Dimanche 14 janvier 2007 à 18:16





Il me fallait mettre cettre phrase ici. Comme ça exactement. Il ne pouvait en être autrement.
C'était important. Pour se souvenir des joies comme des peines. Les unes ne vont pas sans l'autre. Je vis à 100 à l'heure, et je jongle entre les émotions comme certaines peuvent le faire avec des balles colorées. D'une personne à une autre mon état d'esprit sera différent. Ce matin encore une énorme pensée pour Romain. Mais ce n'est pas lui qui occupe mes journées. C'est Eux, tous. Et même les disputes, les mots blessants, les froids et les vides, peuvent devenir positifs. Ils prouvent leur présence. Lorsque j'écoute des plaintes, des problèmes, au fond de moi j'ai un petit éclat qui me permet de garder la force de leur dire que cela s'arrangera, d'une manière ou d'une autre. Que ça ne peut que s'arranger. Parce que malgré tout je vois que c'est un nous. Qu'on a quelque chose de commun. Ca, même après cela restera.
Il nous reste 14 jours avant ton départ. Ce départ c'est d'ailleurs transformé en votre départ. Cela va être très dur, il ne sert à rien de le nier.

Samedi 13 janvier 2007 à 22:55



Y'a des étoiles là-haut.
Tellement loin,
mais tellement belles.

Tu sais qu'il y a aussi des étoiles en bas ? Oui j'en suis persuadée, tu les connais également. Des petites lueurs dans notre vie de tous les jours. Ces petites chose qui paraissent infimes alors qu'elles sont d'une importance capitale. C'est quand elles ne sont pas là qu'on s'en rend le mieux compte. Une nuit sans étoile c'est vide, presque angoissant.
Alors toute une vie. Ces riens qui m'éclairent tu en fais partie. Ca aussi je devais te le dire. Je suis pas une grande scientifique. Ni une matheuse. Comme toi en maths j'ai tendance à faire autre chose. Donc je ne serai jamais une astronome très douée. Mais j'en ai découvert des étoiles.
Et parfois j'ai l'immense plaisir d'en retrouver une dans ma boîte de reception. Ou dans ma boître aux lettres. Dans ces moments là je reçois de la poudre pailletée dans les yeux. Je peux la garder longtemps. Elle fait un drôle d'effet cette poudre. J'ai un grand sourire qui reste planté sur mon visage par exemple. Ce n'est pas désagréable ça change. Parce que nous sommes des étoiles justes accessibles.
Il y en a certaines qui brillent fort fort, tellement qu'elles nous aveuglent, et on ne se rend pas compte de suite qu'elles nous font mal. Et que nous n'irons jamais jusqu'à elles.



Samedi 13 janvier 2007 à 22:34



J'aimerais écrire des mots d'amour
Parce que parler c'est pas mon fort.
J'aimerais écrire des mots d'amour,
Les faire jaillir de mes trois accords, mais
J'ai un peu froid, comme a dit l'autre,
Et ce long frisson qui n'en finit pas.
J'ai un peu froid, mauvais apôtre,
Mon cafard me lâche moins souvent qu'autrefois.

J'aimerais écrire des mots d'amour
Parce que le reste, c'est pas grand-chose.
Je l'ai appris et à mon tour
Je te le livre un peu ; je te propose
De laisser le long du discours
Nos contentieux et les comptes à rebours,
D'oublier le temps d'un refrain
Ce bon vieux réflexe ; moi j'en garde pour demain.

Des mots pour toi mais que je n'dis pas.
Ceux-là.

Quel était le refrain du jour ?
Si je l'oublie, je cède encore.
J'aimerais écrire des mots d'amour,
Jeter l'éponge, un peu, tenter le sort.
Une pause ici pour poser là,
Entre deux conflits, entre deux coups d'éclat.
Une pause pour dire autour de moi,
Mon ami, mon frère, mon amour, écoute-moi.


