Samedi 2 février 2008 à 23:14
C'est en ce soir de carnaval que tombent les masques qui étaient encore en place.
Envie d'écouter Newel en écrivant ces mots.
Mardi 29 janvier 2008 à 15:23
« Moi qui toujours sait tout d'avance, je ne vis rien
de palpitant… »
Non, moi ça ne sera pas ça. Je me demande même si moi ce
sera quelque chose. M'enfin, on dit bien que tout vient à point pour qui sait
attendre. Je voulais profiter de ce petit article pour remercier les personnes
qui m'ont souhaité un joyeux anniversaire hier, celle qui voulait le faire à
minuit, celle qui l'a fait à 6H46, celui qui l'a fait à 9h35, ceux qui l'ont
fait par mail, par article, par sms, par cris, et celui qui fut le dernier à me
le souhaiter. Avec tous les autres.
Et ceux qui l'ont oublié également. Mais voilà. Je vais
bientôt aller attendre Hélène et Caroline à la sortie de leur cours de
français. Elles ont LE prof qui fait toujours sortir en retard, et pourtant il
veut que ses élèves soient là cinq minutes avant. Histoire d'avoir une
véritable heure de français. C'est spécial, il faut le dire. Après nous irons à
la médiathèque, je ne sais pas si nous allons y entrer et « bosser »
ou si nous allons rester dehors à discuter, comme la semaine dernière. On me
dit que je tape vite au clavier. Ah bon. Le théâtre c'était quelque chose ce
midi ; ils n'ont pas réussi à enchaîner cinq répliques. Moi il faut que j'apprenne
à me taire. Ne plus avoir envie de parler ce serait l'idéal en fait.
Samedi 26 janvier 2008 à 22:01
Enjoy.
Mon oeil me fait de plus en plus mal.
Je pense à Adeline qui est à l'anniversaire d'un autre Rémi, habillée "classe".
J'aimerais bien voir la tête de Christophe et Rémi en costard tout de même.
Mon oeil me fait mal décidément.
J'ai pas envie de demander son aide.
J'ai donné un cours de maths aujourd'hui.
Comme quoi tout peut arriver.
Effectivement cet article ne sert à rien mais ça fait du bien de taper sur le clavier et de voir les mots s'afficher sur l'écran.
Y'a pas de petites joies.
Nouvelle prise de contact avec Martin.
Je crois qu'il n'y aura pas de live ce soir.
J'ai rêvé d'elle. Enfin de sa voix.
Il paraît que je n'ai pas le sens de l'ironie...
J'ai pris mon pied à faire l'article sur la Tecktonik, alors si vous avez un autre sujet en tête.
Faites-moi signe.
Mercredi 23 janvier 2008 à 14:27
Et bien non : Guillaume Canet n'est pas vraiment mon genre.
Comme quoi.
"Du passé faisons table rase" comme le dit très bien Richard. Alors oui le passé dégage. Je l'ai regardé en face et je ne l'ai pas aimé. Il ne m'intéresse plus. Il n'est pas entier. Voilà, c'est tout. Attention j'arrive ! Enfin, j'essaye.
Et vivement dimanche, aussi.
Mardi 22 janvier 2008 à 19:48
Je crois que ce bureau n'est plus le mien. Il ne l'a jamais vraiment été d'ailleurs ; c'est celui d'une famille, c'est celui des déclarations d'impôts, des jeux de guerre, des bilans d'action. C'était celui d'une famille. On ne retrouve plus tout cela dans l'espace compris entre 2 murs remplis de cartes géographiques, une armoire et une fenêtre. Maintenant il y a l'odeur de la cigarette qui reste imprégnée dans les rideaux, il y a les étagères vides et les étagères trop pleines de papiers administratifs. Je crois que j'en ai marre.
Peut-être est-il temps de changer. Peut-être que l'annonce qui me sera faite lundi sera un moyen d'avancer. Peut-être. Je baigne encore dans l'incertitude.
Je remets la musique en route. Ca me manque, la musique. Comme la danse, comme le judo, comme le sport. Pour ce soir je crois que j'en reviendrai toujours au même problème. C'est d'ailleurs une certitude. Pourtant je vais continuer, parce qu'à défaut d'avancer il faut au moins stagner. Avant de régresser. Ma peur infinie de la régression. Il faudrait que j'apprenne à regarder en arrière pour réussir à me propulser vers l'avant. Histoire de mettre de la distance entre celle que je suis et celle que j'étais.
Lundi 21 janvier 2008 à 17:56
Stupide puisqu'infondé.
Infondé puisqu'inexprimable.
Alors j'ai envie de tenter, d'ouvrir le yeux.
Les miens.
Les siens.
Les leurs.
Ne surtout pas mentir ; il déteste le mensonge.
Je vous raconterai ça bientôt.
Ou pas.
Vendredi 18 janvier 2008 à 20:54
Jeudi 17 janvier 2008 à 21:25
Je ne sais pas pourquoi j'ai l'impression qu'elle se crispe alors qu'elle est magnifique aussi.
De mon côté il y a eu un revirement de situation qui m'a collé un énorme sourire.
J'ignore si je mérite cette confiance plus que lui mais j'imagine que l'on verra ça en temps et en heure.
Les chansons (et non pas la chanson, enjoy it) ont l'air sympa.
