Dimanche 9 décembre 2007 à 19:13

Je n'ai rien à faire là mais j'y suis quand même, moi et tous les petits bouts de papiers qui traînent dans mes poches. C'est comme si au bout de deux semaines je me réveillais enfin, je souris et retrouve la forme. Ouf, soulagement général. Mon excursion m'a fait du bien également, retrouver François, Quentin, Anaïs, Julie... Dans mon portefeuille j'ai toujours un trèfle à quatre feuilles coincé dans une grande pochette transparente, accompagné par trois tickets de métro. Ca ma fait bizarre de retomber là-dessus ce soir. Il reste pas mal de choses à faire d'ici les vacances, écrire 1, 2, 3 lettres (un, deux,  trois, c'était mieux à deux... Tu te souviens Cellule-Mère ?), envoyer 1 colis, préparer correctement mes TPE, finir le design commencé chez une certaine demoiselle, mettre les choses en ordre quoi. On va s'y mettre, lentement mais sûrement. Ce soir je commence à rattrapper mes cours, je regarde la télé et je bouge.

Dieu que ça fait du bien.

Edit (juste un petit rappel) : vous pouvez nous aider pour nos TPE en allant à cette adresse sur le tourisme solidaire, ou à celle-ci sur les couples mixtes... Vos témoignages sont précieux et recherchés !

Samedi 8 décembre 2007 à 14:53


My Blueberry Nights


Non mais un film avec Jude Law, Norah Jones et Nathalie Portman, même pas une semaine en salle... J'adore le ciné près de chez moi, si si c'est un vrai régal... Bon courage à tous pour ce week-end qui s'annonce tempête dans mon blaid paumé, et pas que là d'ailleurs. Je défile encore et j'ai une idée pour mes deux ans. Le Papa Noël passera peut-être cette année, et heureusement j'ai une cellule-mère et une Ladypirate parce que sinon ce serait vraiment compliqué.

"Excusez-moi mesdames et messieurs les Nancéens (ça s'écrit comme ça ?) je suis désolé pour ce soir, je pense vous offrir pour les fêtes une boîte de Kleenex car vous allez perdre contre VAFC !!!"

Ceci était un message express de mon frère avec qui je m'entends aujourd'hui. Maintenant je retourne voir Vanille et je range ma chambre. Ciné à Gaumont Valenciennes ce soir dès 19 heures, pour ceux que ça intéressent...

Mercredi 5 décembre 2007 à 11:36

Chut. Tais-toi tu t'enfonces. C'était marrant à voir. Comme les gens ont tort alors qu'ils sont très sûrs d'eux. Il y en aurait de belles à apprendre, à révéler. Mais ça n'est pas le genre de la maison : il faut tout garder pour soi, cacher la vérité et sourire dans son coin en se soupçonnant mutuellement. Au bout d'un certain temps j'en ai eu ma dose. Le scandale c'est pas trop mon truc alors j'ai préféré tourner le dos, j'avais reçu pour ce faire l'enseignement de maîtres en la matière alors oui, ce fut facile. J'aurais pu aider, pas l'envie tout simplement, et je dois dire que j'en étais assez fière de ce manque d'envie.
 Avant de me parler d'honnêteté, je crois judicieux de laver votre linge sale en famille et pour toi d'oser parler à cette fille, cette "amie" commune, lui expliquer les erreurs que tu as commises et dans quelle mesure ton bonheur actuel ressemble étrangement à chacune d'entre elles.

Hier soir j'ai passé une soirée magnifique.
Merci.

Lire ce blog.

Vendredi 30 novembre 2007 à 17:17

Le Flamingo, et un flot de souvenirs à la simple évocation de cette boîte de nuit Belge. Alors que je n'y étais pas, enfin pas dans un premier temps, pas au moment où on m'y attendait. Je suis comme ça, je n'aime pas être là quand il le faut.




C'est qu'ils me manquent aussi ces cons là.
Je veux que la Belgique reste unie.

1°)  Pouvoir aller chercher des trucs moins chers.
2°) Parce que c'est moche de séparer un pays pareil.
3°) Si Martjin devient aussi néerlandais je vais péter un câble.



Mardi 27 novembre 2007 à 12:22

On annule pas Paris, on le vit ou on le fait vivre. Même si c'est un peu plus compliqué que ça. Lorsqu'elle perd son sourire elle s'arrange pour le trouver sur le visage de quelque d'autre, histoire de continuer une route dont elle ne veut pas connaître le tracé. Oublier et recommencer. Commencer sans oublier. Effacer et revenir en arrière. Aller de l'avant et se retrouver derrière soi.
Je ne sais pas si elle a vraiment envie de vous laisser entrer dans son jeu. Elle reste froide et distante tout en étant proche et ouverte. Un millier de contradictions à elle seule.


