Vendredi 14 décembre 2007 à 22:43

Et Adrien... Adrien que je n'avais pas vu depuis, attendez il faut que je compte, oui, c'est bien ça, ça me paraissait trop long mais si c'est ça : six ans.
Pourtant les émotions reviennent, aussi fortes, et j'ai le coeur qui bat la chamade quand Julie m'en parle.
L'art et la manière de réapparaître au moment où je m'y attends le moins. Dire que j'en discutais il n'y a pas longtemps avec Adeline. Décidément je vais de surprise en surprise. De désillusion en désillusion aussi. Mais un défi, pourquoi pas. Cela ne peut-être que drôle, au minimum. Le revoir, savoir s'il a beaucoup changé, me concernant je ne me pose même pas la question : je sais que oui. D'une semaine à l'autre, alors en six ans. C'est long six ans décidément. Mon passé ressurgit avec beaucoup de force ces temps-ci je trouve. Je dois prendre garde ; ne pas me laisser piéger.
Qui sait, bientôt je reverrai Victor. Ah, vous ne le connaissez pas lui. Adrien non plus quand j'y pense, c'était bien avant nous. Je vous ferai les présentations, histoire de. Je m'en suis souvenue un dimanche matin, comme ça en me levant, en posant les yeux sur un livre. Écrire sur ces garçons au passé comme si mon coeur y était encore. Ça c'est de la thérapie.

Jeudi 13 décembre 2007 à 22:25

Dormir, juste dormir, et le reste on verra après, si on a le temps. Du basket mercredi, des courses mercredi, des cours aujourd'hui, du foot ce soir (fait la rencontre d'un charmant garçon nommé Christopher, petit copain d'une de mes coéquipières et qui m'en a de suite voulu, sans que l'on ne se connaisse encore : je sens qu'on va s'entendre et ça n'est pas de l'ironie), tout ça avec quatre heures de sommeil au compteur ça commence à devenir dur. Et j'aurai encore des choses à faire demain matin. Tant pis. Taper les yeux fermés. Ne pas penser au week end chargé qui s'annonce. Continuer cette série d'article sans but, sans fond et sans forme juste pour écrire un peu, pour dire "Hého, je suis là, je suis quelqu'un." Non je ne vais pas déprimer à cause d'un manque d'attention. Je ne suis pas stupide et le mélodramatique ça n'est pas vraiment mon truc. Mais sans sourire et sans ses yeux, sans tout cela ece "tout le monde" dans lequel je n'étais pas inclue alors que voilà, mon travail était bien, ça ma fait l'effet d'une eau glacée. Le piège c'était refermé dans un "clac!" sonore. Pourtant je ne voue pas une admiration ni une affection sans borne à ma prof de français. Pourquoi les gens que l'on veut oublier revienne alors que ceux qu'on arrive pas à oublier ne revienne jamais ? Pas de réponse.
Pourquoi les gens qui nous oublient ne sont pas de ceux qu'on a la force d'oublier ? Pas de réponse. Je suis faite ces temps-ci de questions sans réponse et de "sans. Un vide, un tout quoi. Il a différentes formes et je suppose que celle-ci a aussi besoin de s'exprimer. Ca va vous changer un peu de mon histoire, qui est inchangée depuis juillet, depuis ces trois là. Merde.


Jeudi 13 décembre 2007 à 21:37

Honnêtement tu avais une sale tête. Je t'ai vu à travers la vitre de mon bus et j'ai eu envie de descendre, de te prendre la main et de t'emmener dans un coin plus tranquille, de te serrer dans mes bras et de te demander à voix basse de m'expliquer le pourquoi du comment. Bien sûr je ne l'ai pas fait ; cela aurait été trop suspect. Mais j'en ai marre de cette situation, marre de t'effleurer parfois la main, quand on a la chance de pouvoir se dire bonjour, devant les autres, pas souvent la bise d'ailleurs. Même pas. Et puis on se débrouille pour se retrouver dans un couloirs, j'ai toujours ton emploi du temps dans mon agenda tu sais, comme tu as le mien je ne sais pas où. Tu n'étais pas là et c'est une inquiétude sourde qui a planée sur ma journée. Ce soir je ne t'ai pas envoyé de sms. Parce que depuis mon retour il n'y a rien. Et ça va donc bientôt faire un mois.

