Jeudi 20 septembre 2007 à 22:41

C'est un accord tacite. Sans aucune concertation donc.  Pas même sur la signification de ce geste. Mais s'avancer l'un vers l'autre a été perçu des deux côtés comme une acceptation mutuelle. J'insiste trop peut-être sur la réciprocité de l'action.
Enfin, après tout, c'est le plus important. Qui viendra me le reprocher ? Cela suppose de connaître les valeurs dont je parle, et qui les connait ne peut que les respecter. Il est impossible de faire autrement ; cela équivaudrait à un meutre. Purement et simplement. Ne voyez aucune exagération nulle part.
On a souvent pris les choses à la légère. Le résultat n'est pas beau à voir : nous ne sommes pas prêts.
Il est de notre devoir de remédier à cela. Dans les plus brefs délais. Si on veut encore en avoir un jour. Des délais.

Jeudi 20 septembre 2007 à 22:24

Tu sais, je ne t'ai pas oublié. Mais je ne pouvais pas non plus me permettre de prendre le train pour venir te voir hier. Et ce week-end je n'en parle même pas. Dieu sait pourtant que j'aurais aimé : ton invitation m'a vraiment fait chaud au coeur, alors que je n'ignore pas que ta situation est difficile. J'en suis navrée. Ça ne changera plus et ça ne fait qu'augmenter la distance entre nous. Pourtant, tu vois, je ne t'oublie pas. Même si je le voulais, je m'en crois incapable.
Je suis lasse. Lassée aussi.
Si tout ceci, ces soucis, ces soubresauts, ces souvenirs et ces sourires, n'était pas sans issue. Au moins.
Je me bats avec mes maths. Ils ont déjà failli gagner.
Je suis crevée comme après un combat avec François. Et ça fait du bien.

Mercredi 19 septembre 2007 à 22:43

Voilà, j'y suis. C'est plus la rentrée non. La première ES. Et mine de rien ça a changé pas mal de choses. Est-ce le fait qu'à la maison l'ambiance est désormais studieuse ? Que je n'ai pas véritablement d'amis dans ma classe (rassurezvous, j'en ai bien d'autres dans le lycée) ? Que les notes comptent désormais pour mon dossier ? Je suis incapable de vous le dire. Mais ça a changé. Je me surprends à travailler, à faire des classeurs propres, à recopier mes cours, bientôt à faire des fiches... A travailler oui... Euh. Mymy, on demande Mymy. Je ne me souviens pas d'avoir déjà fait ça. Et en voilà une surprise de taille : ça prend du temps. Ce soir je n'ai fait que des "mises à jour" résultat il me reste des questions d'SVT, des docs de science politique, des définitions d'éco, des axes en français etc etc...
De plus je dois faire une affiche pour le journal, aller à la réunion d'information concernant la troupe de théâtre et faire un entraînement de foot au soir. Tout en sachant que le lendemain j'ai une interro des maths (et que les maths et moi...) et que le samedi c'est mon premier DS, en anglais.
Vraiment c'est bizarre. Suis-je bien dans mes baskets ou pas ? Je penche entre les deux selon les moments et je n'ai aucune réponse précise à m'apporter. L'ordinateur me manque, écrire me manque, Bee, Colombe, Ladypirate et tous les autres me manquent... Romain me manque, bien sûr, encore plus en cette période.
Et à coté de cela je dois aussi vous remercier, encore, parce que j'essaye de le faire à chaque fois de manière personnelle mais je suis en train d'apprendre que je ne suis peut-être pas (plus ?) la wonderwoman que je pensais être. Vous m'écrivez de plus et, si c'est possible, de mieux en mieux. Qu'est ce que je peux vous répondre sans être ridicule, bateau ou totalement niaise ? Pas grand chose. Alors voici une nouvelle tentative. Vos commentaires me touchent à un degré difficilement imaginable, surtout ces derniers temps alors que tout n'est pas facile pour moi, je sens un immense soutien venir de ce blog, tant par les commentaires, les tags et les emails. Alors voilà. On va dire que je radote et je m'en fous. Merci.

