Lundi 24 décembre 2007 à 14:01

Je tenais à remercier du fond du coeur Louchka pour l'habillage "Sur un air de mélancolie", dit aussi "La vie n'est qu'un 75 tours. Si vous y voyez des choses à modifier faites moi signe (et ça vaut pour tous les habillages) parce que pour l'instant je suis trop omnibulée par la chose pour y voir des défauts.

Dimanche 23 décembre 2007 à 22:53

"Des mots gentils à dire pour une fille"

Je tenais juste à tirer mon chapeau à la personne qui a été foutue de trouver mon blog avec cette requête sur google, je suis curieuse de savoir sur quelle page elle est tombée. Ouais, je suis fatiguée ce soir. Je vais d'ailleurs m'en aller avant de faire une belle connerie.
Parfois quand je ne pense pas pouvoir changer en restant seule je demande de l'aide, et parfois on me l'apporte. Ca c'est beau.

Dimanche 23 décembre 2007 à 22:21

C'est totalement con d'être retournée là-bas et d'écouter sa musique. A croire que dès que je me sens un peu paumée je me retourne vers lui, comme vers une bouée qui me coule. C'est con décidément. Je n'y peux rien. Je me suis obligée à couper les ponts en les persuadant de ne plus vouloir de moi. Et je n'arrive pas à le regretter totalement. Ce n'est pas tant sa présence qui m'a fait vivre, c'est son indifférence, son absence dans le meilleurs des cas, c'est de savoir que je l'estimais beaucoup plus qu'il ne songerait jamais à penser à moi. Toujours ce même problème avec la concordance des temps. Pourtant on en a partagé des belles choses, très jolies, mais j'en voulais plus, et toi tu te disais sûrement que c'était plus que suffisant. Merde. Merde. Merde. Tu m'auras fait faire tout et n'importe quoi. Surtout n'importe quoi. Alors que je pense pouvoir t'effacer de ma vie, pouvoir te reléguer dans une grande boîte avec les autres je me surprends à y revenir, naturellement, comme un endroit qui ne nous appartient pas mais qu'on a inventé en grande partie. C'est machinal. C'est infernal. La musique n'aide pas dans ces moments là, elle n'est qu'une connexion de plus. J'en manque avec les autres et j'en ai trop avec toi. Putain de foutoir. Et je reviens aussi à mes anciens tics : passer de la troisième personne du singulier à la seconde. Après on viendra me demander qui est ce monsieur. Il n'y en a pas. Il n'y en a plus. Il y en a trop en fait. La solution serait de mettre une catégorie pour chacun d'eux. Mais j'ai fichtrement peur de la taille que certaines pourraient prendre.

"L'absence est là où le malheur prend forme."
 
S'il y a eu une différence je suis passée à côté.

... C'est pas une catégorie, c'est un blog. Tétanisée.

Dimanche 23 décembre 2007 à 21:40

Je ne me sens pas continuer. Qu'ai je désormais en rapport avec eux ? C'est le fait de le vouloir qui m'attache, le passé. Qu'on idéalise, comme un avenir maîtrisable. Pourtant il ne l'est pas. Je me berce d'illusions. D'où suis-je quelqu'un ? La question se fait à chaque fois plus pressante. J'en détourne mon attention, mais je sais qu'elle reviendra.
Je passe vérifier presque toutes les heures mes boîtes de réception. Attendant un message. Dont je ne connais pas le contenu, et qui n'arrivera pas.
Question d'habitude.

Dimanche 23 décembre 2007 à 20:40

Je n'ai pas envie.

Elle pourrait lever la pointe de son stylo et s'arrêter là. Elle le pourrait. Et elle se demande d'ailleurs si elle va le faire. Sans compter que "je n'ai pas envie" ça veut tout et rien dire à la fois. Elle a peut-être envie tout de même, dans le fond. Qui a éteint la lumière ? Elle n'y voit plus rien. Le jeu était drôle au départ mais maintenant il lui semble un peu amer. Elle en rêvait encore la nuit dernière, alors que la nuit précédente elle s'était jurée que c'était la dernière fois. Du coup elle a peur de retourner se coucher, mais elle craint encore plus de rester éveillée, elle et sa conscience, elle et ses pensées qui filent plus vite qu'on ne saurait le penser. Le vrai problème reste de dire adieu, elle retarde ce moment en espérant qu'il finisse par disparaître de sa vie, de son présent, de son passé et surtout de son futur.