Jeudi 13 décembre 2007 à 21:12

Ce qu'il y a de bien avec Kiki, c'est qu'il est constant :


"Mokona dit :
(ou ce don agacant qu'elle a de dire ce qui vous emmerde le plus au mauvais moment)"


Vous êtes prévenus. Mais ça ne marche qu'avec les amis.

Jeudi 13 décembre 2007 à 11:18

"Next summer"

Mauvaise pioche. Tu gagnes le droit de passer, quand j'aurais un nouveau moment de faiblesse. Sinon cela aurait pu être Noël. C'est con hein, t'as donné la mauvaise période. En fait c'est surtout pour moi que c'est con mais chut.
Tu t'en sors à peu près parce que tu as dit au revoir correctement. C'était limite pourtant. Quoique. Malgré ce que je peux en dire tu dépasses allégrement les limites alors.
Bon voyage surtout, travaille bien.

Jeudi 13 décembre 2007 à 11:15

Je ne veux pas travailler, je ne veux pas déjeuner, je veux seulement l'oublier et puis je fume...

Un nouveau carnet, un nouveau coup de blues, une nouvelle encre noire.
Elle ne comprend pas comment elle en est arrivée là, à nouveau. Son écharpe ne sent plus cigarette mais au contraire une odeur confuse et agréable mêlant le traîne de plus parfums. Haut de gamme les parfums. Très hauts dans sa gamme.

Jeudi 13 décembre 2007 à 7:20

Y'a pas grand chose à ajouter : nous sommes allés faire des courses hier à cause de l'anniversaire de mon frère vendredi, du coup il a eu son cadeau (un lecteur mp3 qui résiste à toutes mes tentatives de dressage) et moi je me suis achetée HP7... Oui il était temps, je ne l'avais encore pas lu du tout en français. Le seul problème c'est que ma fin de semaine est chargée et que j'ai un autre très bon livre en cours de lecture "La nuit des enfants rois", prêté par ma prof d'option sciences po. Enfin, cela devait être un problème parce qu'en fait le HP7 je l'ai commencé dans le magasin, je l'ai continué le long du trajet et je m'y suis remise la nuit dernière, du coup il a été terminé à deux heures. Du coup par contre ma sommeil et mon interro de d'option sciences po de ce matin ça va être une toute autre histoire.
Tout comme mon DS d'SVT de samedi : anniv du frangin le vendredi soir et foot ce soir. Décidément. Je vais devoir tenir ma journée jusqu'à 19h30 en ayant quatre heures de sommeil au milieu d'exploits sportifs (ahhh le basket, aaaah le foot), je me demande si vu mon état de forme c'est faisable. Je vous dirai quoi, parce que si en temps normal ça ne me pose pas de problème en sortie de crève j'ai des doutes. Ceci était un moyen de me réveiller, désolée pour vous, passez une bonne journée, moi je vais prendre mes vitamines.