Colombe, Ma Val, Mybabou, Piano-Bar, Nelizpuce, Que le Vent Emporte, Raph.à.ailes, Echarpe au Vent, Mainly, Aya, Met.ton.ame.de.lumière, Elfepérigourdine, Clarisse, Emyagony... Je vais en oublier j'en suis sûre.

Surtout, pour tout cela et aux autres qui savent le mériter, vous me connaissez moi et ma constance pour renouveller mes liens, alors donnez moi votre prénom en commentaire, je comprendrai le message.

Bises.

PS : espérez pour mon dossier que ce n'est pas qu'une période. Pour le blog, espérez l'inverse. Alors ? :P

Mardi 18 septembre 2007 à 20:56

Mademoiselle ? Mais elle n'existe plus Mademoiselle. Elle est morte Mademoiselle, effacée, envolée, on ne la retrouvera plus. Sa vie a été trop abîmée pour que l'on puisse en récupérer quoique que ce soit.

Vous êtes arrivés trop tard, elle est partie, il y a déjà de cela quelques temps  Ah ça, je crois qu'elle s'est mal sortie de sa dernière histoire. C'était compliqué vous savez. Elle a tenu deux, trois mois, et puis un matin, comme ça, alors qu'on ne s'y attendait plus, elle a rassemblé ses clics et ses clacs et elle est partie. On peut le dire, cette fille était un drôle de numéro, oh vous savez moi, je dis pas, je l'aimais bien... Mais je sais pas, y'avait un truc d'étrange. Bien polie et tout ça hein, je veux pas médire, elle disait bonjour à chaque fois, en souriant. C'est pas là le problème. Ses yeux par contre. Y'avait toujours quelque chose au fond de ses yeux.

Lundi 17 septembre 2007 à 21:32

Je crois que j'aurais aimé savoir le cimetière vide. Pour avancer sous la pluie, aller le voir sans avoir à penser à la douleur. Ni rien.
Mais voilà, la pluie n'est pas tombée drue, il y avait une acalmie et c'était presque dommage.
Il y avait Marie-Hélène dans l'allée. Et Christian. Mais aussi Françoise, surtout Françoise.
Je ne peux pas la regarder droit dans les yeux, c'est insoutenable. Les larmes coulent et ne s'arrêtent plus. J'ai rarement vu des trucs aussi tristes qu'autant de fleurs au mètre carré. Demain est un autre jour, ouais il paraît.

Lundi 17 septembre 2007 à 21:25

"Huh ? "

Juste une intense envie de lui claquer ma main dans la gueule. Il a de la chance d'habiter à 320 kilomètres, je vous le dis.

Lundi 17 septembre 2007 à 21:22

C'est la question du jour, prenez les paris, va-t-elle ou va-t-elle pas pleurer ? La fatigue se lit sur son visage et la tristesse dans ces yeux, elle reste peu loquace et distribue ses sourires au compte-gouttes. Nous sommes au spectacle : il ne manque plus que les cacahuètes à balançer à l'animal.
Lui faire une caresse de temps en temps parce qu'elle se sent seule cette pauvre bête. Elle se réfugie dans un coin sans même chercher à se cacher un peu. Son indifférence devient mépris. L'observation est désormais lassante, le manque de pudeur ôte tout le charme du voyeurisme. Les bookmakers sont enfin tranquilles.

Lundi 17 septembre 2007 à 18:24

Tu es passé à côté de nous. Pas un sourire, pas un regard, pas un geste dans notre direction. Je ne sais si j'ai été vexée. Tu es passé, voilà tout. Comment va-t-on réagir dans les jours qui viennent ? Parce qu'il va falloir réagir. On ne pourra pas faire autrement. Revenir au point de départ, déjà, et avancer ensuite.

