*Muhahaha, on y croit !
Vendredi 4 juillet 2008 à 22:04
*Muhahaha, on y croit !
Mercredi 2 juillet 2008 à 22:50
Samedi 28 juin 2008 à 22:32
Samedi 28 juin 2008 à 9:40
J'ai fait un rêve étrange, il était aussi grand que moi. C'était un centre aéré. Un bateau suspendu aussi. De Mathilde à Caroline en passant par Simon. Ils étaient tous là. Et plus encore. Même le jeune homme d'hier, de mon bac. "Laisse-moi deviner, la sortie c'était dans l'autre sens ?". Le pire c'est que je m'en foutais, d'eux. Une seule personne.
Mercredi 25 juin 2008 à 15:33
Et je m'inquiète de la vitesse à laquelle je peux remplir ce cadre texte. Aussi.
Sans oublier, au cas où vous voudriez savoir à quoi je ressemble... * C'est l'apprentie qui le dit, la coiffeuse, elle, est pleine de bons conseils. Surtout que je n'aime pas Rihanna.
Dimanche 22 juin 2008 à 20:02
Dimanche 22 juin 2008 à 10:50
"C'es mots signifient, que tu vivras ta vie...
- Attends, ça existe "vivra"
- oO Bah oui.
- Non mais ça fait bizarre, c'est pas plutôt que tu vives ?
- Euh... Timothée c'est juste ce qu'on appelle un futur de l'indicatif là..."
Et, bien sûr, nous avons tous chanté en chœur... D'ailleurs, nous sommes tombés d'accord, nous de la génération Disney (la meilleure), la mort du Papa de Simba est bien pire que la mort de la Maman de Bambi. D'abord.
Jeudi 19 juin 2008 à 22:38
Mercredi 18 juin 2008 à 10:35
Mardi 17 juin 2008 à 19:07
Samedi 14 juin 2008 à 16:40
Lundi 9 juin 2008 à 22:34
Vendredi 6 juin 2008 à 22:20
Et à côté de ça, il y a tous les autres...
L'an prochain c'est mon tour et tant mieux.
Je ne supporterai pas un départ de plus. Je crois.
Jeudi 5 juin 2008 à 21:11
Samedi 31 mai 2008 à 20:57
Samedi 31 mai 2008 à 11:39
Vendredi 30 mai 2008 à 19:06
[Ma tête.
Mon coeur.
Mes poings.
Mon dos.
Mes cordes vocales.
Mon corps.
Au choix.]
Vendredi 30 mai 2008 à 11:57
Dimanche 25 mai 2008 à 19:16
"Embrasse moi par dessus bord, vient mon ange retracer le ciel, j'irai crucifier ton corps laisse-moi dépunaiser tes ailes, t'embrasser, te mordre en même temps, enfoncer mes ongles dans ton dos brûlant, te supplier de revenir et tout faire tout, pour te faire partir mais vient emmène moi là-bas, donne moi la main que je ne la prenne pas, écorche mes ailes envole moi et laisse moi tranquille à la fois, et mille fois entrelassons nous et nous lassons même en dessous serre moi encore serre moi, jusqu'à étouffer de toi !"
Les souvenirs sont bien sûr des choses bizarres. Mais et alors ? Ils sont mouvants, c'est l'important. Sans transition aucune ; c'est le pied les ordinateurs portables décidément. Tapoter des textes au beau milieu d'un immense terrain d'herbe, au soleil, c'est tout de même pas trop mal. Le téléphone sur les genoux. Par contre avec une connexion internet ce serait mille fois mieux. Mais bon, je ne vais pas trop me plaindre. Hier soir couchée 2h35, endormie après 3h30. Faut avoir la forme pour tenir le rythme. J'ai normalement un peu, beaucoup de taff à faire. Ne parlons pas de ça entre nous. Dans un mois et deux semaines, oui, ça parait bien plus court dit ainsi. Y'a de la tarte à la rhubarbe, du café et du gâteau au chocolat. Le soleil dans le Nord, on a beau se moquer il est bien là. Dire que dans le Sud on annule des représentations théâtrales pour cause de mauvais temps... Viendez ! Viendez tous ! Soit. A toutes les Sophie : bonne fête ! Et merci à elle. N'empêche c'est un pur bonheur de recevoir des mails de lecteurs. Ca fait pas modeste du tout dit comme ça, mais c'est pas vraiment loin de la vérité. Y'a la cousine "exilée" à Paris qui est là. Paris peut-être entre la fin de mes cours et le 5 juillet. A voir. Selon la poste notamment. Le bac c'est pas trop grave ça par contre. Je suis motivée c'est assez impressionnant. C'est la bataille des bouteilles d'eau. Mymy et sa tenue virginale... Mauvais plan, j'ai plutôt intérêt à me tenir à carreaux. Carole, Caroline, Catherine, Maman, Madame le Maire, par contre, n'y échappe pas. Ce que je deviens ? Voilà. Je suis la fille en jean et en liquette blanche, la fille aux bijoux en argent et à la clé de sol en or, la fille qui écrit et rit tout en restant toujours un peu insatisfaite, celle qui se décide à mettre ses lunettes de soleil et à éventuellement se pencher sur ses affaires scolaires. Son trieur, sa trousse, un bloc-notes, un paquet de copies doubles, un dictionnaire d'espagnol. Tout roule donc. Mon bordel se transforme en foutoir et j'attends de vivre vraiment pour remettre un peu de désordre artistique. Pendant ce temps, on parle de ma grand-mère. Et je suis peut-être tellement égoïste que des souvenirs reviennent, sans aucun rapport ou presque. "Ma grand-mère a quelque chose, que les autres femmes n'ont pas...". Rien ne se perd, rien ne se créé, tout se transforme. Et lui, il part aussi. Dans un an je le suis.
Mardi 20 mai 2008 à 18:30