Lundi 5 novembre 2007 à 18:03

Heure et date d'envoi de l'email : le ven. 02/11/07 01:24
Heure et date d'écriture de l'article : le 04/11/07 à 01:08
Heure et date du pétage de plombs : la minute où j'ai posté l'article précédent.

Comme promis à Ladypirate, je ne déprime pas. Par contre, je l'avais aussi dit, je ne dors pas. Et ça risque d'aller de mal en pis. Je prie J-D de m'excuser pour mon absence notable mais selon toute vraisemblance Martijn m'a refilé son rhume en 5 minutes de webcams interposées. Il étudie les Sciences Politiques en plus de chanter, de jouer dans une troupe de théâtre, de danser et de jouer du piano. Je vais bien. Même si, ok j'avoue, la taille de son bouquin ne me donne pas vraiment envie de m'y mettre. Au Nord-Est chez Martin rien de nouveau [ah ouais, cet article a été écrit hier soir !]. Je crois que je lui ai fait peur. Un grand garçon comme lui c'est malheureux. Je galère pour écrire convenablement tout en étant couchée ! Mais vous vous en foutez vous ! Sauf que voilà, question de principes. Principes qui évoluent d'une manière surprenante lorsqu'il s'agit de ma prise de notes. Au grand dame de mes voisins d'ailleurs. Parce que je dois être la plus rapide des jeunes lycéennes du Nord en termes de prise de notes*. Qu'elle soit bordélique, bourrée de flèches et avec une écriture à faire peur à une instit de maternelle ou mot à mot, linéaire et très complète. Sauf que c'est moins drôle. Sur ce. Bonne nuit les petits. Même si j'espère vous poster ça à l'heure du petit-dèj. [Muahaha, c'est que j'ai de l'humour moi. ]


* ( 5 copies sur le Droit Constitutionnel lors d'un cours Sciences Po' ! *héhé*)


L'heure d'écriture est véridique, d'où les fautes. Et aujourd'hui toujours dans un soucis d'authenticité, je ne corrige pas. Genre, vous me croyez. Merci.

Lundi 5 novembre 2007 à 17:52

Vas-y traite moi de droguée tant qu'on y est ! Je ne te dirai rien !
Et le pire c'est que c'est vrai, je ne dirai rien. C'est con mais c'est comme ça. Je me contente d'attendre, encore et encore, et je finirai même par oublier ce que j'attends. J'en suis sûre ; c'est ainsi que les choses doivent se dérouler. Ou du moins c'est ainsi qu'elles se dérouleront.
Merde merde et merde. C'est donc être si naïve de croire qu'une histoire est différente. Visiblement oui. Pire, c'est être droguée. Pire, c'est être dans une période. J'avoue, je confesse, j'étais dans une période, je croyais que l'on pourrait faire naître du "spécial" à nous deux. Putain mais quelle conne.
C'est tellement simple à dire de cette manière là.

Dimanche 4 novembre 2007 à 21:57

Il faudrait toujours avoir quelque chose à dire. Sauf que parfois on en a pas. Alors je profite (comme à chaque fois) de ce petit passage à vide pour vous remercier.
Parce que, bon, je ne vais pas le cacher, vous savez lire vous même les stats, mon nombre de visiteurs a considérablement chuté. Mais quand je vois le temps que vous passez en ligne, 10 minutes, 25 minutes, 53 minutes ! Bah là j'ai comme qui dirait "le cul comme une théière".
Ca fait tout bizarre de voir ça, et vos compliments, alors que quand j'y songe un peu plus de deux minutes, je me rends compte que vous êtes pour la plupart bien plus âgés que moi. Sans vouloir vous vexer hein ! Je me dis que tout cela ne peut-être que le début.
Je sens que le deuxième anniversaire de ce blog, anniversaire (qui se rapproche à grand pas), ça va encore être quelque chose de formidable pour moi. Alors euh. Voilà.
J'ai toujours été nulle pour les conclusions, mais vous savez ça mieux que moi sans doute.

Mymy, plus que jamais accro aux parenthèses et aux anacoluthes.
Tiens, quand je pense que ma prof de français était surprise que je sache ça.
La pauvre... XD

Samedi 3 novembre 2007 à 22:03

Je n'ai pas oublié. Et maintenant que notre "anniversaire" est passé, je crois que je ne quitterai plus cette peluche. C'est stupide, mais si j'avais pleuré j'ai la sensation que cela aurait été sur cette petit peluche grise.