Mille bises

Mymy

Mardi 11 décembre 2007 à 23:14

J'aurais pu te montrer cette partie de moi si nous en avions eu le temps et l'occasion. Cette différence, qui, si elle n'est pas fondamentale, peut tout de même compter pour beaucoup. J'aurais pu te montrer la fille qui danse sous la pluie dans les rues de Lille, qui traîne des heures dans les boutiques ésotériques, qui se calme dans des bars marocains discrets et peu connus. Cette fille qui passe son temps à sourire et à s'asseoir dans l'herbe qu'il pleuve ou qu'il vente, parce qu'elle est du Nord, il ne faut pas l'oublier et que le soleil se fait plus rare. Cette fille qui joue de la guitare, dessine avec des enfants, les maquille parfois, souvent se fait d'énormes taches de peinture sur un vieux sarouel. Cette fille en couleurs, aux langues et aux origines inconnues qu'on va chercher dans un été de gitane. Cette fille différente des tenues noires, différentes des connaissances, différentes des grands projets, différente de l'ambition, différente dans ces jeux, cette fille différente et dont l'indifférence à tous les sujets qui font l'autre est impressionnante. Cette fille, ces filles, qui cohabitent dans un même corps sans jamais se rencontrer. Je suis déçue au final de savoir que tu n'as pas connu cette fille, celle au feu de la St Jean, aux feux tout court, aux cordes et aux rubans, je crois que tu l'aurais aimé aussi, peut-être plus facilement que l'autre d'ailleurs.



Je crois qu'elles sont différentes. Je ne suis pas sûre hein, mais je crois.

Mardi 11 décembre 2007 à 22:45

Je me souviens maintenant pourquoi je VEUX habiter Paris !

Mardi 11 décembre 2007 à 22:26

Elle avait passé sa nuit à tourner en rond. Sans vraiment tourner.
Assise dans son lit les écourteurs de son MP3 dernier cri débitant un flot continu de paroles anglais et de sonorités pop rock, son portable qui avait aussi fait sauter la carte de crédit de papa, à sa droite, vibrait de temps à autres, signal d'un sms.
Elle paraissait complétement immobile mais on apercevait parfois ses lèvres se faner en un soupir ou suivant la parole particulière d'un morceau.
De temps à autre elle tendait le bras pour  prendre une gorgée d'eau, à la longue elle avait du en boire des litres de cette saloprie d'Evian.
Mais vers 3h elle se leva, aussi légère et silencieuse qu'une ombre, sa silhouette frêle avancant rapidement dans son immense chambre pour aller chercher dans l'armoire qu'elle fermait toujours à clé, une paquet de malboro, son briquet argenté et une bouteille de Vodka, c'est fou ce qu'on peut avoir dans ses placards quand on est une jeune fille de bonne famille d'a peine 16 ans ..

Se réinstallant dans son lit, ayant attrapé son lourd cendrier en verre au passage, elle regarda la photo posée sur sa commode. Une étincelle passa dans ses yeux, pour s'évanouir aussitôt.


Elle décida de bouger un peu, arracha la musique de ses oreille, grimpa  sur son velux, toujours grand ouvert, elle aimait sentir l'air de la nuit sur sa peau, et comme elle l'avait lu quelque part, "le picotement des étoiles" Elle ne savait plus où elle avait trouvé ça. Ses lectures ne restaient pas dans son esprit , comme ses sourires, aussitôt esquissés ils disparaissaient de son visage.

Assise sur le toit elle laissa un certain nombre de minutes s'écouler. Tirant régulièrement sur sa cigarette, et laissant échapper de sa bouche de petites volutes de fumée. D'un geste lent et désinvolte elle écrasa ce qui restait de la Malboro, à savoir le filtre, contre une tuile et se laissa choir sur le lit.
Le portable vibra une nouvelle fois, son regard de nouveau se porta sur la photo. Elle reprit une gorgée de l'alcool aux effluves envoutantes et se tourna vers le miroir accroché au mur.
Se leva. Examina son reflet quelques instants. Passa son doigts sur le point noir qui s'était inscrit sur ses lèvres à force de poser ses clopes au même endroit.
Et d'un geste décidé empoigna son portable, le balança par la fenêtre et commenca son sac...

Lundi 10 décembre 2007 à 21:27

- Trace la ligne. N'hésite pas, le dessin ne va pas te mordre. Tu te bats comme une tigresse et tu as peur de simples lignes. Désolé mais c'est le genre de chose qui me fait rire. Voilà, c'était pas bien compliqué ! Tu vois de quelle manière ça casse ta couleur ? Ok, super. C'est parfait.
Maintenant tu me passes la gomme et tu regardes comment il faut vraiment faire.