Dimanche 16 septembre 2007 à 20:56

Voilà. Il est midi. Et quelque part en France, à St Amand-les-Eaux plus exactement, dans une salle du Lycée Notre-Dame des Anges, une jeune fille nommée Margaux Rémy se demande à quoi rime vraiment la vie.
Parce que si il avait été un peu plus égoïste, s'il avait demandé à ses parents d'aller directement à la fête, parce qu'ils auraient dit oui, il demandait si peu souvent, il serait toujours parmis nous. Drôle de récompense. Je crois vraiment que cela n'a aucun sens. Oui, parfois on se dit qu'on aurait préféré être à sa place, pour ne pas souffrir de son absence. Mais bon, c'est tellement compliqué. C'est peut-être pour cela qu'on ne nous donne pas le choix. Ce que je sais en revanche c'est qu'il nous manque. Et tout ce que j'ai pu faire c'est m'énerver un peu plus. Alors je repense à son sourire. C'est tellement con, le truc bateau du sourire. Sauf que voilà, c'est lui. Il n'était pas comme ça, pas comme les autres. Sans mépris, sans jugement. Et sûrement que tout ce que je dis est un peu trop idéalisé. Que oui il avait des défauts. Et alors ? Je l'aime et ça, ça ne peut pas changer.

Dimanche 16 septembre 2007 à 20:43

Alors qu'autour de moi tous fêtent les vingt ans de Sébastien moi je pense à ces fameux dix-huit ans où je t'ai rencontré. Je me demande comment les choses auraient pu être plus parfaites. Comment tu aurais pu être plus parfait. En me laissant un numéro ou une adresse, éventuellement. Et encore.
La musique était éteinte et j'avais en tête un air de jazz famillier, c'est bien simple, mes écouteurs étaient cassés. On avait bu, pas peu mais pas trop, on était juste bien, avec une joie teintée d'un peu de mélancolie, comme toutes les vraies joies qui se respectent.
Au fil des heures nous nous rapprochions, jusqu'à finir ensemble, dans un canapé, collés l'un à l'autre. Si, c'était un bon souvenir.
Aujourd'hui je ne sais plus à quel saint me vouer. Je garde au coeur ce court moment. A côté d'autres, et c'est sans surprise que je leur trouve des ressemblances.

C.j.d.c. A.B

Dimanche 16 septembre 2007 à 17:21



Un des côtés exaspérants de Noa - ou de ceux qui font son charme, selon les gens - c'est la façon qu'il a d'arriver toujours au moment où l'on pense être tranquille.  Dans le genre ça peut-être Monsieur Jesuistoujoursenretard tout comme Monsieur J'aiuneheured'avance . C'est Noa quoi. Mais bon, on arrive jamais à lui en vouloir. Pourtant la dernière fois il a fait fort :

*il frappe*

- Noa si tu entres maintenant tu te prends un jet d'eau froide !

Mais Noa entre en même temps qu'il frappe (ne nous demandez pas comment il fait, on a pas encore trouvé)...

- Olaaaaaaaaa

Il s'est donc bien pris un jet d'eau froide dans la figure, parce que l'agencement est fait de telle sorte que la salle de bains donne sur le couloir d'entrée. De plus la douche à un jet qui peut être très puissant. Le voilà donc aspergé (mais il s'est aussi rincé l'oeil... Muhahaha. Hum.).

- Je t'ai déjà dit que je prenais toujours des douches froides pourtant !

Moralités ?
 1°) Frapper avant d'entrer et pas en même temps.
2°) Vérifier que la porte de la salle de bains est bien fermée.
3°) Ne jamais s'endormir avec des amis lorsqu'on est la seule à s'endormir...

Dimanche 16 septembre 2007 à 15:54

Je crois qu'on est tous un peu sur les nerfs, rien ne soulage réellement. C'est comme ça. Alors les insultes fusent, on se prend la tête, pour des broutilles, pour un linge mal accroché, un ballon de foot. On se sépare pour aller chacun dans notre coin, histoire de penser à autre chose. Comme si c'était possible.

Nous sommes peut-être indignes mais nous n'avons pas trouvé le moyen de faire autrement.

Dimanche 16 septembre 2007 à 12:22

J'ai enfin la réponse à un débat commencé chez ma chère Clone...

*roulement de tambours*

Laisser en suspens !

