Lundi 24 septembre 2007 à 21:14

Le carnet se remplit petit à petit et actuellement j'ai presque toujours un livre "classique" en main ou une anthologie de la poésie française. On m'a demandé aujourd'hui si c'était pour moi ou pour les études et et j'ai eu du mal à répondre. Je crois que cela revient strictement au même. Je le fais par curiosité, pour ma culture, et c'est ce qui peut faire toute la différence entre deux élèves.
Sauf que je ne sais toujours pas bosser. Faut pas exagérer. *

J'ai un air de piano en tête, du Chopin, du génie. Et bientôt je l'aurais rejoint, derrière cette vitre teintée d'où le monde semble si ridicule. Le fond de l'air est frais et c'est bien le signe du changement. Je me rapproche de toi à une vitesse affolante mon amour. C'est étrange de t'appeler ainsi ; alors que les "autres" se donnent la main, se tiennent par la hanche, j'attends fiévreusement mon départ. Si cela leur est égal, que dire de ce que j'en pense, il me semble planer au-dessus de leur tête, voir leurs soucis et leurs préoccupations comme d'infimes résidus d'un papier que j'ai autrefois chéri. Mais aujourd'hui il n'est plus rien d'autre qu'un vide, qu'une indifférence.

Lundi 24 septembre 2007 à 19:06

e ne vais pas replonger. Et c'est trop tard j'ai déjà de l'eau jusqu'au cou. Jeudi la boucle sera bouclée. Ou seulement une boucle ? Dire que je travaille actuellement sur l'absence. Non, Bérengère, je ne pense pas que les hasards existent réellement. Ou dans une très petite mesure. Quoique. Notre esprit est pas mal dans son genre lui aussi. Aimer les gens c'est d'une certaine manière se foutre allégrement de leur gueule malgré tout. Me trouver une nouvelle drogue.

"L'absence c'est une ride du souvenir. C'est la douceur d'une caresse, un petit poème oublié sur la table"
                                                                                   
         Tahar Ben Jelloun

Dimanche 23 septembre 2007 à 22:08

Bien sûr, je me suis retournée. C'était l'erreur tellement prévisible que je ne pouvais faire que la commettre. C'est stupide comme fonctionnement, j'en ai conscience et l'exaspération est de ce fait portée à son comble. Quand je passe devant un miroir (il faut toujours passer devant un miroir, pas s'y arrêter) je ne vois pourtant pas "pigeon" à l'envers. Ni à l'endroit d'ailleurs.
Le pire c'est que je ne le regrette pas. Et je ne parle pas du mot sur mon front, non, même si ça non plus je ne le regrette pas.  Je m'y perds, je me complique. Mais c'est comme ça que ça marche aussi je présume.
J'ignore si je suis déçue de ce que je redécouvre. Probablement parce que je me demande encore si c'est une redécouverte, une découverte ou une naissance. Rien que cela.
Je continuer de corriger. Non la vie n'est pas un jeu, alors je ne vois pas pourquoi j'y prendrais du plaisir. On ne se construit pas qu'avec des fleurs et des sourires. Je suis tellement d'accord que cela risque d'en devenir effrayant.


Dimanche 23 septembre 2007 à 21:57

Tu crois pas qu'il est un peu tard pour se rendre compte de tout le mal que tu as fait autour de toi ? A croire que tu cultives l'art et la manière d'être en décalage pour mieux faire souffrir les gens.
C'est ça qui m'insupporte, et qui doit aussi m'attirer dans le même temps puisque je me retrouve sans arrêt dans cette situation.
Aujourd'hui j'ai encore vidé un peu plus mon monde, j'ai supprimé des pans entiers de mémoire pour être moins, comprendre plus. Si c'est ça qui doit entraîner ma chute tant pis. J'ai rangé, trié, jeté, je me suis rappelée à moi-même et les résultats n'étaient pas souvent à la hauteur des attentes. Y'a une grande boîte à chaussures, ou plutôt à bottes, sous mon lit. Encore quelques mois et je la scelle. Ensuite je laisserai passer sept ans, comme promis. Je partirai, en sachant pertinemment qu'on continue de me suivre d'une certaine manière... Cette boîte est elle aussi rouge.