* Nous sommes allongés sur une moelleuse moquette rouge. A croire que cet endroit a été conçu pour ça, pour nous. On se retrouve à trois, les uns à côtés des autres et ce n'est plus une coïncidence. Il faut admirer le magnifique plafond, les boiseries, les chinoiseries...
Mais j'ai la tête ailleurs. Je me souviens d'hier, je tente d'inventer demain, tout en me délectant d'aujourd'hui. C'était ça, le bon temps.



Samedi 3 novembre 2007 à 21:58

Maintenant c'est juste une enveloppe sur laquelle les adresses sont notées à l'encre noire. Une enveloppe qui a vite été rangée dans un tiroir de son bureau.
Elle est vide ; aucune lettre, aucun mot, aucune image à l'intérieur. C'est pour cela qu'elle est restée ouverte. Mais bien que vide, elle contient une chose inestimable : une émotion.
Du coup, elle hésite, se demande si elle ne va pas tout de même la fermer.
Histoire de.

Mlle Margaux Rémy
2 [....]
59178 [...]

FRANCE

Samedi 3 novembre 2007 à 18:01

YEAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH

Mais non je ne suis pas énervée !! Mais non, mais non ( tututututututut ) ou un peu seulement.
La vie est belle. Si si, je vous jure. Roh, pour une fois que je vous le dis, vous pourriez le croire. Je vous expliquerai tout ça. Je vous jure. Ou pas. Ce soir c'est baby-sitting. Et je tiens à remercier du fond du coeur ma "patronne" qui me contacte toujours lorsque j'ai précisément besoin d'argent. Franchement je ne vois pas comment cela pourrait aller mieux.
Enfin, avec un peu de chance, j'aurais trouvé demain.

Ca c'était avant les vacances hein. Le dernier vendredi. Le dernier jour quoi.

Vendredi 2 novembre 2007 à 21:07

Voilà, c'est fait. Et ça n'a pour l'instant absolument rien changé. Il n'est pas là. A se demander si il a vraiment été là un jour. Si l'ensemble de cette histoire n'est pas un pur produit de mon imagination. Ce serait gros.
Peut-être que j'ai tout dit parce que j'étais la seule à avoir quelque chose à dire...
C'est pénible de voir comment vouloir se rapprocher des gens peut nous éloigner encore plus.
Ne rien attendre : cela évite d'être déçue. Ne pas trouver d'excuses car bien qu'elles soient valables, elles ne sont pas sincères.
Ca arrive aussi, c'est de plus en plus rare mais ça arrive.
Où est le bel optimisme tant promis ?

"Opportunité, nf : chance de saisir une déception."

Vendredi 2 novembre 2007 à 19:07







Nan, mais je ne vois vraiment pas de quoi vous voulez parler !

Jeudi 1er novembre 2007 à 21:49

Au bout d'un moment ça va me retomber dessus.
Je n'ai pas spécialement envie de faire les comptes. Je sais juste qu'il y en aura.
Entre les abonnés absents gentils, les prénoms aux orthographes étranges et les véritables connards abonnés absents également... Bref. Enjoy.

L'indifférence est une arme que les gens utilisent trop peu. Ou à mauvais essient. Pourtant il y en a des choses à faire, à dire. Ou plutôt à ne pas faire, à ne pas dire. C'est un singulier manque de classe en réalité. Il y aurait des cours à donner à ce propos.
Mais je n'ai pas le temps. J'ai des clients qui m'attendent. Enfin, eux ne m'attendent pas vraiment, pas ceux que je vais voir. Ce sont ceux qui donnent l'argent qui attendent. Je ne les considère pas comme mes clients pourtant. Ce sont les joies d'être en free lance comme aime le dire Marine.
C'est gamine est bizarre d'ailleurs. Il faut sûrement l'être pour faire ce job en même temps.
A partir de quand suis-je devenue bizarre ? Ai-je été normale en fait ? Non, je ne pense pas.
Tant mieux.

Jeudi 1er novembre 2007 à 18:37

Même pas un petit peu. C'est vrai quoi. Notre Président s'offre une augmentation de salaire de 140%, j'ai probablement terminé ma cartouche de Malboro made in Spain et je suis en train de m'apercevoir que l'alcool, ce vieil ami, estde moins en moins hypocrite... Traître !
Et qund j'y pense y'a aussi cette salope de cousine qui vient de finir d'user son capital sympathie :"Oh, ta cousine va juste en Suisse, par contre le 24 décembre elle sera en Chine". Moi à cette date là je serai en train de me farcir un repas en famille avec une famille qui m'indiffère de plus en plus.
Zen. Inspiiiiire, expiiiiire. Mon oeil ouais, si ça marchait cette connerie là on le saurait depuis longtemps.
Plus de chocolat dans les placards. Vraiment tout fout le camp. Je vais bien trouver un point positif.
Non, je trouve pas.
Y'a des soirs qu'on aimerait juste ne pas avoir à vivre. Parce que, entre nous, être heureuse pour les autres, de près, de loin, sur le côté, ça n'a jamais été ma tasse de thé.