Si vous n'avez rien à faire, et même si vous avez quelque chose à faire, allez lire la suite du Co-work entre Adrien et Distant-Skies. Parce que. Non pas que j'aime, parce que oui j'aime mais ça fondamentalement on s'en fout. Mais parce que vous allez le lire. C'est tout.

Pendant ce temps, je vais finir mon baton.

Vendredi 23 novembre 2007 à 19:17

Je me demande comment un changement aussi profond et aussi radical peut s'opérer en l'espace de dix secondes, le temps qu'il quitte ses amis pour rejoindre son bus. J'avoue que cela me sidère littéralement.
C'est con, ça partait à la base d'un bon sentiment, d'une bonne soirée. Si nous avions osé directement, peut-être que... Si je changeais la manière que j'ai d'occuper mon temps... Mouais, avec les "si" tout est possible. C'est plus dur de mettre les idées en oeuvres.
Je crois qu'un de ces jours je vais monter et m'installer à côté de lui. Comme ça, simplement, sans rien demander à personne. Parce que je commence à haïr une vitre et que je trouve ça grave.

Jeudi 15 novembre 2007 à 21:23

La pluie qui tape de plus en plus fort contre les carreaux et le chien qui aboit dans la nuit déjà tombée. Voilà pour le décor, et le silence radio s'installe.
Lasse. J'ai trouvé ; c'est un sentiment d'une lassitude infinie qui m'a envahie. J'ouvre la fenêtre alors que dehors il gèle, juste pour le plaisir de sentir l'air froid qui pénètre dans ma chambre. Et puis, cela faisait longtemps que je n'avais pas regardé les étoiles. C'est important de regarder les étoiles : on partage tous les mêmes, ou presque. Le ciel est devenu bleu avec ce froid, non, la nuit n'est pas noire. Je me fonds dans ce bleu là. Comme dans celui de cet oiseau sur le fond noir. Je refuse de faire la distinction, de faire partie de cette distinction.

Revenir à mes premiers amours en écoutant Lonah.

Jeudi 15 novembre 2007 à 11:40

Lights, Archive. 

Arrêter et passer outre les regards incendiaires. Enrouler l'écharpe autour de mon cou et partir plus loin encore. Oublier de le regarder dans le blanc des yeux. Vite, s'engouffrer dans le métro, s'éloigner de cette foutue place. Se poser engin sur les sièges usés et inconfortables. Chasser de mon esprit les fantômes qui y étaient embusqués. Je me suis sortie avec empressement, précipitation même, d'une situation que je n'osais craindre parce que je n'avais pas osé l'imaginer. Je vais finir par me faire haïr et ce qui est génial c'est que je m'en fous royalement. 55 minutes. Encore 55 minutes.

Samedi 10 novembre 2007 à 18:32

C'était tout bête de lui apporter cette double-pédale, mais mine de rien ça a fait ressurgir une tonne de souvenirs. J'ai revu Safia derrière la sienne de batterie, déchainée et déchainante.
Chez les frangins avec Letitza au clavier. Ca me manque. Cette ambiance, ces chansons et ces personnes. Des apres-midi entières passées avec eux, à chanter, à jouer (ou du  moins essayer de), à écrire... Après il y a eu les filles, Julie avec ses emails de folle-hystérique et les soirées à Bruxelles, piano à quatre mains, percus de Sol, j'en passe et des meilleurs, mais ça n'est pas la même chose.
Chanter avec eux me manque. Chanter tout court me manque en fait. S'énerver sur un morceau et finir complétement... Je ne saurais même plus décrire cette sensation. Bref, ça me manque, et quand je les vois se préparer c'est comme un rouleau compresseur qui me passe dessus.



Vendredi 9 novembre 2007 à 21:19

Voilà, il suffisait cela. Ça n'avait pas été difficile, ni même compliqué. Comme une lettre à la Poste, rapide, simple et efficace. La Poste aurait des cours à prendre quand j'y songe. L'heure passe inexorablement et je savoure chaque minute, sans regretter. Tout en ayant ce léger frisson parce que oui, les minutes passent. Chut. J'ai envie d'arrêter, de ne plus songer, de fermer les yeux et de repartir me perdre vers cet instant, qui file sans moi.

Lundi 5 novembre 2007 à 22:16

Je n'ai jamais réussi à écrire le scénario de mes rêves. Et pourtant j'en ai noirci des pages. J'ai d'ailleurs toujours un problème notable avec les temps du passé. La belle ironie du soir/sort. Mon écriture me fait désormais penser à celle de quelqu'un d'autre. Mais je ne saurai trop dire de qui. En fait je crois qu'elle est un mélange d'eux tous ; il me reste au moins ça.
Ainsi qu'une marge à gauche de plus en plus importante. D'après les spécialistes c'est le signe des gens qui ont beaucoup vécu, des choses marquantes. Promis c'est pas une connerie.
PfiuPfiu c'est vrai que le temps passe.





