Samedi 13 octobre 2007 à 23:30
Vendredi 12 octobre 2007 à 21:44
Je peux toujours vous parler de la musique dans mes oreilles alors que j'avançais à grandes enjambées vers ma maison, mon sac meurtrissant ma jambe à chaque pas, avec cette unique phrase en tête, et Dieu seul sait pourquoi : "Sex, Drugs and Rock'n'roll".
Je peux vous raconter mes amies, ces gens qui sont loins, trop, pas assez, ces messages, ces coeurs et ces sourires.
Je peux vous raconter les pointillés, les lettres, les conversations, l'anglais, l'espagnol, la danse, le théâtre.
Je peux vous raconter les ennuis, les loupés, les ignorés.
Je peux vous raconter l'après-midi, passée à l'admirer, en train de faire du skate, de se casser la figure, aussi.
Je peux vous raconter la manière dont je suis passée devant lui, un autre, une fois, deux fois, trois fois, parce qu'il était auparavant resté sans bouger non loin de moi.
Je peux vous raconter les films, les rêves éveillés, les observations.
Je peux vous raconter mon regret, pourquoi j'aurais du prendre mon plateau et me lever, pour aller m'asseoir en face de lui.
Je peux vous raconter les bêtises, et comment j'ai finalement changé de place, alors qu'il n'était pas trop tard.
Je peux vous raconter les dilemmes, les interrogations, le bus, la marche, le train.
Les trois.
Je peux vous raconter la balance étrange qui s'est installée en moi.
Je peux vous raconter tout un tas de choses en réalité.
Mais jusqu'ici elles avaient du mal à sortir.
Alors merci Mademoiselle. D'avoir posté ce tag. Qui n'est pourtant je le sais, pas grand chose.
Vendredi 12 octobre 2007 à 21:31
"L'absence est là où le malheur prend forme."
Graffiti de Mai 68.
Et si du malheur naissait le bonheur ? Hein ?
Vendredi 12 octobre 2007 à 19:51
Non ? Tu crois ? Les jours passent et ne se ressemblent pas. Mais au final ça ne change pas grand chose.
Je pense détenir le record de la plus courte prestation réalisée lors d'une audition pour une troupe de théâtre. Résultat : je recommence lundi.
Je n'ai vraiment plus de voix.
L'un ne comprend pas.
L'autre reste distant.
Et le dernier nécessite un combat probablement hors de ma portée.
Jeudi 11 octobre 2007 à 22:27
A part vous montrer cette magnifique capture d'écran de mon bureau (avec les trois détails qui tuent), cet article a pour vocation d'être un appel à l'aide : comment enlever cette putain de barre d'outils que ma mère ou mon frère (?) a mis sur mon bureau... Franchement ils n'auraient pas pu le faire sur le leur ?!? Parce que si je n'ai aucun problème sur le net, j'avoue que je ne passe pas mon temps à m'occuper de la dissection de ma becane, qui de toute manière n'est pas assez intéressante pour ce faire.
Bah bravo. En plus avec cette capture d'écran sur cet habillage ci on ne voit rien. Bref, c'est une barre d'outils mais sans icônes dedans. C'est donc juste moche et ne servant à rien.
Jeudi 11 octobre 2007 à 22:02
Vas-y pour trouver une échappatoire. Ou un. Je crois que les deux sont possibles. Et après tout qu'est ce qu'on s'en fout.
C'est un verre d'alcool enfilé à la va vite dans un bar pas très reluisant. Ce sont des paquets de cigarettes entiers enfilés en quelques heures devant un écran d'ordinateur trop lumineux.
Le jeu est toujours là, malsain et posté en embuscade. Les cernes se font de plus en plus marquées, et les traits restent tirés.
Depuis quelques jours le brouillard a tué les derniers espoirs en s'installant d'une manière qui semble définitive. Mais elle ne l'est pas. Bien sûr qu'elle ne l'est pas, l'espoir ne serait pas désespérant s'il n'en subsistait pas une infime parcelle. On le sait, le reconnaître c'est autre chose.
Seigneur, comment faire pour se tier de là ?
T'es plus là, de toutes manières. Alors. Rien à dire. Rien à foutre.