Si Marie était amère ce soir.

Mercredi 31 octobre 2007 à 22:01

"Quand Alicia compose un bouquet de roses, le monde est suspendu, à ses lèvres et pour cause, elles sont d'un rose, inattendu."

Vous pensez qu'on peut se retrouver si facilement ? J'hésite, ça me semble bizarre. C'est pas que m'éparpiller me réjouisse au plus haut point... Mais c'est ainsi.
C'est offert par la maison. C'est toujours offert par la maison. Je flotte, je suis dans un état indescriptible. Ca sonne faux.
Je traduis des mots qui perdent leur force au fil des jours. Je crois en des idées trouvée au coin d'une rue trop bruyante.
Posé sur le bureau, comme abandonné là, le réveil continue son "tic tac" et rien de tout cela ne me semble réel.

Mercredi 31 octobre 2007 à 18:41

J'ai jamais bien compris ce qui se passait. Mais là il y a un cendrier rempli à ras-bord de mégots devant moi. L'odeur de la clope froide m'insupporte. Dans le genre "les mille et une raisons qui devraient t'inciter à arrêter" oui, c'est dans ce genre là, sauf que non. Je n'arrête pas. Le compte des raisons qui font que je continue, je l'ai perdu depuis longtemps, je ne sais même pas à vrai dire si je l'ai vraiment tenu un instant. Après tout, qu'est ce que ça peut bien vous foutre. Oui, il paraît que je me tue à petits feux. Bah, autant que cela soit comme ça, parce que là c'est un peu une histoire à la Kill Bill : on a oublié de vérifier que j'étais bien morte. Grossière erreur. Messieurs les tueurs à gages, vérifiez toujours, prenez exemple sur ces tueuses qui le font à chaque fois, par cruauté ou par perfectionnisme.  Et encore, "perfectionnisme" est un trop grand mot, c'est l'envie de faire correctement son boulot qui prime.
 Parce que dans tous les cas, laisser quelqu'un à moitié mort ne rapporte que des emmerdes ; vengeance ou vie encore plus difficile qu'auparavant, du coup cette personne répète les mêmes erreurs.
Et le pire, c'est que le meutrier, ou du moins l'apprenti meurtrier, qui reverra cette personne des années plus tard, se voilera la face. Parce que ce n'était pas un homme dans cette voiture, c'était moi. Et même avec un silencieux dont on est sûr, il ya une marge d'erreur.

Mercredi 31 octobre 2007 à 18:30

"Je l'aime, juste mais ça ne suffit ..."

Désolée, mais je t'ai sur le coeur depuis si longtemps. Il faut bien que je finisse par l'écrire. Par mettre un peu d'ordre. Mon seul regret est daté du 15 juin, parce que j'aurais pu te connaître et je crois que cela aurait peut-être évité ce grand gâchis.
Mais après tout ce ne sont que des suppositions que je fais là.
J'ai vu ta photo, un jour, par hasard, sans même savoir que c'était toi, et sans savoir de toutes manières qui tu étais. Pourtant je me suis arrêtée et je t'ai fixée, longtemps. J'ai appris petit à petit ce que cela voulait dire, pourquoi ton sourire, pourquoi ton regard, et il m'a semblé comprendre.
Le reste suivait. Suivit. Et cela bien que d'autres photos soient allées dans un sens contraire.
Tu sais qu'on partage le même prénom ? Enfin, pas exactement, moi c'est ainsi que l'on m'a rebaptisée, après toi j'ai eu du mal à assumer ce prénom. C'est fait aujourd'hui.
J'ai souffert et d'après ce que je devine encore, toi également.
Ca n'allait pas durer. Je connaissais les autres, là depuis plus longtemps, celles qui étaient passées dans son coeur un instant mais restées dans ma tête. J'affirme que c'est une forme de savoir. Un bien curieux don qui était le mien.
Je me trompe ? Je n'en sais rien. L'idéeal serait encore que tu puisses me lire et te reconnaître. N'est-ce pas trop en demander ?
Nous étions des erreurs. Et parce que la vie est parfois vraiment mal faite, ce sont souvent les erreurs qui s'accrochent le plus. Mais que veux-tu. Nous n'y pouvions rien. Tu me dis y être toujours. J'ai quitté cet état d'esprit par la force des choses. Tout en sachant qu'il suffit d'un rien pour me faire replonger. Alors oui j'ai peur. De découvrir des gens extraordinaires autour et d'être limitée à cause de cette erreur et de celles qu'elle a engendrées. Parce que j'en ai découvert de ces gens. Ce sont eux qui me manquent le plus. A partir de là, je n'ose même plus m'essayer à regarder en face l'horreur de la situation.

