Dimanche 11 novembre 2007 à 22:51
Les autres ne m'ont jamais fait ressentir quelque chose de semblable. Tu es unique et c'est tellement dur de te le dire. Tu trouves toujours le moyen de ressugir dans ma vie quand je ne t'y attends plus. Merde quoi. De quoi vais-je rêver ce soir ? C'est déjà si loin. Et pourtant de plus en plus proche...
"Carpe Diem, disent les philosophes.
Les intelligents, eux, ne le disent pas mais l'appliquent. Soit intelligente."
Distant-SkiesPS : Anne, ne soit pas admirative. Quant à l'amour, je crois que je suis en train de m'en convaincre, histoire d'écrire encore. En réalité, c'est le bordel.
Dimanche 11 novembre 2007 à 21:52
Je cherchais ta main
Pour trouver d'la tendresse
Jt'ai ouvert mes bras
Pour partager la détresse
Je t'voyais partout
Pour ne pas voir ton mépris
Je cachais ta vie
Pour oublier tes envies
J'ai pas trouvé les réponses
Dans mes nuits blanches
J'ai pas vengé mes questions
Dans tes souffrances
L'envie de penser à autre chose qu'à ça
Pour mériter d'être un peu plus près de toi
Je voulais te respirer pour capturer ton odeur
Je t'écoutais pour entendre battre ton coeur
Pas déçue, juste confuse
L'envie n'était visiblement pas la bonne excuse
J'ai essayé de voler des moments pour nous
Je me suis retrouvée au fond d'un trou
Fallait pas que je cherche à comprendre
Mais moi je voulais seulement t'apprendre
Il n'y avait pas de mensonges dans nos promesses
On savait que la liberté est la plus grande des richesses
On s'est juste arrêté de croire
Que c'est parce que c'est demain qu'il y aura encore de l'espoir.
Dimanche 11 novembre 2007 à 16:48
Oui, le rêve était très bien. Du coup la réalité déçoit presque à coup sûr. D'autant plus après cette erreur que je m'étais promise de ne pas regretter. C'est loupé, je n'aurais jamais dû envoyer cet email. Voilà ce que coûte la franchise : l'inquiétude. Il valait mieux rester dans l'incertitude je crois, parce qu'elle permet de s'améliorer. La franchise elle, m'oblige à me relever, ce qui sous-entend avoir été jetée à terre. Dur à accepter. L'idée n'est pas des plus agréables et les faits en deviennent presque déprimants.
Mais oui, le rêve était très bien. Tes mains sur mon dos et ton odeur qui reste, exactement quatre mois après la première fois. Il n'y a pas de remède miracle, juste l'attente, la persévérance... A force de marcher et de courir je vais finir par arriver quelque part, il n'y a pas de raisons. Tout ce que j'espère c'est que tu sera là, à ce quelque part.
Dimanche 11 novembre 2007 à 0:28
Je vais vous parler, en vitesse, alors qu'il y a beaucoup à en dire, d'une demoiselle qui est plus ou moins présente tout au long de ce blog. Simplement parce que nous sommes amies depuis la 6ème, avec des hauts et des bas bien entendu... Bref. Vous avez déjà eu droit à ses pieds, et comme ce soir j'ai d'une part été obligée de lui raccrocher au nez au beau milieu de notre conversation et que j'ai d'autre part trouvé le moyen de transférer mes photos de mon portable à mon PC... Ca vous allez le savoir puisque j'ai énormément de photos sur mon téléphone. Ce soir donc je vais vous mettre si pas une photo du reste de son corps, (j'attends encore un peu avant de mettre sa photo de dos lorsqu'elle porte une robe courte et jaune pétant) une photo de son visage. Elle va peut-être ainsi se rendre compte que oui, elle change, et que c'est une fille très jolie, intelligente, vive et une amie formidable. Je tenais à le dire. Parce que voilà. Ca me prend parfois.