Samedi 13 janvier 2007 à 22:05

Et ces fille qui me racontent excitées comme des puces comment elles sont allée faire les soldes. Quels vêtements elles ont obtenu à quel prix.. etc.. J'acquiesce, pour ne pas choquer, pour ne pas dérange, je n'en ai pas la force pour l'instant.
Je me laisse porter par les gens, par leurs malheurs, leur petites anecdotes dont ils font tout un plat la vie me submerge sans qu'elle ait une quelconque emprise sur moi. Seules les musiques peuvent encore réveiller  ce que je garde au plus profond, elles n'ont pas forcément de paroles, de reconnaissance avec mon histoire. C'est ce qu'elles ont de merveilleux. Je trouve les clés malgré cela. Des gens me parlent encore. Je les entends, je parle avec eux, mais mon esprit est ailleurs. Il ne doit pas non plus être dans ces quelques mots que je tape. Mes doigts courent sur le clavier et mes yeux fixent le texte mais en voyant au delà. Je suis sur un nuage. Plus rien ne me touche. Je suis endormie ? En ce cas ils font partis de mes rêves. Tous ? Ensemble ? Réunis ? Impossible, même en rêve. C'est donc le monde réel que j'ai à affronter. Le constat n'est pas plaisant. Jamais je n'y arriverai.
Alors le flot continue de me faire avancer au gré de ses humeurs. Ainsi j'arriverai peut-être à vivre ?
En me laissant balloter.

Pour dire aux hommes de ma vie, surtout à ceux que je peux vraiment avoir auprès de moi, que je serai toujours là. Et que lorsque je parle d'un rayon de soleil qui éclaire nos existences, je mens. Vous êtes 7. A tour de rôle soleil et lune.

Il faut écouter Your Hand in Mine avec ça. D' Explosions in the sky.
Là vous pourrez ressentir.

Vendredi 12 janvier 2007 à 22:12

Le Magicien d'Oz est finalement devenu le fond musical de ce blog. Ce n'était pas le but.
Il est impossible de trouver les paroles sur internet. Zut alors. J'ai tellement d'émotions posées sur ses paroles.

Il est magicien d'Oz le mot devient prose..
Il fait du mot une arme de charme

Il lui suffit de prendre les mots de se les appropier et j'en oublie tout le reste. C'est une obsession. Au minimum.


Un parterre de poussières écloses..

Tu viens de ce qu'il reste de toi, des moments cassés que tu sublimes jusqu'à ce qu'ils atteignent un infini que nous ne devrions pas pouvoir imaginer.

Il écrit des vies faites d'argile de pluie, de fragiles comédiens, de mages.

Les gens semblent passer entre tes mains pour finir dans tes textes, puis ils repartent, reviennent, dans un mouvement irrégulier que toi seul contrôle. Ce que tu ne fais même pas.



Tout l'inspire, il m'inspire

C'est pour lui que j'ai écrit la quasi-totalité de ce blog.



Cet article n'est pas fini. J'aimerai décortiquer toutes les paroles, puisque j'y associe une tonne de choses. Demain surement. Et la chanter aussi. Vous la mettre. Peut-être plus tard.
Il me faut d'une façon comme d'une autre les paroles.
Et cette catégorie ose s'appeler "Elle adoucit les moeurs" ? Pauvre fille.

Vendredi 12 janvier 2007 à 21:32

Ca fait 13 pages imprimées depuis Word. C'est ridicule. La démarche aussi est ridicule, aussi bien sur le papier, imprimée ou non, qu'en pratique. 
Dans quoi j'entraîne mon monde ? Cela ne mène nul part.
J'en viens à penser que l'important ce n'est pas tant le but du voyage mais les gens avec qui on l'entreprend.
13 pages, ce n'est pas 12, ou 14, mais treize.

Ca a beau être ridicule.

C'est tellement colossal.                         



bande-son : Le Magicien d'Oz. J'ai trouvé le moyen de la mettre ici. Donc surement un article très prochainnement sur cette chanson qui représente beaucoup de choses pour moi.

(d')humeur : aux questions.

demain : des maths, du foot, des appels et une routine dans laquelle je ne suis pas sure de trouver quelque chose d'agréable. Malgré tout ce que j'ai pu lui dire à ce sujet.


Vendredi 12 janvier 2007 à 21:11

Ce squattage est involontaire. Mais quand je reçois des lettres de Bee.. et des trucs pareils, je ne peux faire autrement. Elle sait pourquoi. (Du moins je l'espère.)
Sur une feuille 21x29,7, quadrillée, grand carreaux, perforée classeur standard. Feuille verte.