Samedi 3 novembre 2007 à 22:03

Je n'ai pas oublié. Et maintenant que notre "anniversaire" est passé, je crois que je ne quitterai plus cette peluche. C'est stupide, mais si j'avais pleuré j'ai la sensation que cela aurait été sur cette petit peluche grise.

* Nous sommes allongés sur une moelleuse moquette rouge. A croire que cet endroit a été conçu pour ça, pour nous. On se retrouve à trois, les uns à côtés des autres et ce n'est plus une coïncidence. Il faut admirer le magnifique plafond, les boiseries, les chinoiseries...
Mais j'ai la tête ailleurs. Je me souviens d'hier, je tente d'inventer demain, tout en me délectant d'aujourd'hui. C'était ça, le bon temps.



Samedi 3 novembre 2007 à 21:58

Maintenant c'est juste une enveloppe sur laquelle les adresses sont notées à l'encre noire. Une enveloppe qui a vite été rangée dans un tiroir de son bureau.
Elle est vide ; aucune lettre, aucun mot, aucune image à l'intérieur. C'est pour cela qu'elle est restée ouverte. Mais bien que vide, elle contient une chose inestimable : une émotion.
Du coup, elle hésite, se demande si elle ne va pas tout de même la fermer.
Histoire de.

Mlle Margaux Rémy
2 [....]
59178 [...]

FRANCE

Samedi 3 novembre 2007 à 18:01

YEAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH

Mais non je ne suis pas énervée !! Mais non, mais non ( tututututututut ) ou un peu seulement.
La vie est belle. Si si, je vous jure. Roh, pour une fois que je vous le dis, vous pourriez le croire. Je vous expliquerai tout ça. Je vous jure. Ou pas. Ce soir c'est baby-sitting. Et je tiens à remercier du fond du coeur ma "patronne" qui me contacte toujours lorsque j'ai précisément besoin d'argent. Franchement je ne vois pas comment cela pourrait aller mieux.
Enfin, avec un peu de chance, j'aurais trouvé demain.

Ca c'était avant les vacances hein. Le dernier vendredi. Le dernier jour quoi.

Mardi 30 octobre 2007 à 19:34

Je me fiche du reste. Sa voix. Juste sa voix. Et le plaisir qu'il prend à chanter. Sa présence. L'orgueil n'est rien, juste une erreur de parcours, la bêtise aussi. On l'aura un jour notre duo ? Dis ? On l'aura ? Oui.
Entre le Sud et la Hollande il y aura la Belgique.
Elles et eux. Toujours.
Je suis transportée. Et je retourne des mois en arrière. Assise sur un banc j'admire et j'attends mon heure. Oh je n'ai plus de doute : elle viendra.
Les efforts à faire seront faits. C'est désormais une certitude. Avance. Avance aussi vite que tu le peux. Je cours derrière toi, pour te rattraper, pour accélérer ensuite.



Mardi 30 octobre 2007 à 11:07

Se lever avant l'aube et filer chez l'italien à Douai. Prendre note et partir avec Charlotte et Baptiste.
Attendre une heure et demie dans une gare, avoir froid et ne plus sentir le bout de ses doigts. Retrouver Nicolas, presque comme avant et se dépêcher de prendre le métro pour retrouver les autres. Paris. Je suis là, à nouveau et comme jamais, libérée de toi. Ne pas oublier la double-pédale de Thomas. Retrouver François et Quentin après leur entraînement du matin.
Passer faire un petit coucou à Anaïs. Se retrouver chez Antoine histoire de l'embêter un instant.
Dépenser 45€ sur un coup de tête, en fait. Je n'étais pas censée partir ce matin.
Et donc rien n'est prévu. Cette journée est une grande surprise, pour tous, surtout une vaste fumisterie pour me prouver que je peux encore le faire, surtout pour moi. Chut. Ça n'est pas grave. L'important c'est de n'oublier personne. Et n'être obligée de rien. Plaire comme il nous plaît.
Promis, la prochaine fois je vous préviens...
Si j'y pense.


Lundi 29 octobre 2007 à 14:35

"C'est quand tu veux."

Bah écoute, moi je te propose demain, après-demain et tous les jours d'après, ça ne me dérange pas outre mesure.
A partir du moment où l'on considère que rien n'est interdit je ne vois pas pourquoi je me gênerai. Par considération peut-être. Euh... Non.
Je suis décidée pour de bon. Et quand je suis décidée, il est quasiment impossible de me détourner d'un objectif.
Rire comme une folle, seule, pour moi seule, sans appréhension et sans réflexion supplémentaire.