Cette photo a été prise le jour de ma confirmation avec son portable. D'ailleurs l'image se nomme à la base "Margaux et moi", sauf que comme c'est moi qui poste et que j'ai rarement tiré une tête aussi horrible que le jour de ma communion (effet mystique sûrement), je préfère éviter. Le minois de cette grande perche *kof kof c'est moi qui dit ça* a donc pas mal voyagé depuis le 10 juin. Mais ça valait le coup. Parce que lorsque je me suis dit que je devais inviter un ou une amie pour cette cérémonie, je n'ai pas réfléchi : je savait que ce serait elle.
Pommade, pommade en somme. Mais l'excès de gentillesse n'est pas encore prêt de me tuer, alors je te conseille d'en profiter Adeline. Et j'adore nos conversation de ces temps-ci, encore plus que d'habitude, va savoir pourquoi.
Dimanche 11 novembre 2007 à 0:00
Et quand j'ai croisé ton regard, alors que tu étais tout bêtement assis au premier rang, j'ai su que cela irait. Que je ne me tromperai pas, plus jamais, et que les choses allaient enfin s'arranger. Même si je devais encore attendre deux mois pour ça.
J'étais en confiance, et je n'en reviens toujours pas, un simple regard avait fait cela. Un regard dont j'ai attendu des mois le retour... Alors que rien n'était fait pour me conforter dans mes idées, dans cette opinion forgée et décidée en moins d'une seconde. Je pensais en être digne, être à la hauteur. En fait c'est toi qui m'en rendait digne, en posant tes yeux sur moi. Depuis je n'en démords plus.
L'histoire a repris son cours, comme si elle ne s'était jamais interrompue, entre une scène et un spectateur. Depuis les choses se sont améliorées, ou sont au moins devenues différentes. Je ne sais pas trop ce que j'attends désormais, une bonne surprise qui n'en serait pas vraiment une. J'ai merdé une première fois mais on m'offre une seconde chance, différente elle aussi, à l'enjeu autrement important à mes yeux. Sauf que tu n'es pas censé y être. Sauf que tu y sera peut-être. Alors oui, je crois que j'attends de ce rapprochement une bonne surprise.
(j'ai trouvé le moyen de transférer des photos depuis mon portable ! Yeah !)
Samedi 10 novembre 2007 à 19:06
Samedi 10 novembre 2007 à 19:00
Quelques nouvelles du front : la sieste ça n'est pas mon truc, j'ai dormi presque toute l'aprem et je crois que ça n'est pas vraiment ça le but du jeu... Il parait que j'ai des devoirs ce week-end. Bah, les on-dit hein. Simon doit m'envoyer une compo. Parallèlement à "Mademoiselle..." qui est un peu en pause actuellement, j'ai bel et bien la trame d'une autre nouvelle (?), mais si vous savez, Marie, Clémence et Thomas (parce que merde, oui il s'appelle Thomas !). Il ne reste donc plus qu'à trouver le nom de cette catégorie histoire de mettre ces articles à part et de tenter de m'y retrouver un peu. Vous aussi, accessoirement.
Samedi 10 novembre 2007 à 18:32
C'était tout bête de lui apporter cette double-pédale, mais mine de rien ça a fait ressurgir une tonne de souvenirs. J'ai revu Safia derrière la sienne de batterie, déchainée et déchainante.
Chez les frangins avec Letitza au clavier. Ca me manque. Cette ambiance, ces chansons et ces personnes. Des apres-midi entières passées avec eux, à chanter, à jouer (ou du moins essayer de), à écrire... Après il y a eu les filles, Julie avec ses emails de folle-hystérique et les soirées à Bruxelles, piano à quatre mains, percus de Sol, j'en passe et des meilleurs, mais ça n'est pas la même chose.
