Lundi 17 mars 2008 à 21:42

J'ai la tête pleine de coquelicots. Il ne faut pas me demander pourquoi. J'ai aussi des notes et des mots qui se faufilent dans mes pensées. Elles s'amusent et jouent à cache cache. Pourquoi pas. Ca me fait fourire. Fou rire. Pour sourire. Comme quand j'étais petite, avec un cheveux sur la langue. Beaucoup plus que le léger que j'ai encore parfois. Il est là mon troisième lapsus de la soirée. Fourire. Mais je le trouve joli. S'en fiche. Et trouver le reste joli. Je retourne dormir. Je retourne rêver. Je vous prie de ne pas m'excuser.

Dimanche 16 mars 2008 à 18:39

J'ai les cheveux en pétard et le cœur en morceaux. Tu me rappelles comment tu as fait pour que j'en arrive là ? Parce qu'en fait j'ai essayé d'oublier et j'ai pas réussi. C'est embêtant. Je dirai même que ça fait mal. Oui, je veux bien une cigarette, merci. Non, c'est bon j'ai toujours mon briquet. Ouais. Il en a vu de toutes les couleurs lui aussi. Depuis quand tu fumes ? J'ai des souvenirs de toi mâchouillant le cigarillo mais c'est tout. Tu vas me dire, je n'ai plus beaucoup de souvenirs de toi. Y'a pas longtemps j'ai essayé de me rappeler ta présence, dans notre maison. Et j'ai pas trouvé grand chose. Rien de flatteur. C'est grave, ou pas. Je me souviens vaguement de toi quand nous avons fait le voyage jusqu'à Paris, à deux. Quelques petites choses de la hutte aussi. Sauf que voilà, dans ma vie quotidienne, niet. Que dalle. On dit souvent que les filles basent leur image de l'homme idéal sur l'image qu'elles ont de leur père. C'est mal barré. Surtout qu'aucun de mes grands amours ne te ressemble. Pire : ils te sont tous opposés.

Samedi 15 mars 2008 à 12:37

A plus de minuit enfiler un poncho et un peu parfum. Et vitamine C.
Ecouter le Toi du Moi de Carla Bruni (il est superbe ce premier album...), puis Green Eyes de Coldplay dans un casque rétro. Les dates de l'un, les souvenirs de l'autre. Mais c'est tout.
Ipod, clavier et portable.
Être soi. Et ne pas mettre de photo parce que ça passe au dessus du genoux.
-_-'

Jeudi 13 mars 2008 à 14:20

Ça ne me fait pas rire. Absolument pas rire. Ce matin quand je me suis réveillée, hier soir quand je me suis couchée... Avoir à me poser la question me rend malade. Je tente d'évacuer. Il faut bouger. Il faut devenir quelqu'un d'autre. Encore une fois. Ou redevenir celle que tu étais, pour Samedi. Tu sais que cela ne servira à rien mais tu veux essayer malgré tout. Parce que c'est le futur qui fait tenir les gens. Le présent n'est qu'une attente parmi d'autres. Prendre son téléphone. L'appeler. Ne pas l'appeler. Envoyer un email. Ne pas avoir de réponse. L'appeler. Entendre une voix féminine au bout de la troisième sonnerie. Balancer une phrase et raccrocher. Des foutaises. Un monde de foutaises. Juste un peu plus réelles que les anciennes. Assez pour ne pas réussir à me les enlever de la tête.


All this feels strange and untrue
And I won't waste a minute without you
My bones ache, my skin feels cold
And I'm getting so tired and so old

The anger swells in my guts
And I won't feel these slices and cuts
I want so much to open your eyes
'Cause I need you to look into mine

Tell me that you'll open your eyes

Get up, get out, get away from these liars
'Cause they don't get your soul or your fire
Take my hand, knot your fingers through mine
And we'll walk from this dark room for the last time

Every minute from this minute now
We can do what we like anywhere
I want so much to open your eyes
'Cause I need you to look into mine

Tell me that you'll open your eyes

All this feels strange and untrue
And I won't waste a minute without you


Open your eyes - Snow Patrol

Mardi 11 mars 2008 à 17:12

Faire joujou au clavier.