Sans "e" à la fin, sans "d" et sans pronnonciation à l'anglophone. On avait tous tort... Sauf ma mère. -_-'

Samedi 15 septembre 2007 à 17:28

Je me suis toujours demandée comment il était possible d'être aussi passionnée sans pour autant trouver ce qui me contenterait réellement. Le chant, la musique, la danse, le théâtre. C'est bien, mais qu'y a-t-il derrière ? Il y avait le judo. La violence et la dureté, la douleur, que j'ai appris à oublier jusqu'à ce qu'elle décide, au-delà du ressenti, de faire venir l'impossible.
Enfin, il y avait mes doigts. Mes doigts si longs. Ceux que j'aurais aimé voir au bout de mon bras lors d'une belle danse, ceux qui saignaient , ceux qui devenaient plus forts, ceux plus sensibles aux épines et aux écorchures que les autres, ceux qui servaient la douleur, ceux qui la donnaient, ceux qui suivaient la musique. Et puis il y a eu une révélation. Pour un morceau, tout bête, alors que j'écoutais de la musique dans le bus. Et ces doigts mobiles, de pianiste sans piano, ces prolongements qui faisaient la musique. Je me suis souvenue de mes 6 ans et de la professeure de mes cousines qui me demandait si j'en avais déjà fait. Les longues heures passées à suivre les petites diodes entre les touches noires et les touches blanches. Enfin, la maison de retraite, l'an dernier, et cette dame qui ne me quittait pas des yeux.
Les sourds peuvent suivre la musique, sentir la voix, voir les paroles et entendre depuis les doigts...

Samedi 15 septembre 2007 à 12:14

Je suis sous ma douche, avec comme d'habitude cette sucession de l'eau brûlante à l'eau glacée. On marche comme ça. La radio entame une chanson, A ma place. On se sent à peine visé dans ces moments là, avec juste un peu plus de nevrose on pourrait croire à un complot. Mais non, on continue de s'asperger le visage d'eau et on écoute, et on se souvient. Je me demande encore comment tu as fait pour me traîner là-bas, pour me faire chanter. J'avais jamais chanté autre chose que la Marseillaise, avant-hier encore. Je suis pas là pour parler de ça. Du coup j'ai écouté la chanson, une fois de plus, et j'ai eu à nouveau l'impression de comprendre.
On s'est cassé les dents parce qu'on a voulu te comprendre. C'est si inutile.
Je suis intimement convaincu qu'il manque quelqu'un.

Samedi 15 septembre 2007 à 11:16

La démence à corps de Lewy fait partie des affections neurodégénératives. Elle représente la deuxième cause de démence du sujet âgé, après la maladie d'Alzheimer.  La distinction entre démence à corps de Lewy et maladie d'Alzheimer n'est pas toujours aisée d'autant que la démence à corps de Lewy peut présenter une symptomatologie de type "Alzheimer" et que des formes de chevauchement existent. Afin de faciliter le diagnostic, un consensus international a permis d'établir des critères diagnostiques (McKeith et al., 1996). La maladie se manifeste par un déficit cognitif progressif, des troubles de l'attention, des hallucinations, principalement visuelles, auxquels s'associe une symptomatologie extrapyramidale. L'évolution fluctuante de ces manifestations est caractéristique. A l'inverse de la maladie d'Alzheimer, les troubles mnésiques peuvent manquer aux stades précoces, affectant principalement la mémoire de récupération. L'électroencéphalogramme retrouve précocement un ralentissement généralisé avec des salves d'ondes dans les territoires temporaux et frontaux. Il n'existe pas de marqueur génétique spécifique contrairement à la maladie d'Alzheimer. Cependant il est important de faire le diagnostic de démence à corps de Lewy précocement, du fait des implications thérapeutiques possibles.

Source : Orphanet (décembre 2003)*.

C'est effarant de voir à quel point on se contrefout de toutes ces choses la plupart du temps avant qu'elles ne nous tombent sur le coin du nez.
Je sens que je vais adorer ce putain de Lundi 17 septembre.

Vendredi 14 septembre 2007 à 21:03

Il y a beaucoup de choses à dire sur ces derniers jours. La mort de Jacque Martin, qui a prouvé qu'on pouvait être un génial touche-à-tout, l'anniversaire de la mort de La Callas, une magnifique chanteuse, mais pour moi, et c'est très subjectif, il y a surtout la victoire de Tony aux championnats du monde de judo, à Rio. Dont j'avais évité de parler jusqu'ici... Bravo à lui. Avec un beau judo comme celui que j'aime regarder, comme celui qui me manque.