Jeudi 11 octobre 2007 à 18:55
La phrase était venue toute seule, sans qu'elle eut pris le temps de la réflexion, poussée comme un cri venant tout droit du coeur. Et c'est ce qu'elle était, à n'en point douter ; un cri de rage et de désespoir.
Elle prenait conscience de là où son chemin l'emmenait et au dernier moment, sur la dernière ligne droite, elle s'y refusait. La marche arrière était enclenchée. Elle voulait trouver une autre voie, celle qui lui permettrait de faire abstraction, d'avancer sans avoir à réfléchir.
Elle se refusait un relâchement, un échec : elle n'aimait pas minimiser. La vie devait être grande puisque son appétit était titanesque.
Pourtant cela lui était possible, elle pouvait se le permettre, se dire que pour une fois ça n'était pas grave.
Sauf que voilà, l'orgueil vous comprenez... Et les minutes passant, il ne faisait que croître.
Mercredi 10 octobre 2007 à 20:38
Passer du plus grand des sourires à un visage malade d'ennui sans étape intermédiaire : c'était devenu sa spécialité.
Et cette voix qui s'échappait n'arrangeait rien, elle avait trop forcé et arrivée à ce niveau là, l'incident prenait une tournure quelque peu dramatique. Parce que, cette voix déchirée, devenue grave et rauque, c'est ce qui la rattache à nous. Tendue, fatiguée, crispée, elle s'échappe à une vitesse croissante.
Ecouter : Three Doors Down.
Il est venu, il me fait sourire...
Mercredi 10 octobre 2007 à 17:35
Le Phaéton d'une voiture à foin
Vit son char embourbé. Le pauvre homme était loin
De tout humain secours. C'était à la campagne
Près d'un certain canton de la basse Bretagne
Appelé Quimpercorentin.
On sait assez que le destin
Adresse là les gens quand il veut qu'on enrage.
Dieu nous préserve du voyage !
Pour venir au Chartier embourbé dans ces lieux,
Le voilà qui déteste et jure de son mieux.
Pestant en sa fureur extrême
Tantôt contre les trous, puis contre ses chevaux,
Contre son char, contre lui-même.
Il invoque à la fin le Dieu dont les travaux
Sont si célèbres dans le monde :
Hercule, lui dit-il, aide-moi ; si ton dos
A porté la machine ronde,
Ton bras peut me tirer d'ici.
Sa prière étant faite, il entend dans la nue
Une voix qui lui parle ainsi :
Hercule veut qu'on se remue,
Puis il aide les gens. Regarde d'où provient
L'achoppement qui te retient.
Ote d'autour de chaque roue
Ce malheureux mortier, cette maudite boue
Qui jusqu'à l'essieu les enduit.
Prends ton pic et me romps ce caillou qui te nuit.
Comble-moi cette ornière. As-tu fait ? ─ Oui, dit l'homme.
— Or bien je vas t'aider, dit la voix : prends ton fouet.
— Je l'ai pris. Qu'est ceci ? mon char marche à souhait.
Hercule en soit loué. Lors la voix : Tu vois comme
Tes chevaux aisément se sont tirés de là.
Aide-toi, le Ciel t'aidera.
Mercredi 10 octobre 2007 à 15:46
Les mots ne perdent pas forcément de la force avec le temps.
On commence par les auditions, on finit par les castings en passant par les voyages... <3
Mardi 9 octobre 2007 à 23:04
Il ne prête pas. Il donne. Parfois reprend. Aime et hait.
Rien d'autre. Pourquoi faire dans la demi-mesure ? La demi-mesure c'est pour
les faibles. Pour les incapables. Lui avait foi. En lui, et c'était le plus
important. Il était inutile de croire en un quelconque supplément. Homme, femme
ou sentiment.
Sur son bureau s'entassent les feuilles de brouillons. Vierges et remplies à la
fois. C'est cela son grand secret. Combler le vide sans pour autant le remplir.
Et ne laisser derrière lui que de longues nuits froides, pleines d'absence.
Si j'avais auparavant un cœur c'est lui qui en a fait ce qu'il est aujourd'hui.