"I don't know you
But I want you
All the more, for that"


La Ligue des Demoiselles Extraordinaires.

Dijon.
Paris (au moins)
Le Sud


Et peut-être se prendre quelques dizaines de claques dans la figure, si nécessaire.
Sourire. Chanter. Et ne surtout plus s'excuser.

Jeudi 6 mars 2008 à 21:01

"We had always the choice..."

Moi je n'ai pas compris ton choix. Tu n'étais pas obligé. Pas forcé. Je ne demandais plus rien. On peut faire tellement de mal aux gens en voulant à tout prix éviter de leur en faire le moindre. Pourquoi la peur traîne toujours derrière ? Pourquoi faut-il que le doute se sente obligé de ressurgir ? TRouver autre chose. J'ai toujours eu du mal à me contenter. Travailler. Ecrire. Et attendre. Je reste une fille en zone de transit. Pourtant je veux bouger. Avoir un petit peu de neige. Ne pas avoir senti le froid. Rêver. Et mes rêves sont en été. Se réveiller après m'être une bouteille d'eau sur la tête. ëtre immobile, pétrifiée et terrorisée.



Article du 3 mars.
Depuis, je sais que ça n'était pas une blague.
Ecouter des chanson à la con mais qui n'en sont pas plus mal pour autant.

Mardi 4 mars 2008 à 21:47



Noa qui baille devant l'Océan.
Charlotte et son écharpe rose.
La Vendée.

Dimanche 2 mars 2008 à 20:06

Et être bien dans son lit. Ne pas avoir trop chaud, ne pas avoir trop froid. Rester un peu dans son sommeil parce qu'il est beau. Pourtant me réveiller ne me dérange pas parce que la réalité est belle aussi. Mais tout de même, encore un peu de cette douce flemme, de la chaleur des couvertures. 9h35. Il est plus tôt que d'habitude en plus. J'ai toujours la chanson en tête. Je n'ai mal nulle part. Aucun message sur le portable. A part un email. Je souris, la tête enfouie dans l'oreiller. C'est pratique :  je peux rire et ça fait comme un retour. J'éclate de rire, toujours perdue entre les plumes et le drap blanc. Toute la lumière qui passe par le velux. La chambre sent la cire parce que la veille je m'étais enfin occupé de mes meubles. Sur le matelas j'ai entassé des trésors : le ipod, les livres, les miroirs, les cartes, le portable, les fils, les batteries, les boucles d'oreilles... Le clavier lui est posé à terre, de biais. Je refermer les yeux et je bondis en avant. Il ne faudra pas oublier le trépied. Il ne faudra pas oublier les baskets. Il ne faudra pas oublier le DVD. On s'allonge dans l'herbe, le parc près de la tour Eiffel, et on a pas mal à la tête. On aura plus mal à la tête. Jamais. Je frissonne. Je murmure. Tu réponds. Par une question. Je réponds. Je me retourne. Je souris encore. Je repense à la chanson "Raphaël" parce que j'aime le premier album de Carla Bruni.

Il a l'air d'un ange, mais c'est un diable de l'amour,
Du bout des hanches et de son regard de velours,
Quand il se penche, quand il se penche, mes nuits sont blanches,
Et pour toujours... Hmm

J'aime les notes au goût de miel, dans le prénom de Raphaël,
Je les murmure à mon réveil, entre les plumes du sommeil,
Et pour que la journée soit belle, je me parfume à Raphaël...
Peau de chagrin, peintre éternel, archange étrange d'un autre ciel...

Pas de délice, pas d'étincelle, pas de malice sans Raphaël,
Les jours sans lui deviennent ennui, et mes nuits s'ennuient de plus belle.
Pas d'inquiétude, pas de prélude, pas de promesse à l'éternel,
Juste l'amour dans notre lit, juste nos vies en arc-en-ciel, Raphaël...

A l'air d'un sage, et ses paroles sont de velours,
De sa voix grave et de son regard sans détours,


Je vois. Je ne suis pas impatiente. Je ne suis pas jalouse. Plus envieuse. Je suis libre. Mais j'ai hâte.