...

- Salaud.

- Mais moi aussi je t'aime.

Lundi 10 décembre 2007 à 21:23

"J'ai oublié son prénom."

T'en as de la chance, moi je n'ai pas réussi. C'est ça qui est assez pratique avec l'enfance : on peut vivre des choses magnifiques, subir les pires épreuves et remettre les compteurs à zéro sans aucun problème.
Mon problème à moi c'est que je n'étais plus une enfant, à cause de lui.

Lundi 10 décembre 2007 à 18:26

Je devais dormir. Je n'ai pas dormi, logique. Ça n'est pas grave. Du coup j'avais décidé de regarder le début de Lost In Translation, juste comme ça. Sauf que juste "comme ça" avec moi ça marche pas du tonnerre. Surtout quand il est une heure du matin. J'ai regardé le film jusqu'à le fin. Problématique. Deux heures, deux heures et demie, trois heures, trois heures et demie, boire un peu d'eau. J'ai lâché hier soir. Enfin, ça faisait longtemps que je me retenais. C'est même pire que ça, avant je n'avais rien à exprimer. Hier soir c'est sorti, tout seul. Je pense qu'il fallait au moins ça pour que je puisse être totalement libérée. Les connexions se sont faites, se sont imposées et à travers mes larmes j'avais un petit rire minable. Je n'ai jamais voulu être une princesse. Je n'en ai pas l'étoffe : je suis trop imposante. Je voulais être reine. Mais cela implique un roi, pas pour moi donc. J'ai revu ma vision de la princesse et je dois dire que je suis désormais d'accord. De plus je me bats comme une gitane qui aurait appris au bâton. Ça me va.


La fumée, tirer les cartes, 90 centimètres de bois clair, une arme, un délit, peut-être un crime.

Dimanche 9 décembre 2007 à 19:13

Je n'ai rien à faire là mais j'y suis quand même, moi et tous les petits bouts de papiers qui traînent dans mes poches. C'est comme si au bout de deux semaines je me réveillais enfin, je souris et retrouve la forme. Ouf, soulagement général. Mon excursion m'a fait du bien également, retrouver François, Quentin, Anaïs, Julie... Dans mon portefeuille j'ai toujours un trèfle à quatre feuilles coincé dans une grande pochette transparente, accompagné par trois tickets de métro. Ca ma fait bizarre de retomber là-dessus ce soir. Il reste pas mal de choses à faire d'ici les vacances, écrire 1, 2, 3 lettres (un, deux,  trois, c'était mieux à deux... Tu te souviens Cellule-Mère ?), envoyer 1 colis, préparer correctement mes TPE, finir le design commencé chez une certaine demoiselle, mettre les choses en ordre quoi. On va s'y mettre, lentement mais sûrement. Ce soir je commence à rattrapper mes cours, je regarde la télé et je bouge.

Dieu que ça fait du bien.

Edit (juste un petit rappel) : vous pouvez nous aider pour nos TPE en allant à cette adresse sur le tourisme solidaire, ou à celle-ci sur les couples mixtes... Vos témoignages sont précieux et recherchés !

Dimanche 9 décembre 2007 à 16:50

Après le coup de la carte d'identité, on va passer au niveau supérieur et mettre vos qualités de réflexion à l'épreuve :


où peut bien être mon portable ???


(et cette fois-ci la réponse n'est pas "sous ton clavier")



Et la réponse était : sous une pile de cours de français ! Merci et à bientôt pour un nouvel épisode de Mymyperdlesobjetsdontelleaabsolumentbesoin !