On croit faire au mieux mais en réalité on avance les mains tendues pour tenter de percevoir les obstacles. Le problème qui se pose c'est bien que nous ne sommes pas des chauve-souris et que souvent, on a déjà la face à terre lorsqu'on réalise qu'il est trop tard. Ce qui pourrait sembler logique. Pourrait.

Dimanche 23 septembre 2007 à 17:30

La musique est une illusion. qui rachète les autres.

[Emil Michel Cioran]

Sans la musique, la vie serait une erreur.

[Friedrich Nietzsche]

Je crois que je suis fatiguée.

Dimanche 23 septembre 2007 à 14:53

Pas grand chose à dire. Les mots sont quelque part en moi mais je suis trop fatiguée pour les faire sortir. Ou trop fainéante pour faire cet effort. Au choix. La fête de la grenouille et des souvenirs qui m'assaillent. Wilfried qui m'a énormément aidé lors de la mort de Romain, il y a un an, le jour de cette même fête a eu un accident de voiture ce matin. La voiture a fait des tonneaux. Il était avec sa copine, Océane et une amie, Floriane. Pour l'une un cocard, pour l'autre une douleur au talon. Lui est plus égratigné et a très mal au genoux. Putain de fête.
Sinon deux lampes vintage, des assiettes asiatiques, une écharpe made in Viêt-Nam, un cadeau, et un mec avec qui j'étais en classe de deux à onze ans et que je vois depuis au moins une fois par an qui ne me reconnaît pas. Je vous laisse, je vais bosser.

Vendredi 21 septembre 2007 à 22:16

Je verrais ensuite selon ce que je trouve, mais voici un petit sondage, pour mon anthologie de français : 4 poèmes de siècles, d'auteurs et de courants divers + une chanson + un document iconographique, je prends comme thème : la ville, l'absence, ou la photographie ? En sachant que le dernier je le sens tout de même moins que les autres, mais c'est au cas où vos esprits (oh combien géniaux ) auraient quelques idées...

Vendredi 21 septembre 2007 à 21:39

Une odeur de menthe flottait dans le salon à cause des feuilles que l'une d'elles faisait sécher sur le bord de la fenêtre, au soleil. Après elles en feront du thé selon une recette arabe, ce même thé qu'elles boiront en fin d'après-midi. C'étaient toutes ces vraies-fausses habitudes qu'elles aimaient prendre ensemble. Depuis maintenant quelques mois, elles cohabitaient. Même si elles préféraient les termes "vivre ensemble". Il ne faut pas s'y méprendre : elles ne formaient pas un couple, une parfaite harmonie , voilà de quoi il s'agissait. Peu à peu l'appartement s'emplissait de leurs découvertes mutuelles, de leurs passions communes comme de leurs capacités respectives et souvent complémentaires.
Le tableau était réellement idyllique. Cependant, songez que si cette histoire que je vous raconte est au passé, c'est qu'il y a bien une raison.

Vendredi 21 septembre 2007 à 19:17


Je me sens tellement stupide à pleurer pour cela. Est-ce seulement des larmes de colère ou de tristesse également ? J'en tremble de rage et en regardant mes mains je remarque les traçes rouges, et les griffures, prodondes, qu'il y a fait avec ses ongles. Ca ne m'a jamais fait rire, mais aujourd'hui encore moins. J'ai le coeur lacéré et une voix qui me dit que je n'agis peut-être pas au mieux. Je suis même partie de peur de ne plus savoir me contenir, d'être trop violente, un instant je me suis vue lui briser un bras.  Comment on fait pour en arriver là  ? Et j'ai cette impression de plus en plus forte que mon seul échappatoire, ces seuls morceaux de calme, réside dans ce blog, dans ces quelques mots jetés ni'mporte comment parce que je ne trouve même plus le temps d'être heureuse. Je ne me laisse pas débordée, en fait je ne sais pas ce que je fais. Je me désagrège et le pire là-dedans c'est que j'ignore de quelle manière.