Samedi 1er mars 2008 à 19:30

Chanter. Chanter. Chanter encore. Avoir mes cycles de sommeil totalement décalés. Encore pire que d'habitude. Ecrire. Penser à cet été. Dormir durant un bac blanc de français. Vouloir être à cet été. Economiser. Croiser les doigts. Améliorer la photo des tracts. Sourire. Ne plus penser. Manger au restaurant ce soir. Partir en voiture. Rire devant les voitures. Changer pour moi. Faire du roller. Boire de l'eau. Faire mes abdos. Lire le mail de Chloé. M'excuser auprès de Valérie que je "loupe".  Lire. Sourire. S'allonger sur le lit. Ne pas avoir mal au dos. Chercher son nouveau numéro de portable. Parler à sa soeur. Parler au monde entier. M'en foutre. Se faire frapper les cuisses même. Rire devant la fenêtre. Passer des mouchoirs en papier. Faire des allusions. Nettoyer mon couteau suisse. Serrer les mains. Les mains chaudes. Les mains froides. Non les mains chaudes. Marcher. Faire des projets. Se voir proposer des projets. Préparer les anniversaires. Mais ne plus avoir confiance en la poste (désolée Anne, désolée Bee). Tant pis. "N'envoyez pas de cartes de voeux aux gens que vous aimez... Allez leur présenter vous-même." Accrocher une pub SNCF au-dessus de mon lit. Sonner. Composer. Jouer.  Bousculer. Souhaiter. Organiser. Avoir les poches pleines de paillettes à cause de l'emballage des chewing-gum. Souhaiter bon courage. Croiser les doigts. Faire de l'accueil. Être Grande. Être la fille Ainée. Oublier. Se souvenir. S'excuser. Rire. Boire du jus d'orange. Ne pas dormir. Tout mettre dans le désordre. Parler. Les aimer. Fermer les mains quoi.

Jeudi 28 février 2008 à 19:21

J'aime bien les listes. Ça m'aide à m'y retrouver. Même si je les perds, si je les tords, les arrache, les déchire, les oublie ou les efface. Faut dormir la nuit. Bof. Je suis retournée sur mon toit. J'ai aimé la nuit, j'avais chaud, l'air nocturne m'a fait du bien. Et j'habite bien le Nord, et nous sommes bien au mois de février, et il était près de trois heures du matin.
"T'es rayonnante." ... Merci mais j'ai passé mon tour.

Et quand à midi je m'endors sur son épaule "Laisse-la dormir.".

Ils sont trop forts. Merci.

Mardi 26 février 2008 à 21:46

Comment font les gens pour avoir les mains chaudes ?

Je pose la question. Vlang, au feutre noir sur le pense-bête tout neuf. S'endormir avec, se réveiller avec et ne pas oser lui poser la question. Ne pas non plus oser lui répondre. Jouer. Chanter. Dormir. Avoir mal. Aussi. Parfois. Les aimer. Tous. Toutes. Parler d'eux. Les décrire. Recommencer. Trier les photos. Passer des heures sur google. "Je suis une maniaque de l'information aux personnes." Si si docteur. Ça n'est pas grave ; vous ferez sans moi. Me contredire. Être paradoxale. Les écarts de température. Se mettre en robe. Offrir son cadeau à Adeline. Ne pas lui dire bonjour. Lui dire bonjour. Qu'ils parlent sans moi. Que l'on parle sans moi. Des phrases à écrire. Pas la force. Pas l'envie. Devoir lire. Ne pas savoir dire oui au bon moment. Non non plus en même temps. Avoir envie. Bien sûr. Ne pas rêver. Ne pas être capable de répondre correctement aux questions. En rêve j'y arrive. Dans la réalité je passe à côté. Recommencer. Je ne suis pas une erreur.