Samedi 8 décembre 2007 à 14:53


My Blueberry Nights


Non mais un film avec Jude Law, Norah Jones et Nathalie Portman, même pas une semaine en salle... J'adore le ciné près de chez moi, si si c'est un vrai régal... Bon courage à tous pour ce week-end qui s'annonce tempête dans mon blaid paumé, et pas que là d'ailleurs. Je défile encore et j'ai une idée pour mes deux ans. Le Papa Noël passera peut-être cette année, et heureusement j'ai une cellule-mère et une Ladypirate parce que sinon ce serait vraiment compliqué.

"Excusez-moi mesdames et messieurs les Nancéens (ça s'écrit comme ça ?) je suis désolé pour ce soir, je pense vous offrir pour les fêtes une boîte de Kleenex car vous allez perdre contre VAFC !!!"

Ceci était un message express de mon frère avec qui je m'entends aujourd'hui. Maintenant je retourne voir Vanille et je range ma chambre. Ciné à Gaumont Valenciennes ce soir dès 19 heures, pour ceux que ça intéressent...

Samedi 8 décembre 2007 à 0:15

Dans une chambre des tortures...


Anonyme dit :
le mec qui s'est révelé gay durant un an

Margaux | Putaindebordeldemerdedeconnardj'airiendemandécetétémoi. dit :
... je pense à un truc mais je suis vraiment fatiguée pour devenir aussi gore et perverse

Anonyme dit : loool dis moi

Margaux  dit : lui coudre l'anus

Margaux dit : ...

Anonyme  dit :
loooooooool yeaaaaaaaaah

Anonyme applaudit

Margaux dit : (je suis morte de rire, c'est nerveux et j'ai honte)

Anonyme dit : j'adore



J'ai mal, j'en ai marre, je ne sais pas ce qu'il y a de pire et je m'en fous.

Mymy...

Vendredi 7 décembre 2007 à 22:55




I'm thinking of you
In my sleep
They're not good thoughts
The worst kind of sad
I've noticed things
Cannot be repaired
When I wake up
I'll be in despair
 
Cause I know I've got to say
I know I've got to say
Goodbye
Baby goodbye
Goodbye
Baby goodbye
You're my sweetheart
Goodbye
You're my sweetest
Goodbye
I know I'm gonna look
So so so so bad

But there's no easier way
For me to have to walk away
But I don't wanna hear this no more
And I don't wanna feel this no more
And I don't wanna see this no more
And I don't wanna experience this no more

Cause I know I've got to say
I know I've got to say
Goodbye
Baby goodbye
Goodbye
Baby goodbye
You're my sweetheart
Goodbye
You're my sweetest
Goodbye
Goodbye
Goodbye
Goodbye (you're my sweetest)


Archive - Goodbye.


Vendredi 7 décembre 2007 à 13:46

Quand j'en arrive à rêver de Jerry O'Connell je sais que je regarde trop la télé.
Par contre j'en arrive à rêver que je casse la gueule d'un metteur en scène, ça veut dire quoi ?

J'ai voulu t'écrire tu sais, mais j'en avais marre de l'anglais. Alors je t'ai écrit en français. Normal quoi, ou presque. J'ignore si tu vas tout comprendre mais je voulais essayer. Ca ne coûte rien. Je serai fixée vers mai/juin : on me proposera de tenter ma chance ou pas.
Il y a des phrases toutes simples comme ça mais qui marquent à vie. Au final on les enchaîne et on se rend compte qu'il n'y a plus que ça. Que c'est ce qui reste de ces années passées à vivre pour personne. Tu verras toi aussi. Le pire c'est qu'on est même pas surpris : ça devient normal.
Et si plus tard on se revoit tu ne te souviendras pas des échanges, des rires, de la musique, non, tu te rappeleras enfin du seul moment que tu avais oublié et qui au final n'aura eu aucune espèce d'importance : on a attendu l'un à côté de l'autre un paquet de frites.

Vendredi 7 décembre 2007 à 11:50

... que ce serait mon premier post de la journée et bien sûr j'ai oublié -_-'



Un très très très bon anniversaire à Mister Kaa !!!

Et beaucoup de bonheur ...

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