Jeudi 20 septembre 2007 à 22:41

C'est un accord tacite. Sans aucune concertation donc.  Pas même sur la signification de ce geste. Mais s'avancer l'un vers l'autre a été perçu des deux côtés comme une acceptation mutuelle. J'insiste trop peut-être sur la réciprocité de l'action.
Enfin, après tout, c'est le plus important. Qui viendra me le reprocher ? Cela suppose de connaître les valeurs dont je parle, et qui les connait ne peut que les respecter. Il est impossible de faire autrement ; cela équivaudrait à un meutre. Purement et simplement. Ne voyez aucune exagération nulle part.
On a souvent pris les choses à la légère. Le résultat n'est pas beau à voir : nous ne sommes pas prêts.
Il est de notre devoir de remédier à cela. Dans les plus brefs délais. Si on veut encore en avoir un jour. Des délais.

Jeudi 20 septembre 2007 à 22:24

Tu sais, je ne t'ai pas oublié. Mais je ne pouvais pas non plus me permettre de prendre le train pour venir te voir hier. Et ce week-end je n'en parle même pas. Dieu sait pourtant que j'aurais aimé : ton invitation m'a vraiment fait chaud au coeur, alors que je n'ignore pas que ta situation est difficile. J'en suis navrée. Ça ne changera plus et ça ne fait qu'augmenter la distance entre nous. Pourtant, tu vois, je ne t'oublie pas. Même si je le voulais, je m'en crois incapable.
Je suis lasse. Lassée aussi.
Si tout ceci, ces soucis, ces soubresauts, ces souvenirs et ces sourires, n'était pas sans issue. Au moins.
Je me bats avec mes maths. Ils ont déjà failli gagner.
Je suis crevée comme après un combat avec François. Et ça fait du bien.

Mercredi 19 septembre 2007 à 22:43

Voilà, j'y suis. C'est plus la rentrée non. La première ES. Et mine de rien ça a changé pas mal de choses. Est-ce le fait qu'à la maison l'ambiance est désormais studieuse ? Que je n'ai pas véritablement d'amis dans ma classe (rassurezvous, j'en ai bien d'autres dans le lycée) ? Que les notes comptent désormais pour mon dossier ? Je suis incapable de vous le dire. Mais ça a changé. Je me surprends à travailler, à faire des classeurs propres, à recopier mes cours, bientôt à faire des fiches... A travailler oui... Euh. Mymy, on demande Mymy. Je ne me souviens pas d'avoir déjà fait ça. Et en voilà une surprise de taille : ça prend du temps. Ce soir je n'ai fait que des "mises à jour" résultat il me reste des questions d'SVT, des docs de science politique, des définitions d'éco, des axes en français etc etc...
De plus je dois faire une affiche pour le journal, aller à la réunion d'information concernant la troupe de théâtre et faire un entraînement de foot au soir. Tout en sachant que le lendemain j'ai une interro des maths (et que les maths et moi...) et que le samedi c'est mon premier DS, en anglais.
Vraiment c'est bizarre. Suis-je bien dans mes baskets ou pas ? Je penche entre les deux selon les moments et je n'ai aucune réponse précise à m'apporter. L'ordinateur me manque, écrire me manque, Bee, Colombe, Ladypirate et tous les autres me manquent... Romain me manque, bien sûr, encore plus en cette période.
Et à coté de cela je dois aussi vous remercier, encore, parce que j'essaye de le faire à chaque fois de manière personnelle mais je suis en train d'apprendre que je ne suis peut-être pas (plus ?) la wonderwoman que je pensais être. Vous m'écrivez de plus et, si c'est possible, de mieux en mieux. Qu'est ce que je peux vous répondre sans être ridicule, bateau ou totalement niaise ? Pas grand chose. Alors voici une nouvelle tentative. Vos commentaires me touchent à un degré difficilement imaginable, surtout ces derniers temps alors que tout n'est pas facile pour moi, je sens un immense soutien venir de ce blog, tant par les commentaires, les tags et les emails. Alors voilà. On va dire que je radote et je m'en fous. Merci.