Chanter avec eux me manque. Chanter tout court me manque en fait. S'énerver sur un morceau et finir complétement... Je ne saurais même plus décrire cette sensation. Bref, ça me manque, et quand je les vois se préparer c'est comme un rouleau compresseur qui me passe dessus.
Vendredi 9 novembre 2007 à 21:19
Voilà, il suffisait cela. Ça n'avait pas été difficile, ni même compliqué. Comme une lettre à la Poste, rapide, simple et efficace. La Poste aurait des cours à prendre quand j'y songe. L'heure passe inexorablement et je savoure chaque minute, sans regretter. Tout en ayant ce léger frisson parce que oui, les minutes passent. Chut. J'ai envie d'arrêter, de ne plus songer, de fermer les yeux et de repartir me perdre vers cet instant, qui file sans moi.
Vendredi 9 novembre 2007 à 21:01
Et c'est con mais j'avais envie de rire. Probablement parce que je n'avais aucune raison de le faire. Je suis comme ça. A croire que je suis une adoratrice de l'esprit de contradiction. Pourquoi pas. L'impression bizarre d'avoir fait un pas en avant, alors qu'on aurait presque pu dire que j'étais en trani de régresser. Esprit de contradiction toujours.
Je n'aime pas les scandales sans compter que les gens trouvent toujours le moyen de vous rappeler les les votres, tôt ou tard. Souvent beaucoup trop tôt d'ailleurs.
Mes yeux pleurent, le vent, la fatigue, mais en aucun cas la tristesse. Les cheveux ébouriffés et les muscles douleureux par une fausse bataille comme nous en avons le secret. J'en ai marre aussi des secrets à vrai dire.
Un écran de fumée et une nuit juste assez courte pour me donner envie de l'oublier.
Bienvenue, chère routine.
Vendredi 9 novembre 2007 à 18:37
"Il n'en reste plus rien".
Ah bon. Moi je vois encore ses yeux briller de malices. C'est étrange, nos perceptions sont si différentes. L'âge sûrement. Sans doute un peu d'espoir, qui vient aussi s'incruster là. Pour vous il n'y a plus rien à en retirer, effectivement, vous avez passé votre vie avec elle. Mais moi ma vie commence seulement et je suppose que je ne suis pas tout à fait débarassée de mon lot d'illusions. Ca ne me dérange pas, pour une fois.
Je sais savourer les bons moments restants alors que vous en vivez plus que dans l'attente de la fin.
Ce sont des choses bien simples, mais dont vous avez perdu le goût au fur et à mesure. Un peu à la manière de l'allumeur du réverbère dans le Petit Prince... Combien de coucher de soleil dans votre vie ? Et combien puis-je en voir avant de mourir à mon tour ? C'est incomensurable. Pourquoi donc chercher à compter, ou même à comprendre. Je sais, ça n'est pas une question. Non merci, je n'attends pas de réponse.
Jeudi 8 novembre 2007 à 20:23
J'étais estomaquée. Littéralement estomaquée. Je me suis trouvée incapable de dire quoique ce soit, son sourire et sa franchise m'avaient totalement désarmée. Et moi qui suis d'habitude si rapide à établir des connexions, des voies de causes à conséquences, à tirer des conclusions la plupart du temps justes, un simple "merci" m'avait déconnectée de cette planète. Ma tête était vide et je n'ai pas su quoi répondre. Il y a eu un silence et je suis persuadée que mon visage n'exprimait rien d'autre qu'une profonde et sincère incrédulité. J'ai alors baragouiné quelques mots sans fond ni forme et je me suis retournée pour tenter de remettre mes idées en place. Ou même de trouver des idées à remettre en place.
C'est violent. A croire que je l'aime cette violence.
Jeudi 8 novembre 2007 à 19:59
"3.
Margaux
Elle a pensé à moi le 22/10 alors qu'elle n'avait aucune raison de le
faire, avec un texto adorable qui plus est. Accessoirement son billet
m'a fait beaucoup rire, tout en étant fan de son style."