Et ça n'est pas beau à voir.
Pourquoi alors devrais-je ête touchée ? Pas de changements à l'horizon. J'ai eu raison de ne pas baisser ma garde, lui, l'autre, m'a prouvé aujourd'hui que cela aurait été une erreur. Grave.Mardi 9 octobre 2007 à 22:41
Je continue, j'y vais crescendo.
Je joue avec le feu et pour la première fois j'ai peur de me brûler, je retire ma main, comme une bête craintive. D'où vient cette phobie nouvelle ? De l'expérience ? De la vie ? C'est atroce de perdre son courage au fur et à mesure. De sentir les forces nous abandonner parce qu'on veut les utiliser plutôt que les posséder. Malgré toutes les peines nécessaires à leur assemblage. Étrange paradoxe. Comme si nous étions incapables de disposer de nous-même.
C'est un soupir qui s'échappe, imperceptible, et insignifiant. Causé par des ombres, par des envolées, par des déceptions. Mais il ne dure pas. Il ne dure jamais. C'est ainsi qu'il est vraisemblable.
Lundi 8 octobre 2007 à 22:13
Et comme les gens sont souvent surpris par la manière de dire bonjour qu'ont les Français, je veux faire une comparaison. C'est vrai quoi, pareil pour le fameux "french kiss", il n'a rien de vraiment particulier.
Donc ma question d'avant cette explication était : comment dis-tu bonjour ?
Hum. "Hey !" pour certains et la bises pour d'autres. Tu serres la main des mecs je présume ? Oui... Et la bise pour les filles n'est pas automatique ? Non, pour les anniversaires, ok je note. Tiens, c'est différent chez moi ça. Et, euh, désolée de te demander ça mais, pour tpetite copine ? (genre gênée la fille...), parce que c'est bien le genre de questions que je ne me vois pas poser à ta soeur ! Lol.
Ah zut, je dois aller manger, je te parle de suite après ! (c'était vrai ça par contre)
Il me dit oke. Ok.
Mais il n'a pas de petite copine en ce moment...
Hum.
Lundi 8 octobre 2007 à 18:56
Aperçu. Passage. Frôlée.
Et rien. Un vide. Une fuite. Perdre pied et sentir les espoirs s'envoler en fumée. Il y a encore une chance. Dans nos vie perdues il reste encore une chance. Dans trente minutes. Il est 16h24. La tension va aller en augmentant. Un certain malaise va s'installer. Je me mets la pression : il faut devenir quelqu'un. Quelqu'un que l'on désire attendre, de préférence. Je parlais de trente secondes. Ici de trente minutes. Désormais de dix.
Enfin, neuf et trente secondes. Je veux cette avance.
Trente secondes d'avance.
Après trente secondes d'avance.
Un vent. Une bourrasque. Une tempête. Une esquive.
Dimanche 7 octobre 2007 à 23:20
Una amiga dice : "No hay que remover la mierda, porque cuanto más la remueves, más huele", y esta situación está claramente de la mierda en rama. En boca cerrada no entran moscas no tiene ni pies ni cabeza. Le llevo metida en el cuerpo y es para echarse a tremblar. Pienso que estoy muy jodido. ¿ Cómo me ha dado por decir una cosa así ? Desgraciadamente, ya es demasiado tarde. Tengo frío y me muero de cansancio. Pero estoy seguro de que las cosas acabarán arreglándose. Por favor. Van a hacerlo.
Dimanche 7 octobre 2007 à 22:01
Je commence doucement, et donc non pas par l'introduction (pffiu) mais par le chapitre 1 portant sur nos ancêtres les Gaulois. Pauvre Astérix.
"
A mesure que les descendants d'Adam se multiplièrent, ils allèrent peu à peu s'établir par toute la terre. Des tribus parties du centre de l'Asie s'avancèrent vers les pas d'Europe, dès le temps où les enfants de Jacob habitaient l'Egypte. Notre pays fut occupé à l'origine par des peuplades venues de l'Espagne, de la Grèce, de l'Italie, etc.
Au sud étaient les Ibères ; au nord les Belges ; au centre les Celtes, ou Gaëls, d'où le nom de Gaulois donné plus tard à tous les peuples occupant le territoire de la France actuelle, jusqu'au Rhin.