*un petit dessin, comme une serrure à l'envers, on un vieux klaxon) " Quand je vois la mer, je ne bois plus la tasse..." (Pauline Croze - Mise à nu ).  [ Je le savais voyons !! ] *un petit dessin, une note*

*cf au dessus, une fleur* Je ne sais jamais commencer mes textes. Je tourne des millions de fois des phrases, des mots, et des idées dans ma tête, je cherche, je trouve, je laisse, je rature, je recommence.
Ce n'est jamais bon. Et je ne sais pas si cela le sera un jour. Ce texte par exemple.
En dehors de la citation, il commence par "Je". C'est horripilant un texte commençant par "Je". J'vais finir par croire que je suis narcissique ! Bref. Après le dévellopement du texte . C'est problématique ça aussi. Souvent j'm'arrête faute de mots. Ou de maux ?! Car c'est vrai.. Si j'étais tout le temps heureuse est-ce que j'écrirais autant ? Est-ce que j'écrirais tout court ? Mes malheures, et mes déprimes nourrissent mon inspiration et mon imagination. Je préfère écrire des choses tristes et être heureuse dans la vie plutôt que l'inverse. Non ? Je crois que je pourrais écrire encore des pages et des pages mais tu finirais par t'ennuyer je pense. ^^'..


J'aurai pu écrire la même chose. Et j'ai failli le faire hier soir. Faute de temps c'est passé à la trappe. La difficulté de ne pas commencer par "Je" et la relation tristesse/écriture.
Cette fille m'impressionnera toujours.


Vendredi 12 janvier 2007 à 19:23

Ce personnage là a été inventé de toutes pièces, à cause d'un  jour d'ennui  trop bien installé.
Il ressort de son coin sombre parce que j'ai besoin de lui.
Oh il ne veut de mal à personne. Bien au contraire.
Pas la folie de croire qu'il sait mieux qu'eux ce qu'il y a de bon pour leur bonheur. Il n'a déjà pas réussi à trouver le sien.
Eparse il s'en va en toutes directions.


Le chemin de chardons,                    le pont suspendu,           et la route en travaux.

IF                                                    A                               NYB





Pas folle...
Entièrement.

   Elle a eu les textes.           
Verdict Lundi ?           

Jeudi 11 janvier 2007 à 22:08

Et je te vole ce qui est peut-être le plus important pour toi parce que je n'ai que ça à portée de la main. Nous faison preuve d'une hypocrisie remarquable.
Je ne vois plus quoi dire. J'ai déversé tellement de rage, de chagrin et de souvenirs dans cette chanson.  Que dire enfin sans me dévoiler plus que raison ? C'est plus qu'un dilemne. C'est une danse sans fin dans laquelle on ne peut que s'aperçevoir sans jamais se toucher, sans jamais en arriver à trouver la même cadence.

Nos pas s'inscrivent sans s'effacer et nous les piétinnont un peu plus à chaque mesure.

Mercredi 10 janvier 2007 à 22:12

Ce frisson qui me parcoure l'échine qui s'infiltre et poursuit son ascencion fulgurante jusqu'à ce qu'il ne reste plus rien à glaçer. Est-ce plus beau comme cela ? La question mérite d'être posée. Pas ce soir.
L'échec a été fidèle au poste ce matin. Ta musique suit un chemin direct. Au hasard de ces notes découvertes l'ambiance se retrouve sans jamais s'égaler ni se ressembler. La concrétisation d'un souhait. D'un mensonge éternel par la même occasion. Pourtant je n'en ai pas peur. Il serait complétement irrationnel d'avoir peur de ce qui vous fait vivre. C'est ainsi que la peur s'absente pour laisser place à une angoisse dont la profondeur n'est égalée que par celle que peut atteindre mon frisson. Être rationnelle ne m'intéresse pas. C'est laisser s'échouer trop de possibilités, de chemins à prendre. Tellement se sont déjà effacés derrière moi, eux, nous, elle, lui. Ouvrir les bras avant de laisser s'enfuir ce qui pouvait rester. C'est ne pas avoir assez pensé qui amène au problème ? L'inverse en crée un autre. De deux maux en choisir le moindre. Que faire quand ils se rejoignent ?