A bosser bien sûr, ma tessiture à augmenter toujours, mais j'aime ça.
Yeah.
Alors pourquoi les ailes qui vont avec le rôle n'arrivent pas à battre ?
Ptain.
Lundi 14 janvier 2008 à 19:16
Sinon, entre minuit et cinq heures du mat' il y a de fortes chances pour que je ressemble à ça.
(- le clavier ne rentrait pas dans le cadre-)
Samedi 12 janvier 2008 à 22:59
Cependant la musique reste universelle et c'est une superbe consolation.
Il est temps de remettre les compteurs à zéro.
Désormais pour faire valoir un passé commun il faudra faire vivre mon présent.
Na. D'abord.
Merci à thegrannysmith qui m'a fait souvenir de ma phrase manquante.
Lundi 7 janvier 2008 à 19:29
Lundi 7 janvier 2008 à 7:17
Pis bonne semaine, bien sûr.
Mercredi 2 janvier 2008 à 23:40
Et puis j'en ai eu plusieurs, alors oui, ça peut suffire pour me coller un sourire. Je continue de dire que peu est souvent bien assez. Et c'est tant mieux.
Sur la Grande Place il y a beaucoup de gens, tous emmitouflés, sous au moins trois couches de vêtements, cigarettes ou croustillons, gauffres voire autres en mains.
Je repense à la gare et à cette invitation que j'ai refusée. J'ai bien fait je crois. Oui, j'ai bien fait.J'en attends une autre, et j'espère qu'elle va venir, vite. Le mois de janvier est déjà là, il me surprendra toujours. Seize ans, youpi tralala, et pour l'instant je m'en fiche. C'est le vingt-huit si ça intéresse quelqu'un. La FNAC ainsi que Nature et Découverte quand on a 215 euros d'économie réservés à un été qui va mettre très longtemps à arriver je vous jure que je n'ai encore rien trouvé de plus frustrant.
Si y'a des cowblogs qui veulent tenter de venir du côté de Lille le vingt-sept faudrait peut-être me renvoyer un message pour m'expliquer où, quand, quoi, qui, comment, ça pourrait leur aller le mieux. Voilà. Et puis bonne fin de soirée hein.
Samedi 29 décembre 2007 à 22:00
Cet été Montpellier avec un peu de chance encore ce sera Montpellier. Pour parvenir à ses fins un anglais impeccable aide : de 15 à 20 euros l'heure et ce tous les deux jours durant les vacances au moins. J'aime.
Sinon elle n'a pas répondu.
Lui si, et sa réponse ne me répond pas vraiment. Yeah.
Mercredi 26 décembre 2007 à 11:20
Léa Soufflet.
Elle portait aussi parfois le nom de sa mère, en sus, mais je ne me souviens plus bien... Ça terminait en "y" je crois.
Vendredi 21 décembre 2007 à 19:03
Pas chiante mais un peu ; il le faut bien sinon ça n'est plus drôle. J'ai envie de provoquer et d'écrire à l'encre violette. Les ponts ont vu passer l'eau à toute vitesse depuis cette histoire. Le bout de mes doigts est glacé, j'écoute du Girls in Hawaï et je suis dans un état proche de l'inconscience. C'est le pied.
Jeudi 20 décembre 2007 à 20:26
La journée fut éprouvante ; j'ai mal aux pieds, je suis confuse et triste.
Les trois adresses ne viendront pas ce soir.
L'Ave Maria non plus.
Et il ne faut même pas compter sur la description.
Je suis désolée mais je suis aussi fatiguée, et ça l'emporte.
Dimanche 16 décembre 2007 à 22:45
"You say so sad "maybe" "
Nan, tu crois que je suis sad ? Ohh il n'y a pas de raisons pourtant. T'es un ami infaillible, toujours là pour me faire rire, toujours avec le sourire au bout des lèvres, compatissant, qui t'intéresse à ma vie et tout et tout...
Maybe parce que je ne sais jamais à quoi m'attendre avec toi et du coup j'attends sûrement trop. Je suis fatiguée. Des maths et de l'histoire à faire. De l'anglais dans le meilleur des mondes. Bref. Je suis fatiguée. Quant à triste... Peut-être bien.
Vendredi 14 décembre 2007 à 22:43
Pourtant les émotions reviennent, aussi fortes, et j'ai le coeur qui bat la chamade quand Julie m'en parle.
L'art et la manière de réapparaître au moment où je m'y attends le moins. Dire que j'en discutais il n'y a pas longtemps avec Adeline. Décidément je vais de surprise en surprise. De désillusion en désillusion aussi. Mais un défi, pourquoi pas. Cela ne peut-être que drôle, au minimum. Le revoir, savoir s'il a beaucoup changé, me concernant je ne me pose même pas la question : je sais que oui. D'une semaine à l'autre, alors en six ans. C'est long six ans décidément. Mon passé ressurgit avec beaucoup de force ces temps-ci je trouve. Je dois prendre garde ; ne pas me laisser piéger.
Qui sait, bientôt je reverrai Victor. Ah, vous ne le connaissez pas lui. Adrien non plus quand j'y pense, c'était bien avant nous. Je vous ferai les présentations, histoire de. Je m'en suis souvenue un dimanche matin, comme ça en me levant, en posant les yeux sur un livre. Écrire sur ces garçons au passé comme si mon coeur y était encore. Ça c'est de la thérapie.