Parce que je sais qui y sera dans quelques années.
Certains pensent qu'il manquera quelqu'un. A vrai dire je ne veux pas y penser.

Vendredi 14 septembre 2007 à 20:16





"J'ai dans le coeur plus de rancoeur qu'il n'en faut pour haïr, jusqu'à sa dernière heure."

J'ai envie de prendre mon vélo et mon appareil photo. Avec la nuit qui tombe plus tôt désormais et le beau bleu du ciel, le froid qui commence à devenir mordant. Le vent qui fouette le visage, les doigts qui se crispent. Partir dans cette campagne si silencieuse. Celle qui m'appartient.


Vendredi 14 septembre 2007 à 18:43

J'ai des textes et des ra-textes (expression de chez nous) dans le fond des poches. Mais non. Parce que j'ai simplement la tête (et le coeur ?) ailleurs. Vous m'en voyez  ("c'est le verbe voir et non pas le verbe envoyer !!") navrée. Ça ira mieux ce week-end. Si entre deux trois bavures, révisions, et enregistrements j'arrive à trouver un moment pour mettre un peu d'ordre. Parce que oui, quoique l'on puisse en croire, la plupart du temps ce qui est mis ici n'est pas brut de décoffrage. Flippant. Vous n'êtes pas d'accord ?

Mon oral c'est très bien passé.
Je me suis branchée avec un chauffeur de bus.
On peut dire que j'ai gagné.
Y'a quoi à la télé ce soir ?
Et toujours merci, hein, pour changer.
Couleur des yeux ? Bah c'est pas du vert, c'est pas du marron et encore moins du noir. Ouais, pour changer aussi. Les deux en plus.... Voire trois (pas les yeux !).

Margaux.

Ecouter Ironic d'Alanis Morissette.
Lire une anthologie de la poésie surréaliste.


Jeudi 13 septembre 2007 à 8:02

Quelques petites histoires trépidantes sur ma vie qui, j'en suis sûre, vous procureront un contentement extrême quand vous les lirez, au boulot, chez vous (êtes-vous encore en vacances ?!?), après le boulot ou l'école ou lors d'un simple moment de glandouille. En sachant bien entendu que la dernière catégorie peut recouper toutes les autres.

Par un système complexe et codifié, mon esprit avait pris la décision de me rendre au lycée à 8h40, en bus, malgré le fait que je n'ai pas cours, seulement une soutenance de stage à 15h30. Mais siii, le stage, la fin juin ! Celui où rien ne s'est déroulé comme je pouvais l'attendre ! Je ne vais pas commencer à vous expliquer le pourquoi du comment, ça prendrait trop de temps et ça n'est pas dans mon intêret, ni dans mes intentions. Bref.
Et là il est 7h55. Je devrais être assise dans mon bus. Problème.

Par un système complexe et codifié, l'esprit de ma mère (qui lit ce blog et entre deux trois chocs frontaux à propos de ce que j'écris, me dit que je le fais bien. Les mères ne devraient pas se rendre sur nos blogs sans autorisation préalable) avait pris la décision de s(m)e prendre la  tête avec moi(ma vie, mon oeuvre) hier soir et ce matin. Là encore je vous passe les détails : je suis privée de "sortie", et elle devait me conduire à St Amand cet après-midi pour ma soutenance.
Donc ce matin je me lève plus tard et j'apprends que non, franchement elle a pas envie de faire des kilomètres en plus pour moi (heyyyyy j'ai rien demandé !!) et que je dois me débrouiller avec les bus.
Au final je prendrai donc un bus à 13h30. Je trouve ça quelque peu absurde, mais bon.

J'ai donc une matinée seule chez moi. Wouah. Ca c'est de la punition. Je vais donc pouvoir écrire, lire mon rapport de stage (non, non, 15 minutes à l'oral chez moi ça ne se prépare pas, ça se relit), faire deux trois choses pour l'auteure-associée de mes jours, une affiche pour le théâtre et finir les paroles d'une composition pour un ami à moi.

Je me sens terriblement mal...

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