Aux dernières nouvelles, un possible retour à la normale demain.
Les siens. (cf catégorie)

Mercredi 10 janvier 2007 à 21:15


Si il le faut. Toujours ma porte d'ouverte.

Désolé.



Mercredi 10 janvier 2007 à 16:46

J'enrage. Je flippe. J'oublie ma rancoeur pour un moment et elle me reprend. Faut-il envoyer paître les derniers voyages ? Créer plus loin, plus haut, plus fous que jamais. N'est ce pas ce dont tu avais envie ? Cette liberté que tu chérissais, chéris tant. Tu crois vraiment que le destin en fait partie ?
Il n'y a que vous qui semblez pouvoir m'y faire croire. J'y ai repensé hier soir. Tellement besoin de m'accrocher à ça pour tenir. Et ton culot insensé, flatteur, amusant, et surtout confiant.

"...."











Tu m'as dit où je serai dans dix ans. C'est la seule chose qui me donne encore le courage de vouloir y parvenir.
Bien que je ne l'ai jamais désiré cette place.
Les gens pèsent tellement sur vous. Avec leur confiance.
Pas la tienne. Elle, elle me porte.
Dis moi que là-bas je te retrouverai. Que je ne serai pas seule.
Achève de me convaincre.

L'enfant doit grandir. Veut grandir.
Mes ses parents restent ses parents.
Envers et contre tout.

Mardi 9 janvier 2007 à 21:40

Je viens de le décider, ce sera comme ça . /
Quand mon nouvel habillage sera bel et bien fini, je supprime l'ancien.
Il commence à me pomper l'air.
Article pour ne rien dire ?
Yeap, j'en profite puisque je le peux encore.

Mardi 9 janvier 2007 à 21:35

Pour en revenir aux bonnes vieilles habitudes, un article posté pour moi par un tiers.
Merci aux personnes qui ont félicité le nouvel habillage, mais je radote : je suis toujours à la recherche de quelqu'un pour réparer mes bêtises...
Je risque de ne pas beaucoup poster, bien qu'ayant un service de posteurs très efficace, cela va devenir compliqué.
Quand je parle de fatigue vous pouvez me croire j'ai l'impression de porter le monde sur mes épaules. (référence type sur Atlas, fort mais pas futfut) Je ne porte que mon (mes) monde(s) mais j'ai le dos fragile et la masse n'est pas insignifiante.
Vous m'excuserez donc, j'espère, de ne pas répondre à tous vos tags, commentaires, emails, je me rattraperai dès que je le pourrai.


1000 Bises x2
François & Mymy
Enfin Mymy, mais François.

Mardi 9 janvier 2007 à 18:05

Sur un bloc-notes bien fourni dont le nombre de feuilles va aller en s'amenuisant.
Qui a déjà fort bien diminué en fait.
J'écris au stulp noir. Depuis plusieurs jour c'est ce régime et pas un autre.
Et je ne peux pas poster. Alors que je pour une fois on peut trouver une certaine continuité dans les textes. Bref.
Ce matin j'étais prête. A l'exception d'une chose : j'avais oublié mon argent.
Ce n'est donc pas encore aujourd'hui que je te rejoins dans ta parure quotidienne.
Et puis du français, de l'anglais, et bien sur un DS d'SVT.
Sortir des cours, oublier toutes les notions qui tourbillonnaient dans ma tête. En espérant qu'elles vont y tourbilloner. Ce qui est certain c'est qu'après donc, j'irai prendre des photos. J'aurai ma veste, mon écharpe, je n'aurai pas oublié mon argent, et le reste.



La nouvelle et le script, les textes aussi.
A imprimer. A donner.
A ma prof, à mes profs.

                Et puis taper les textes.                                  
Qui seront dans le désordre.     
Fatiguée en général.
Alors pour trier...                                    

Mardi 9 janvier 2007 à 17:59

C'est vrai après tout, personne n'est sur de rien.
C'est ton enfance qu'à travers ces barres chocolatée hypercaloriques j'essaye de trouver.
Au réveil ma première pensée vagabonde et s'évapore dans des contrées lointaines et merveilles où je n'ai jamais mis les pieds.