Colombe, Ma Val, Mybabou, Piano-Bar, Nelizpuce, Que le Vent Emporte, Raph.à.ailes, Echarpe au Vent, Mainly, Aya, Met.ton.ame.de.lumière, Elfepérigourdine, Clarisse, Emyagony... Je vais en oublier j'en suis sûre.

Surtout, pour tout cela et aux autres qui savent le mériter, vous me connaissez moi et ma constance pour renouveller mes liens, alors donnez moi votre prénom en commentaire, je comprendrai le message.

Bises.

PS : espérez pour mon dossier que ce n'est pas qu'une période. Pour le blog, espérez l'inverse. Alors ? :P

Mardi 18 septembre 2007 à 20:56

Mademoiselle ? Mais elle n'existe plus Mademoiselle. Elle est morte Mademoiselle, effacée, envolée, on ne la retrouvera plus. Sa vie a été trop abîmée pour que l'on puisse en récupérer quoique que ce soit.

Vous êtes arrivés trop tard, elle est partie, il y a déjà de cela quelques temps  Ah ça, je crois qu'elle s'est mal sortie de sa dernière histoire. C'était compliqué vous savez. Elle a tenu deux, trois mois, et puis un matin, comme ça, alors qu'on ne s'y attendait plus, elle a rassemblé ses clics et ses clacs et elle est partie. On peut le dire, cette fille était un drôle de numéro, oh vous savez moi, je dis pas, je l'aimais bien... Mais je sais pas, y'avait un truc d'étrange. Bien polie et tout ça hein, je veux pas médire, elle disait bonjour à chaque fois, en souriant. C'est pas là le problème. Ses yeux par contre. Y'avait toujours quelque chose au fond de ses yeux.

Lundi 17 septembre 2007 à 21:32

Je crois que j'aurais aimé savoir le cimetière vide. Pour avancer sous la pluie, aller le voir sans avoir à penser à la douleur. Ni rien.
Mais voilà, la pluie n'est pas tombée drue, il y avait une acalmie et c'était presque dommage.
Il y avait Marie-Hélène dans l'allée. Et Christian. Mais aussi Françoise, surtout Françoise.
Je ne peux pas la regarder droit dans les yeux, c'est insoutenable. Les larmes coulent et ne s'arrêtent plus. J'ai rarement vu des trucs aussi tristes qu'autant de fleurs au mètre carré. Demain est un autre jour, ouais il paraît.

Lundi 17 septembre 2007 à 21:25

"Huh ? "

Juste une intense envie de lui claquer ma main dans la gueule. Il a de la chance d'habiter à 320 kilomètres, je vous le dis.

Lundi 17 septembre 2007 à 21:22

C'est la question du jour, prenez les paris, va-t-elle ou va-t-elle pas pleurer ? La fatigue se lit sur son visage et la tristesse dans ces yeux, elle reste peu loquace et distribue ses sourires au compte-gouttes. Nous sommes au spectacle : il ne manque plus que les cacahuètes à balançer à l'animal.
Lui faire une caresse de temps en temps parce qu'elle se sent seule cette pauvre bête. Elle se réfugie dans un coin sans même chercher à se cacher un peu. Son indifférence devient mépris. L'observation est désormais lassante, le manque de pudeur ôte tout le charme du voyeurisme. Les bookmakers sont enfin tranquilles.