Mercredi 31 octobre 2007 à 18:17



Elle ne fêtera pas Halloween cette année. C'est la première fois que les cartons remplis de décorations restent au grenier.
L'ambiance n'est pas à la fête, ni même à la tristesse, non, c'est juste la monotonie qui s'est abattue sur le foyer.
On a fermé la grille et on a posé le cadenas. Ce n'est pas non plus ici que les enfants récolteront assez de bonbons pour
augmenter le chiffre d'affaires du dentiste du coin. Dommage pour lui.
Pour eux aussi, peut-être.
Ce soir ils n'iront pas se coucher en même temps, et de joyeux cris ne se feront pas entendre au premier étage parce qu'ils se disent bonne nuit.
Ce soir, chacun dans leur coin ils ressasseront les bons moments, tâcheront d'oublier les mauvais, juste histoire de se dire que la vie qu'ils ont actuellement est trop différente.


Mercredi 31 octobre 2007 à 17:26

Désolée de ne pas avoir posté aujourd'hui, mais il semblerait que ma ligne ADSL soit coupée chaque jour à heure fixe...
Dans à peu près une demi-heure je vais devoir partir faire des courses avec ma mère. Je n'espère qu'une seule chose : ne croiser personne.
Et parce que ma vie est passionnante, si si, et bien j'ai un second blog.
Voilà.
C'est dit.
Sinon je vais bien, merci de vous inquièter.

Mercredi 31 octobre 2007 à 13:03

"famous stars and strap"


Excusez ma curiosité, mais comment vous faites pour tomber sur mon blog en tapant ça sur Google ???

De ces choses qui me dépassent...



Et puis, Happy Halloween il paraît.

Mardi 30 octobre 2007 à 23:40

C'est qu'elles se sentent petites les chounettes ici. Et oui c'est bien fée.no.men. Orgasmiques .. charmantes.. ect.. Mymy qui est une fille géniale a bien voulu nous laisser un peu d'espace ici pour faire notre annonce. Nous réalisons mardi 6 novembre un court-métrage et nous cherchons des figurants, les garçons plutôt beaux et les filles moins jolies que nous sont acceptés chaleuresement. C'est à partir de 14h et vous devez habiter soit la banlieue parisienne soit Paris.
Voilà je la remercie encore, parce que c'est une personne merveilleuse et j'espère ne pas avoir fait trop de taches avec mes fautes.


Ah oui pour les détails veuillez laisser un com ici ou sur fees.no.men.

Merci

Mardi 30 octobre 2007 à 19:34

Je me fiche du reste. Sa voix. Juste sa voix. Et le plaisir qu'il prend à chanter. Sa présence. L'orgueil n'est rien, juste une erreur de parcours, la bêtise aussi. On l'aura un jour notre duo ? Dis ? On l'aura ? Oui.
Entre le Sud et la Hollande il y aura la Belgique.
Elles et eux. Toujours.
Je suis transportée. Et je retourne des mois en arrière. Assise sur un banc j'admire et j'attends mon heure. Oh je n'ai plus de doute : elle viendra.
Les efforts à faire seront faits. C'est désormais une certitude. Avance. Avance aussi vite que tu le peux. Je cours derrière toi, pour te rattraper, pour accélérer ensuite.



Mardi 30 octobre 2007 à 17:25

Not Defined... Parce que ça faisait longtemps. Une petite vidéo de Martjin après quelques bières, à ne pas confondre avec Martin ! L'un est flamand l'autre hollandais. J'aime l'Europe décidément.



Mardi 30 octobre 2007 à 11:19

J'avoue que je ne sais pas trop quoi en penser... C'est étrange ce truc.

Lisabuzz.com parle de Atelier de Métamorphose des Mots :
Le soir, certains vont au cinéma, d'autres au restaurant, d'autres les deux, d'autres regardent la télévision. Moi, j écoute ma radio préférée en lisant et relisant Atelier de Métamorphose des Mots, l'exploit blogosphèrique de Margaux Rémy. Car oui, Margaux Rémy est à l'internet ce que Coco Channel fut à la mode, un exemple, un inspirateur, la grande grande classe.

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