Dimanche 23 décembre 2007 à 19:07

Trouvez un spot wifi orange (cf le dernier article paru dans cette catégorie) à proximité de ces trois adresses et j'offre avec Youstar et Orange un pass hotspot wifi illimité durant sept jours pour chacune de ces adresses :

Route de Tilloy 59178, Brillon
Rue du Bruille 59230 St Amand les Eaux
Rue St Albin, 59500 Douai

Les commentaires comme preuve.

(Anne a raison mais ce soir j'ai la flemme et je suis en mode associal, donc je vous ferai tout ça demain, ou après-demain, à voir.)

Samedi 22 décembre 2007 à 20:28



Après je ne sais pas.
Je ne sais plus.
Si j'ai su un jour.

[A la base c'était un essai pour montrer à ma cellule-mère adorée que nous avions aussi les mêmes difficultés. Mais je n'aime décidément pas avoir des articles hors-ligne.]

Samedi 22 décembre 2007 à 18:16

"On se voit à la rentrée pour faire le point".

Il était temps. J'en ai marre d'être passive, ça me rend malade cette incertitude. Alors encore deux semaines à attendre et j'aurais peut-être la réponse que j'attends depuis si longtemps. Je n'ai pas envie de faire le monstre mais je sais que je serai ridicule en  femme amoureuse, surtout amoureuse de ce garçon là. Je n'ai pas vraiment le choix. Sinon je joue l'homme fort. Décidément mon profil me joue bien des tours. Je veux changer. Je vais changer. Une nouvelle fois.
"Tout va bien." Aucun rapport, il faut passer outre, sourire et écouter les autres. Admirer et ne pas croiser les doigts pour que l'un d'eux se plante. Plaisanter.
De rage et de tristesse.

Samedi 22 décembre 2007 à 13:41

Je suis légèrement furax. Légèrement. Alors que d'habitude c'est le truc qui me passe à cinq mille pieds au-dessus de la tête. D'habitude ouais... Du coup je vais probablement m'énerver cette après-midi, je ne sais pas encore comment mais ça va faire mal. Y'a besoin là.
J'ai une description à faire. Une réponse à donner. Un coup de téléphone à passer.
Parce que j'aime ça. Parce que j'en ai envie. Parce qu'il faut donner le change.

Il n'y a pas d'article long ces temps-ci... Peut-être parce que j'ai froid aux doigts lorsque je tape. Plus probablement à cause d'un manque de connexion.

Vendredi 21 décembre 2007 à 21:00

Je ne connais pas encore ses habitudes, ça va être un nouveau mode de vie à me rentrer dans le crâne, mais je crois que j'aime ça. Je peux prévoir, m'étonner puis deviner, esquiver, orienter... Ca doit être ça le véritable pouvoir, connaître assez bien pour être sans devenir.
C'est si bête cette histoire, tellement embrouillé, je ne parviens même plus à démêler le vrai du faux, mes sentiments et ceux qu'on veut me croire.
Crois-tu que nous allons nous arrêter un de ces jours ? Devenir raisonnables ? Parfois cette pensée me prend et je peine à m'en défaire. J'ignore si j'en serais heureuse ou non alors que je sens que la réponse devrait venir d'instinct.
Tout se barre. Les résolutions ne résistent pas deux heures et les idées partent en fumée. J'ai froid.
Attendez-moi.

Vendredi 21 décembre 2007 à 19:03

J'ai mon fourre-tout, j'ai mon mission commando, j'ai mon été mais il me manque l'hiver et la ville.
Pas chiante mais un peu ; il le faut bien sinon ça n'est plus drôle. J'ai envie de provoquer et d'écrire à l'encre violette. Les ponts ont vu passer l'eau à toute vitesse depuis cette histoire. Le bout de mes doigts est glacé, j'écoute du Girls in Hawaï et je suis dans un état proche de l'inconscience. C'est le pied.

Vendredi 21 décembre 2007 à 18:35

Bon elle a besoin de tout sauf de ma pub mais je tenais à remercier Hélène pour m'avoir mise en relation avec Manon qui m'a envoyé un superbe agenda Cosmo !
Un énorme merci à vous deux !!!



Et Dieu sait que je suis chiante avec les agendas... Mais là j'adore.



Vendredi 21 décembre 2007 à 6:35

Il n'y avait aucun article posté depuis 5h37, je me suis dit qu'il fallait changer cela.