Moeurs et religion des Gaulois. _ Les Gaulois avaient des cheveux blonds, le teint blanc et les yeux bleus. Ils aimaient la chasse, la guerre et les courses aventureuses. Ils étaient idolâtres comme tous les peuples de la terre, excepté le peuple Juif, parce qu'ils avaient perdu la connaissance de Dieu par l'effet du péché. Cependants ils avaient gardé croyance à l'immortalité de l'âme, ce qui ls rendait très braves ; mais ils étaient grossiers et superstitieux, par la suite de l'ignorance dans laquelle ils étaient tombés. Leurs prêtres appelés druides, immolaient des victimes humaines, rendaient la justice et exerçaient la médecine. Ils attribuaient au gui du chêne la vertu de guérir tous les maux. Ils n'avaient pour autels que des dolmens, grosses pierres posées sur d'autres et grossièrement taillées. On en voit en Bretagne.
Des guerriers gaulois se trouvant en face d'Alexandre le Grand, lui dirent fièrement : "Nous ne craignons rien, sinon que le ciel ne tombe." Ils allaient au combat couverts de peaux de bêtes, portant des lances et des massues.
En 390 avant Jésus-Christ, ils prirent la ville de Rome, qui dut leur payer uyne forte rançon. Dès l'an 600, les Grecs avaient fondé Marseille, qui donna aux Gaulois la vigne et l'olivier, en même temps un commencement de civilisation. Les Phéniciens, peuple de marchands, avaient déjà fondé Nismes. Les Romains, venus ensuite, fondèrent Aix, Narbonne et apprirent aux Gaulois le commerce et l'industrie. Mais le métier des armes était toujours ce qu'ils préféraient, et Rome les a souvent rencontré dans les rangs de ses ennemis."
Hum. C'est bien écrit, le style est agréable, je me suis juste retenue de quelques (sic !) fabuleux.
Ahhhh. La prochaine fois nous verrons La Gaule sous la domination romaine.
Je prendrai aussi le courage de vous taper l'introduction, un chef d'oeuvre du genre.
Dimanche 7 octobre 2007 à 15:02
C'est tellement différent, dès que je passe la frontière je le vois, alors si c'était là-bas...
Je voulais remercier Maëva pour sa carte, en provenance du Sénégal : ça fait vraiment chaud au coeur.
Et ce week-end, avec un coeur, deux sourires, une brune du Sud et une blonde de l'Est, avec les autres qui gravitent au tour, avec des riens et d'autres choses, une chanson dans les oreilles, je me sens revivre. Même en allant accrocher le linge dehors.
Ce qui est superbe c'est que j'arrive à nouveau à faire des liens : à Amsterdam il y a des boutiques de champignons hallucinogènes.
Je vais aussi inaugurer le trépied que j'ai pu avoir à la braderie. Tiens, je dois songer à ramener son gilet à la petite Chloée.
Il y a du soleil comme on l'attendait au mois d'août, nous sommes le 7 octobre et je me balade en t-shirt, un sourire aux lèvres. C'est ti pas beau ?
Samedi 6 octobre 2007 à 21:19
C'est un bout de plastique bleu. C'est vraiment pas exceptionnel. Ca n'est même pas beau. Un vulgaire bout de plastique bleu. Et pourtant quand je l'ai vu je me suis empressée de le récupérer au fond de la poche avant de mon sac. Ca n'est pas qu'un simple bout de plastique. C'est le camping de l'Orée. C'est le première soir où j'ai cru, de loin, que je ne pourrai pas aller sur la plate-forme de sport parce que c'étaient trois jeunes pédants, trop sûrs d'eux, que Danielle était la copine de l'un d'entre eux et qu'ils étaient venus entre amis comme d'autres boulets du camp. Et puis non. J'y suis allée seule. Ils sont arrivés. Je suis restée seule. Ils ne parlaient pas français. Les autres ne parlaient pas anglais. Il suffit de ça. Savoir parler anglais. Il suffit de... Dit-on. C'est pas la même chose en espagnol.