Mercredi 20 février 2008 à 21:35

La retraite de communion... Bon c'était celle de mon frère. A part ça tout fut génial. Vraiment. Soulagement intense mardi matin quand je suis rentrée dans la salle. Beaucoup de rires. Et puis, vraiment beaucoup de rire. On se moque aussi, un peu. Normal quoi. D'excellents moments décidément, de l'ennui également, mais juste assez pour que l'on puisse apprécier pleinement le reste. De ces choses que je vous raconterai sûrement dans quelques mois parce que pour l'instant j'ai tout en tête. D'ici là certains moments plus forts ou plus marquants que d'autres prendront place au premier plan. Je dois aussi avouer que je suis complètement H-S. Mes mains sont encore une fois froides. Tant pis. Tant mieux d'ailleurs. Lorsque je me réveille à trois heures du mat et que je pète le feu je peux me dire que j'ai un problème. Quand une heure plus tard ce même problème me fait rire, toute seule dans ma chambre, je peux me dire que c'est un problème qui vaut le coup d'être conservé. Mon seul problème majeur c'est demain. Saperlipopette quoi.

Lundi 18 février 2008 à 20:21

Demain on commence les retraites de communion. On c'est un con. Oui mais là c'est vraiment on. Je ne sais pas qui sera là. Je ne connais que les absents, et ça m'embête. Vraiment ça m'embête. Tout de même, une force en présence et pas des moindres : mon frère. Ça risque d'être jojo. Not Defined est actuellement en studio : voilà une bonne raison de se réjouir. Du coup je vais leur envoyer un email. J'ignore par contre si j'irai à un concert prochainement. Zut. Journée à la plage. Journée fatigante. J'aime dormir en voiture. J'aime dormir dans les transports de manière générale, qu'ils soient communs ou non. Pacôme a reçu son colis, son cadeau et ça c'est un vrai cadeau. Cette fille est une Magicienne. Margot aussi d'ailleurs. Je n'ai toujours pas de réponse quant à cet été, quant aux Fous Chantants et Montpellier. Tout va dépendre de la décision de la juge. C'est rageant de voir sa vie dépendre de la décision d'un tiers. Bien sûr les choses sont ainsi et on ne peut que s'y résoudre... Il n'empêche que c'est rageant. J'ai pris énormément de photo. Si mon argent ne sert pas à m'offrir un voyage (-_-') il sera placé dans un bon appareil photo. C'est acté. Mes bras tirent, le coup sort et je m'y fais. J'ai des idées, il faut les mettre en place. Me racheter des rollers aussi, mais je vais en parler plus tard. Je ne suis plus vide. Et c'est déjà pas trop mal.

Jeudi 14 février 2008 à 12:34

Je me souviens, et ça me fait rire, d'un échange que j'avais eu avec François, à la sortie du lycée un soir :

- Auf Wiedersehen Ca veut dire au revoir en Allemand.
- Sans dèc ! Merci je savais. (plaisantant)
- Euh, tu pouvais ne pas le savoir hein (étonné)
- J'ai fait deux ans d'Allemand.
- C'est pas juste. Tu as tout fait.

Entre deux il avait un peu rebroussé chemin, parce qu'il s'était avancé de quelque pas dans la rue. On avait encore parlé un peu et puis nous étions partis. Ce sont que des souvenirs simples et courts que j'ai comme ça. Oh, cette année le théâtre c'est vraiment autre chose, c'est peut-être pour ça que je n'ai pas l'impression de manque. N'empêche. Faut que je prenne de leurs nouvelles. Je ne pense pas avoir tout fait. Je pense que j'aurais aimé.

Mercredi 13 février 2008 à 21:15

Ca n'est pas ça le bonheur. Je suis incapable de vous dire si c'est meilleur ou pire. Le fond est peut-être le même.

" Et madame, il est comment votre amoureux ? Non ! Laissez moi deviner. Tu vois Julie, cette jolie fille là elle a quelqu'un, ça se voit. Il est grand. Gentil. Intelligent bien sûr. Super gentleman sûrement. En plus il a une voiture ! Si Julie, il a une voiture tu vas voir. Il est brun. Il a pas des yeux foncés. Il a les yeux bleus. Si. Bleu. Les vôtres sont marron mais étranges. Ils n'ont pas de couleur. Lui il a de beaux yeux. Si.

J'ignore si je suis vraiment amusée ou pas. J'aime ces gars, un peu louches que l'on peut trouver dans une sorte de viennoiserie/salon de thé/café. Au début ça va. Ensuite ça peut devenir lourd. Et surtout je ne sais pas sur quel pied danser.