Romain me classe troisième de son classement personnel... Je n'ai donc pas gagné mais je crois que sur le nombre de participants (une grosse vingtaine il me semble), je m'en tire quand même avec les honneurs ! Merci donc à tous. Par contre, pas de chance, je pense être devenue fan quant à moi de ce genre de concours, alors si il y en a un qui traîne, prévenez moi surtout.
Tant que j'y suis, j'y reste, je vous parle un peu de ma journée : très
prometteuse. Et ce soir je pense que je vais avoir droit à la tempête. J'adore. Et c'est vrai, il n'y aucune ironie !
Mercredi 7 novembre 2007 à 19:52
C'est un retour qui ne m'était pas indispensable, et j'ai du sang sur le bout des doigts. J'en fous partout. C'est dégueulasse le sang, ça devient poisseux, ça tache et surtout ça montre que le boulot n'a pas été entièrement bien fait. Le sang m'horripile d'autant plus quand c'est moi qui le laisse couler. Je me contrefiche de la douleur mais le manque d'hygiène m'insupporte. Le sang n'est beau que quand il est parfaitement maîtrisé, sinon il est une preuve de faiblesse.
Ce retour est décidément mal tombé. Il n'aurait pas pu attendre demain, ou mieux encore la semaine prochaine ? Là ça va être la reprise des affaires avec la reprise des cours. Parce que oui, je calque mes activités sur les périodes scolaires, tant que faire ce peut, non pas pour avoir les week-ends et un maximum de vacances mais parce que l'ensemble de la société à les yeux rivés sur ces charmants bambins. Prenez le temps d'y réfléchir et vous verrez, vous comprendrez tellement facilement de quoi je veux parler que vous trouverez ça effrayant.
Mercredi 7 novembre 2007 à 18:28
Je voyais tout à fait la scène. Et c'est justement ça qui m'énervait au plus haut point. Je ne trouvais pas le moyen de faire coïncider ma vie et ce que je voulais qu'elle soit. Rageant je dois dire.
Je ne sais pas si les secrets sont réellement faits pour être gardés. Juste, ce silence, là, en moi, me gêne terriblement. Alors je me repasse le film des événements et je cherche la faille, la brèche, l'instant T, le moment où les choses auraient pu prendre un autre chemin. La rupture quoi. Je ne retrouve que des intentions et les faits deviennent de plus en plus flous. Un mois auparavant il y avait eu un orage vraiment pas comme les autres, un mois après je foutais ma vie en l'air. Je crois que j'ai envie de vous le révéler mon secret. Le seul problème c'est que pour ce faire il faudrait que je le comprenne.
Mardi 6 novembre 2007 à 22:44
J'aimerais lui dire que c'est moi. Que ça n'est que moi. Parce que le hasard ça n'est qu'un mythe et que désormais je deviens qui il me chante. Ca peut-être quelqu'un d'autre, un autre physique, un autre visage, une autre histoire... Il n'empêche que c'est moi. Contradictoire, n'est-ce pas ? Mais si je me borne à la logique je n'avance plus.
Il y a un brouhaha. Des gens sifflent. Le danger est là, bien présent, et ils le regardent tous, fascinés et envoûtés. Mais moi seule ose y être, le voir en face, jouer avec lui et me retrouver au milieu des nuées, des odeurs, des sensations qui troublent et désenchantent. Au final, je suis la seule à pouvoir sourire, honnêtement et le rouge aux joues. Pour cela il faut oser. Poser les questions, surtout y répondre et finir de le faire, s'attaquer enfin aux rêves et se rendre compte qu'ils ne sont que de belles illusions.
La classe, la souplesse, la beauté, les circonstances m'importent peu. Ouvre les yeux et vois que je ne suis jamais partie bien loin.
Ce n'est pas de ma faute si je déteste l'ignorance quand je peux la combler.