Constat n°1 : j'ai détesté durant un très court instant mon portable.
Constat n°2 : je sens que Jonathan (mon pauvre voisin en cours) va avoir à subir une Mymy plus déchaînée que jamais à la rentrée.
Constat n°3 : tellement que je vous propose un avant/après.



Avant (j'aime autant préciser).

Jeudi 25 octobre 2007 à 21:38

En fait j'aimerais aller la voir samedi et lui souhaiter un bon anniversaire, tout simplement.
Comme si nous nous étions quittées peu après le voyage en Angleterre, ce fameux voyage en Angleterre, comme si nous étions en octobre 2003. Ou même 2005.
C'est utopique, je le sais bien : trois années ont passées depuis, et si nous parvenions à nous retrouver, rien ne dit quelque chose puisse encore nous unir. Exceptés ces vieux souvenirs.
Il faisait froid en Angleterre. Et sans avoir rien prévu nous sommes restées ensemble, comme cela n'était pas censé se faire. L'aquarium, la place, le bus, la maison. Le soir avec Adeline, la brosse à cheveux qui s'éclate contre le mur, les oublis de serviettes dans la salle de bain, la longue nuit emplie de discussions.
Nous étions toutes plus ou moins amoureuses de Kevin, ce Kévin Brousse. Celui qui est parti à Nantes. Je crois que je n'ai jamais autant envoyé de sms que cette année là, vers deux SFR en plus de tout. Vraiment c'était génial.
Le bowling en mars... Inoubliable ce bowling. Avec cet intêret pour les poissons avant de partir, c'est qu'ils étaient fascinants ces animaux là.
Vers la fin ce furent les jeux européens, James Bond... Nous nous sommes quittés ainsi, sur une dernière plaisanterie, sur une dernière emmerde qu'on voulait bien prendre. Il n'y a pas eu de vrais adieux. Il est parti, c'est tout.
Et deux ans plus tard c'est elle qui partait. Parce qu'elle n'a plus voulu y croire, du moins c'est ce que je pense.
On en a jamais parlé non plus.
Encore aujourd'hui j'ai des sensations bizarres lorsque je veux me souvenir de cette époque. Mais une fois que je commence, je ne m'arrête plus.
Les cadeaux de Noël, d'anniversaires, ma fête, la neige, Linda que j'ai enfermé dehors, sa soeur, les Sims, le judo, halloween et Mélodie quoi. Il y a des choses contre lesquelles on ne peut rien.
On est tellement stupide, et maintenant on ne peut plus rien faire.

Mardi 23 octobre 2007 à 21:23

Il n'y a pas de cigarettes dans le cendrier. Il n'y a même pas de cendrier.
L'hiver s'avance et il faut veiller à fermer correctement les portes et la moindre interstice ; pour ne pas laisser le vent s'engouffrer, parce que maintenant le matin est synonyme de gelées.
Les livres sont recouverts de poussière et l'espace se résume en un bordel monstre.
Au milieu des affaires éparpillées sur le sol se perdent quelques souvenirs : des chansons, des mots, des lettres, longues ou pas, des chemises... Des morceaux de tissus qui prennent bien trop de place par rapport à leur importance. Mais bon, ça occupe le vide. Qui n'en est pas vraiment un... C'est compliqué en fait. C'est vide de vie. Chaque verbe se retrouver conjugué au passé, sauf celui ci : prendre.
"Il y a des morceaux de tissus qui prennent bien trop de place par rapport à leur importance." Rajoutons le verbe avoir, pour ne pas être de mauvaise foi.
Et puis, aussi, dans un coin, ou l'oublierait presque, il y a une fille. Pas une fille extraordinaire. Pas un canon de beauté. Pas une intelligence supérieure. Rien qu'une fille. Pas l'une que l'on remarque quoi.
Rien que. Si seulement vous saviez tout... Vous la trouveriez  exceptionnelle par sa simple présence.



Lundi 15 octobre 2007 à 22:21

D'un coup, d'un seul, je voulais sourire. Simplement pour être à la hauteur. C'est bête et méchant n'est ce pas ? Mais que voulez-vous, ça marche alors on ne va pas se plaindre.
Et j'oublie au fur et à mesure toutes les choses que je ne suis pas censée oublier. Quand on y songe, il n'y pas vraiment de mal.
Ou du moins on peut ne pas en voir en faisant un petit effort. Après tous les miens ce serait la moindre des choses.
"Elle a 20 ans. Les premiers mots qu'elle prononce sont: "Je porte le deuil de ma vie. Je suis malheureuse.""
Vous croyez qu'il n'y a pas de rapport. Moi non plus. Sauf que ça a de la gueule. Plus que le reste. Plus qu'une main posée sur la mienne, plus qu'un éclat, plus qu'un passage. C'est ça, la vraie tragédie.


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