"Le pire c'est que c'est vrai."

J'ai passé une super après-midi. J'avais oublié mon crayon et mes papiers. Un signe ? Histoire d'en garder un peu pour moi. Bof. Je ne pense pas.

Tu sais à qui j'ai l'impression de ressembler ? A une fille qui me ressemblerait vachement. Et fichtre ça fait du bien !

Samedi 9 février 2008 à 21:28




L'important est invisible pour les yeux.





J'ai bien retrouvé et l'appareil photo, et la housse, et les piles, et le câble.

Vendredi 8 février 2008 à 19:18

Je suis heureuse. C'est grave docteur ? Tu vois j'ai un sourire qui m'arrive sur le visage, paf, comme ça, par surprise. C'est souvent, et surtout c'est pour assez longtemps, il ne part pas de suite. C'est étrange. A 12h50 pourtant j'étais blasée. De quoi je ne sais pas trop. Mais oui, l'analyse était bonne : j'étais blasée. Suffisamment pour être maussade. Sauf que voilà. Paf ! Paf ! Et repaf ! De ces journées qui vous donnent l'impression d'être belle. Enfin. Plutôt d'être de belle humeur. Oui, c'est une belle humeur. Maintenant il faut faire en sorte qu'elle ne retombe pas. Et ce soir c'est pizza. Et c'est msn. Et c'est et c'est. Sourire. Je suis heureuse. On ne touche plus à rien ! Ah si, une ombre au tableau. Qui ne devrait pas être une ombre d'ailleurs. Merde alors. Quoique. Sinon on ne verrait pas la lumière. Non non non ! Je suis heureuse. Je n'aurais pas dû rajouter ces dernières lignes. Bonheur. Bonheur. Plus que ça.

Au fait, quelqu'un a laissé un message adorable sur mon répondeur : qui ?

Jeudi 7 février 2008 à 22:59

C'était un autre choix, parmi tant d'autres, de ces choix qu'elle n'avait pas vraiment faits. Qui s'étaient imposés d'eux-mêmes. Comme beaucoup de choses d'ailleurs. Mais elle ne s'en plaignait pas. Enfin, pas trop. Il lui reste assez de fierté pour garder cachées les supplications qu'elle sait vaines. C'est à dire un nombre incalculable. Faut pas pousser non plus : être logique. Et puis quoi encore ? La seule logique qu'elle pourrait y trouver c'est une certaine concordance entre les événements. La soirée n'avait pas été bonne pour l'une, même si ce n'était pas véritablement cette soirée : elle l'avait appris bien après la rupture. Comme l'après midi n'avait pas été bonne pour l'autre. Toujours de manière rétroactive.




Mardi 5 février 2008 à 20:53

Il fallait parler un peu aussi de ces hommes qui ne changeaient pas ma vie mais qui l'amélioraient. Ils étaient moins nombreux qu'on aurait pu le supposer. C'étaient ceux qui me faisaient sourire avec un simple message, quelques minutes passées sur msn ou le son de leur voix au téléphone. Qui me faisaient découvrir leur musique ou encore mieux me la jouait. C'étaient les guitares, les pianos, la basse, la batterie et les ordinateurs suréquipés. C'étaient les soirées passées devant la télé ou les après-midi à faire du sport. C'était et c'est toujours. Heureusement d'ailleurs.



                                                               


Et puis ce n'est pas celle que je préfère mais elle me fera toujours rire.

Lundi 4 février 2008 à 21:05

Six mots. Qu'est-ce qu'il en a à foutre ? Il a demandé pourtant. Je présume que je devrais en être contente. Ce qui ne m'a pas empêché d'avoir été jalouse à un moment donné. Le pire c'est la résonnance qu'il y avait avec mon texte d'hier soir. J'avais envie de lâcher un "salaud" mais à ma manière, je te hais je t'aime quoi. J'ai détourné la tête une première fois, bêtement. Et plus après. Ca rassure de savoir que je peux toujours accrocher ce regard. Nous serions mille à pouvoir le faire que ça me rassurerait malgré tout.

Et puis la musique viendra plus tard.

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