Danielle, Casper et Martin donc. Une semaine en tout. Je me suis défoulée comme jamais en jouant, me dispersant, basket, foot, le sport auquel on jouait importait peu en réalité. Il fallait jouer, se dépenser. La finale du tournoi. Les courses. Les lentilles de contact. Les détails.
Des soirées inoubliables. Qui se finissaient sur les bords de la piscine. Ou autour du billard. C'était de l'inquiètude au fond de nos yeux à trois heures du mat. La peur et l'attente.
Les objets perdus, les objets trouvés...
La lettre, écrite à 5 heures du matin. Avec une seule angoisse : ne trouver personner pour lui, euh leur (? ^^') donner le lendemain, après notre départ.
Croiser leur père qui va leur apporter des croissants pour le petit-déj' à onze heures.
Comme une envie d'aller là-bas. En juin. Avant, durant les vacances. Pour quatre heures de train.
Réaliser ce faux-projet complétement fou.
Samedi 6 octobre 2007 à 15:29
"J'attends."C'est si logique. L'expression même de ce qui a été fait, de ce qui se fait, de ce qui sera fait..
Je pense que je n'étais pas loin, sauf que je n'avais jamais songé à mettre quelque mot que ce soit sur des pensées confuses qui m'arrivaient d'ici, de là, de temps à autres, juste par intérêt.
L'attente est-elle une bonne chose ?
Peut-on, nous qui représentant l'extérieur, venir l'égayer, la rendre moins solitaire ?
En a-t-on seulement le pouvoir ? En a-t-on le droit ? Plus qu'un magazine dans la salle d'attente d'un généraliste ?
En attendant, il attend, et j'attends de savoir quoi faire, bien qu'il n'attende rien de moi. Ce qui est normal, peut-être. Ah cette inflexion dans la voix.
Et pourquoi pas ?
Vendredi 5 octobre 2007 à 21:25
hey !!! Fonce !! assied toi en face de lui passe et repasse en face de lui un peut d'amour dans la vie sa fait du bien !! faut prendre les choses en main alors ose et fonce !!!
( sort lui le coup du plateau ... tu prend ton plateau et tu lui rentre dedans :" oh pardon excuse moi je t'avais pas vue..." et lui comme un gentleman : " oh non sa fait rien c'est moi ..." ... c'est beau de révé huhu XD ) Allez zou bonne continuation biZoo"
Ah ! Si seulement ! Mais mon réfectoire est fait de telle sorte que ce type de manoeuvre reste impossible... Mon article parle-t-il seulement de ce refectoire là de toutes manières ? :P
Tiens, et pourquoi les gens commencent à m'appeler "Madame", je reste l'une des plus jeunes des "grandes" blogueuses, au passage !
"et si du bonheur naissait le malheur ? " Hein, c'est vrai ça pourquoi pas ?
si ça marche ds un sens, alors pourquoi pas ds l'autre ?
C'est vrai qu'après avoir connu le bonheur suprème, plus rien ne nous parrait pouvoir l'égaler ... en même temps on n'est jamais trop heureux ... en même temps ... en même temps je devrai peut-être y réfléchir à deux fois la prochaine fois, avant de dire une connerie.
°est sortie parce que les gens commencaient à la fixer méchament°"
Ma chère Sarah ! Je ne sais pas si tu es pessimiste parce que je partage ton point de vue. Le bonheur comme le malheur n'ont besoin que de peu de choses pour naître et se développer, l'Homme est bien assez doué pour finir d'inventer ce qu'il veut (parfois même sans s'en rendre compte) faire de sa vie.
"
Navré !"
Défendez-vous amis blogueurs ! Prouvez votre force : que puis-je faire pour cette %^*£µ*% de barre d'outils ? En tous cas, les ploucs comme Jean ne me dérangent absolument pas, bizarrement...
"
"On y arrive presque [...] Tête en l'air, petits glisés, on se jette, on se lance, entre dans la danse..."
Je l'écoute en boucle. <3 Vas-y, rougis. "
Voulez-vous que je poste la chanson dont parle Anne ?
Comment ça il y a plus de questions que de réponses ? Rohh. Bande de chieurs. Je vous aime quand même va.