Elle riste immobile. Sans rôle à jouer dans cette affaire complexe. Regarde t'elle seulement le spectacle ? J'en doute.

Pourtant j'ai découvert quelque chose à son sujet : "mes meilleures amies"

Elle n'en a pas le moindre soupçon, pitoyable.

Je m'en veux de m'être arrêtée à ce mois. Mon nom n'apparait pas. J'en suis un peu déçue ? Ce n'est ps dit. Je préfère ne rien entendre plutôt que de savoir ce qui va me démolir une nouvelle fois.

Lâcheté ou courage ?

Y répondre ou pas ?



Mardi 9 janvier 2007 à 17:44

Waou !

Ils sont tous malades. Je les aime tous pour ça.

Mardi 9 janvier 2007 à 17:42

J'aurai pu juste oublier, enfouir ça quelque part, un souvenir que l'on ressort entre copains copines les soirs un peu trop gais. C'était possible.
Ce ne serait ni devenu un conte de fées ni une histoire cauchemardesque. Entre les deux. A l'endroit dont on ne se préoccupe pas. Le milieu. Le médiocre ?
Impossible. C'est ce que tu me fais haïr chez les autres.
Comment alors tenter d'atteindre ce niveau sans offenser l'image que je me suis faite ?
Etrange, ce soir, et depuis longtemps en réalitée, je ressens un apaisement.
J'ai abattu mes cartes, les unes après les autres et chacune a été irrémédiablement balayée d'un revers de main que j'ose encore parfois croire accidentel. On ne supprime pas ce à quoi on attache aucune importantce.

Ce n'est pas un apaisement. C'est un vide.

Dimanche 7 janvier 2007 à 14:54


Je sais maintenant à peu près ce que je veux faire comme designs. Le "en travaux" a un peu évolué, mais comme c'est le dernier jour des vacances et que j'ai une flemme horrible je ne l'ai pour l'instant modifié qu'avec le module. Rassurez vous donc ça ne restera pas comme ça.
Un autre est en train de naître dans mon esprit (si si je vous jure ce n'est pas qu'un désert aride) il sera assez spécial. Mais j'y tiens beaucoup. Lors de sa réalisation le blog passera peut-être en mode sécurisé avec un mot de passe. Pour faire les choses correctement.

 Ensuite je tiens encore à dire merci à tous les gens qui postent des commentaires et des tags. D'ailleurs merci aux personnes qui viennent ici tout simplement. Pour le mois de Décembre 2006 nous n'étions pas loin des 2000 visites... je dis waou !! ( Kezox sera assez aimable pour ne pas ramener ses 11000 visites dans ma face ici ! )

En résumé, au lieu de bosser je fais joujou ici. Pas bien. Ouais je sais. Ouais je m'en fous.

D'autres questions ?

Technorati Profile

Samedi 6 janvier 2007 à 23:00



Envie de me casser dans un appart enfumé dans Lille. Les saladiers sont remplis de paquets de cigarettes et de briquets. Des narguilés, des coussins dans tous les coins. Les bouteilles qui circulent et se vident à une vitesse impressionnante même pour nous. Le lendemain se réveiller sans vraiment savoir ce que je fous là, qui est avec moi et autres considérations futiles et ne pouvant que me pourrir la journée. Rassembler mes affaires qui se sont éparpillées un peu partout dans les pièces sans que je sache vous expliquer comment. Enfiler mon manteau, mes gants, récupérer deux/trois indispensables qui ont échappés à la nuit bien agitée et repartir plus tôt que les autres. Laisser une vague impression d'amusement flotter sur le souvenir de ma soirée. M'éloigner en me les gelant vers l'endroit où je devais passer la nuit. C'est moi la silhouette qui se sépare du noir des rues que par la tache blanche qui lui sert d'écharpe. L'écharpe c'était à la base pour mes cordes vocales. Très délicate intention. Un cadeau aussi utile que beau. Mais de toutes manières ma prof de chant piquera une crise jeudi midi.

Et c'est comme ça que j'aime ma vie.

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