Lundi 17 septembre 2007 à 18:24

Tu es passé à côté de nous. Pas un sourire, pas un regard, pas un geste dans notre direction. Je ne sais si j'ai été vexée. Tu es passé, voilà tout. Comment va-t-on réagir dans les jours qui viennent ? Parce qu'il va falloir réagir. On ne pourra pas faire autrement. Revenir au point de départ, déjà, et avancer ensuite.

Dimanche 16 septembre 2007 à 20:56

Voilà. Il est midi. Et quelque part en France, à St Amand-les-Eaux plus exactement, dans une salle du Lycée Notre-Dame des Anges, une jeune fille nommée Margaux Rémy se demande à quoi rime vraiment la vie.
Parce que si il avait été un peu plus égoïste, s'il avait demandé à ses parents d'aller directement à la fête, parce qu'ils auraient dit oui, il demandait si peu souvent, il serait toujours parmis nous. Drôle de récompense. Je crois vraiment que cela n'a aucun sens. Oui, parfois on se dit qu'on aurait préféré être à sa place, pour ne pas souffrir de son absence. Mais bon, c'est tellement compliqué. C'est peut-être pour cela qu'on ne nous donne pas le choix. Ce que je sais en revanche c'est qu'il nous manque. Et tout ce que j'ai pu faire c'est m'énerver un peu plus. Alors je repense à son sourire. C'est tellement con, le truc bateau du sourire. Sauf que voilà, c'est lui. Il n'était pas comme ça, pas comme les autres. Sans mépris, sans jugement. Et sûrement que tout ce que je dis est un peu trop idéalisé. Que oui il avait des défauts. Et alors ? Je l'aime et ça, ça ne peut pas changer.

Dimanche 16 septembre 2007 à 20:43

Alors qu'autour de moi tous fêtent les vingt ans de Sébastien moi je pense à ces fameux dix-huit ans où je t'ai rencontré. Je me demande comment les choses auraient pu être plus parfaites. Comment tu aurais pu être plus parfait. En me laissant un numéro ou une adresse, éventuellement. Et encore.
La musique était éteinte et j'avais en tête un air de jazz famillier, c'est bien simple, mes écouteurs étaient cassés. On avait bu, pas peu mais pas trop, on était juste bien, avec une joie teintée d'un peu de mélancolie, comme toutes les vraies joies qui se respectent.
Au fil des heures nous nous rapprochions, jusqu'à finir ensemble, dans un canapé, collés l'un à l'autre. Si, c'était un bon souvenir.
Aujourd'hui je ne sais plus à quel saint me vouer. Je garde au coeur ce court moment. A côté d'autres, et c'est sans surprise que je leur trouve des ressemblances.

C.j.d.c. A.B

Dimanche 16 septembre 2007 à 17:21



Un des côtés exaspérants de Noa - ou de ceux qui font son charme, selon les gens - c'est la façon qu'il a d'arriver toujours au moment où l'on pense être tranquille.  Dans le genre ça peut-être Monsieur Jesuistoujoursenretard tout comme Monsieur J'aiuneheured'avance . C'est Noa quoi. Mais bon, on arrive jamais à lui en vouloir. Pourtant la dernière fois il a fait fort :

*il frappe*

- Noa si tu entres maintenant tu te prends un jet d'eau froide !

Mais Noa entre en même temps qu'il frappe (ne nous demandez pas comment il fait, on a pas encore trouvé)...

- Olaaaaaaaaa

Il s'est donc bien pris un jet d'eau froide dans la figure, parce que l'agencement est fait de telle sorte que la salle de bains donne sur le couloir d'entrée. De plus la douche à un jet qui peut être très puissant. Le voilà donc aspergé (mais il s'est aussi rincé l'oeil... Muhahaha. Hum.).

- Je t'ai déjà dit que je prenais toujours des douches froides pourtant !

Moralités ?
 1°) Frapper avant d'entrer et pas en même temps.
2°) Vérifier que la porte de la salle de bains est bien fermée.
3°) Ne jamais s'endormir avec des amis lorsqu'on est la seule à s'endormir...

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