Mardi 6 novembre 2007 à 22:00
Je n'ai encore rien fait. C'est quand la rentrée ? Oups.
*
La vraie tranquillité c'est de savoir que cela ne peut plus être moi. Il n'y a plus de doute, plus d'incertitude. En somme je ne peux qu'être surprise, agréablement. Ne plus en être.
C'est bête toute l'attention que l'on porte à l'avis qu'ont les gens de nous. Et malgré nos belle paroles nous peinons à nous défaire de cette habitude. Pourtant des efforts sont faits, et des mois après la vie nous surprend en train de nous arrêter, d'y resonger, de regretter même.
Je dis nous, mais je m'en sors peu à peu. Ce n'est pas moi qui vais vous dire que c'est facile, mais c'est possible, il faut plus que du courage mais c'est possible.
Le courage c'est de faire ce qui est juste.
Code moral du judo. (Et je gagnais les prix.)
Lundi 5 novembre 2007 à 22:38
J'avoue que ce soir c'est un peu le rush. ET ce pour a bonne et simple raison que je suis simultanément en train d'écrire pour
hoover, de chercher une fable (moderne attention !) pour le français et de préparer mes TPE.
Ce sont justement de mes TPE, ces curieuses bêtes dont je voulais vous parler. Mon sujet c'est le Tourisme Solidaire, qui n'est de nos jours pas encore bien connu, c'est pour ça que l'indécrottable blogueuse que je suis viens de créer un blog... Pour changer !
Il n'y a pas grand chose pour le moment mais les choses vont bien évoluer, si vous voulez bien m'aider. Je ne vous parle pas du tintouin habituel, lien, pub, etc... vous savez comment cela marche. Mais je vous serai très reconnaissante si vous pouviez nous donner ce petit coup de pouce, pas forcément de suite, je comprends que vous ne souhaitiez pas parler d'un blog avec un seul et unique billet.
Oula, trois secondes je respire là. Quand je vous dis que c'est le rush.
De plus, si quelqu'un pouvait se dévouer pour nous préparer un quelque chose à mettre chez les influenceurs. C'est vraiment pour la bonne cause.
A la fois celle de m'aider à obtenir une belle note (bah quoi !) et d'aider des gens, partout dans le monde en démocratisant une forme de tourisme utile et surtout respectueuse !
Merci vous !
Lundi 5 novembre 2007 à 22:22
Désolée ma chère, mais tu n'as pas l'étoffe nécessaire. Me faire disparaître, vraiment ? Avec tes deux trois cris de vierge effarouchée qui n'en est plus une, ta colère de pacotille alors que tu tremblais de peur... C'est loupé je dois dire. Mais il n'y avait déjà pas beaucoup d'espoir, alors que lui, armé de son flingue avec silencieux, de son orgueil silencieux lui aussi et de son cynisme avait échoué une première fois. Non, toi c'était limite touchant. Comme si l'on voulait bien se donner la peine de m'offrir la mort, une dernière porte de sortie. Merci mais non merci. Les criminels courent toujours vers le toit, c'est avéré. Au final notre aventure n'aura été qu'une histoire de complaisance. Et au bout d'un moment c'est qui moi qui n'en pouvais plus de vous faire ce cadeau là.
Lundi 5 novembre 2007 à 22:16
Je n'ai jamais réussi à écrire le scénario de mes rêves. Et pourtant j'en ai noirci des pages. J'ai d'ailleurs toujours un problème notable avec les temps du passé. La belle ironie du soir/sort. Mon écriture me fait désormais penser à celle de quelqu'un d'autre. Mais je ne saurai trop dire de qui. En fait je crois qu'elle est un mélange d'eux tous ; il me reste au moins ça.
Ainsi qu'une marge à gauche de plus en plus importante. D'après les spécialistes c'est le signe des gens qui ont beaucoup vécu, des choses marquantes. Promis c'est pas une connerie.
PfiuPfiu c'est vrai que le temps passe.