest but they won't listen when the casualty rate's near 100%, and there isn't a pension for second best or for hardly moving.. Crashing through the parlor doors, what was your first reaction ? Sreaming, drunk, disorderly: I'll tell you mine. You were the one but i can't spit it out when the date's been set. The white routine to be ingested inaccurately."

Ce que j'adore tout de même dans ma bibliothèque musicale c'est que mon groupe américain préféré (anglophone ? tout court ?) Death Cab For Cutie, précède directement mon groupe français préféré, Debout Sur le Zinc. Ça me refile des shoots de bonheurs musicaux, c'est assez impressionnant.

Je rappelle d'ailleurs que Death Cab est en concert et que l'ayant dit à cette
demoiselle mais n'étant moi-même pas disponible à cette date (argh ou pas), elle
cherche des gens, sympathiques (de préférence si vous êtes un beau mâle de
vingt ans, en fait) pour l'y accompagner ( le droit de la soutenir lors de son orgasme musical est d'ores et déjà accordé).

NB : si quelqu'un me trouve le nouvel album, je ... Je sais même pas tiens.

Dimanche 8 juin 2008 à 15:53

C'est terrible le bonheur tout de même. Alors qu'on ne demande plus rien parce qu'on passe sa vie à le demander, il nous tombe dessus, comme ,ça. Vlang. Et ça y est. On est heureux. On se prend à parler d'avenir. On se surprendre même à faire des projets, des projets, des photos en couleurs plutôt, des photos sur lesquelles on sourit, en plus de tout. Que demande le peuple ? D'avoir été prévenu, peut-être. Histoire de pas se retrouver comme  un con devant le fait accompli après n'avoir attendu que ça durant tellement de temps. Et ouais, au final on n'est rien de plus qu'une bandes de cons. M'enfin. Vaut mieux être un imbécile heureux qu'un imbécile tout court.

Samedi 7 juin 2008 à 19:59

Quand je tape son nom dans google, mon blog n'est pas dans les premières pages. Ça n'est pas le premier. Comme avant. Et mine de rien, que cela ne me fasse rien me fait un bien fou.

Il était en retard. Comme toujours. Et moi j'étais bloquée avec l'autre Lui dans la gare du Nord.

- Non mais t'inquiète, je vais l'attendre. Plutôt sympa de t'avoir revu.
- J'ai le temps avant le concert.
- Ouais...

- Là tu n'as plus trop le temps.
- Non, et toi non plus d'ailleurs. Tu fais comment alors ?
- Je ne fais rien, il a mon billet.
- Viens avec moi : on t'en achètera un au black.
- J'ai pas de thunes.
- Moi si.
- Je te rembourserai.
- Je sais, tu n'es pas une voleuse...
- ...

Et voilà, c'était reparti pour un tour.

Samedi 7 juin 2008 à 15:08

Si tu sais me dire à quoi rimera ma vie dans un an, je te réponds. Non ? Bah alors. Qu'est ce que tu viens m'enquiquiner entre Arras, Lille et Paris ? Entre la prépa, la fac ou l'école ? Je n'en sais rien. Toi non plus. Alors silence. Tais-toi. Parce que j'ai envie de tout exploser. Voir les autres décider et vivre n'arrange rien d'ailleurs. J'ai juste envie de partir. Donc bon.

Samedi 7 juin 2008 à 0:15

Songer à écrire sur Lui. Sur ces gens, tous, ceux qui le perdent. Qui ne s'en remettent jamais. Qui chaque jour doivent faire face à ses yeux marron/noirs, ses yeux qui ne se poseront plus sur eux. Même pas de haine. Elle est trop proche de l'amour. Non. De la déception et du mépris. Ces personnes ont mal. J'ai mal avec elles. Ca n'est pas normal. Qui a dit qu'il était normal ? Personne n'oserait. C'est juste faux. On paye toujours le prix de l'exception.

Vendredi 6 juin 2008 à 22:20

J'écris trop et je ne poste pas assez. J'écris mal, à l'encre noire sur un bloc-note, affalée dans l'un des sièges du théâtre, ma chanson dans les oreilles. Merci le ipod. Merci le casque. Je peux regarder les autres jouer tout en chantant. Et en écrivant donc. C'est assez étrange. Aujourd'hui j'ai pu faire des photos avec l'appareil argentique que je n'avais pas oublié. J'espère juste qu'elles seront réussies. Aujourd'hui les terminales ont terminé leur année. C'est le cas de le dire. J'en ai serré certains dans mes bras. J'ai eu les boules en les regardant s'éloigner sous la pluie, pour la dernière fois. Me dire que je finirai bien par les revoir, ouais. Mélodramatique tout de même. Je suis repartie avec une enveloppe, quelques mots de l'un, avec son porte-bonheur. De l'autre j'ai eu un bijou. Ils ne sont pas du genre à faire des cadeaux, pourtant. J'étais sans mot. Alors oui. Je les ai serré dans mes bras. A s'en péter quelques côtes. Chacun leur tour ils sont partis. Ils sont passés, comme ça, dans ma vie, depuis mai de l'an dernier. Mon année portera deux regrets, ces regrets portent leur prénom. J'ai intérêt à les croiser dans Lille l'an prochain. J'vous le dis.

Et à côté de ça, il y a tous les autres...
L'an prochain c'est mon tour et tant mieux.
Je ne supporterai pas un départ de plus. Je crois.

Vendredi 6 juin 2008 à 17:59


VLANG.

Voilà, je suis sans Eux.

<< Page précédente | 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | Page suivante >>

Créer un podcast