J'ai de l'avance, pas beaucoup mais c'est déjà ça, je ne crache pas dessus. Je me demande juste si je vais la garder longtemps et si elle est seulement suffisante pour me laisser espérer un petit quelque chose. Les choses se passent bien : les manoeuvres fonctionnent sans problème et les surprises restent bonnes. A partir de ce soir il n'y aura plus qu'à attendre, c'est la partie du "plan" que j'aime le moins, et ça n'étonne personne.
Depuis quelques jours je trouve des bulles d'auto-satisfaction, dispersée ici et là, et si elles éclatent assez vite elles suffisent cependant à me persuader que ce que je fais est pour le moment bien fait. C'est déjà ça de gagné, les résultats eux ne se feront plus tarder très longtemps. Du moins je l'espère. Et si je dois me casser la gueule, je me casserai la gueule, point barre.
Je l'ai déjà cru une fois et je me suis relevée si vite que j'ignore désormais si j'ai vraiment mis les genoux à terre. Mettons que oui : c'est bon pour le moral de savoir que je peux repartir à cette vitesse-là.

Jeudi 20 décembre 2007 à 20:39

Une vieille coupure de presse flamande retrouvée comme ça, entre deux liens et aussitôt une foule de souvenirs ressurgit. Thomas était passé dans le journal aussi, et puis dans cette troupe de danse il y avait Martijn et Ruud, les jeux européens de l'an dernier, plus simplement...
J'aime tomber sur ce genre de choses certains soirs où le  moral n'est pas au beau fixe. Pour être honnête ça ne me dérange pas non plus les soirs où tout va bien.
J'ai à nouveau la chanson en tête, et la chorégraphie, et les photos, et les filles qui dansaient. Je crois que ça me manque. L'insouciance que je pensais ne déjà plus avoir. Me dire que c'est ce que je pense encore à l'heure actuelle et avoir peur que ça me retombe dessus. Non, ça n'est vraiment pas souhaité.

Jeudi 20 décembre 2007 à 20:26

Je crois que je me fous de demain, des quatre interros et du reste. Je veux après-demain, dormir et lire. Chanter et jouer. Parler sur msn, simplement m'arrêter.
La journée fut éprouvante ; j'ai mal aux pieds, je suis confuse et triste.
Les trois adresses ne viendront pas ce soir.
L'Ave Maria non plus.
Et il ne faut même pas compter sur la description.
Je suis désolée mais je suis aussi fatiguée, et ça l'emporte.

Jeudi 20 décembre 2007 à 18:27

Tu sais quoi ?
Bien sûr que non tu ne sais pas, c'est logique. Alors je te le dis : j'aimerais te voir rire, et t'entendre surtout. Pas le petit sourire habituel ni le rire étouffé presque forcé qui n'éclate pas correctement. Non j'aimerais un rire clair et fort. Comme celui que j'ai retrouvé, un vieux rire qui date d'une époque révolue mais pourtant pas si lointaine. Il n'y a pas de raison. Et je suis butée dans mon genre, alors oui je te ferai rire. S'il faut pour que cela devienne une résolution ou un objectif prioritaire et bien ça le deviendra.

Je présume que ça non plus, je ne devais pas le dire...

Mercredi 19 décembre 2007 à 20:54

Voilà ce que j'ai reçu... :

"Chère You Star,
 A l'occasion du lancement du Widget «spot'finder », Orange-Wifi vous propose de bénéficier de pass wifi 7 jours illimités pour vous et vos lecteurs, ainsi qu'un NOKIA N95.
 
Qu'est-ce que le widget "spot'finder"?
 
C'est une nouvelle application, téléchargeable gratuitement sur http://www.orange-wifi.com/spotfinder, qui vous permet de trouver tous les hotspots d'Orange et de ses partenaires, en France et à l'étranger, en mode connecté directement sur votre PC ou sur votre Mac.
 
Comment bénéficier des pass 7j illimités?
 
Envoyez un email à wifi@youtoyou.fr
Les 50 premiers You Star qui répondent bénéficieront d'un accès Wifi offert pendant 7 jours en illimité aux hotspots Orange et partenaires. Comment savoir où trouver des hotspots pour utiliser votre pass ? Ben, justement, c'est là où le spot'finder trouve tout son intérêt ;) !!!.
 
Comment faire bénéficier vos lecteurs des pass 7j illimités?
 

Pour chaque You Star qui bénéficie d'un pass Wifi, Orange offre 2 "pass 7j illimités" supplémentaires pour les lecteurs de leur blog. Comment les faire gagner?

En lançant un mini-jeu sur votre blog:

- Donnez une adresse, un métro, un lieu à trouver sur le widget
- Les 2 premiers lecteurs qui trouvent (commentaires faisant foi) un hotspot à proximité ont gagné
- Vous nous communiquez leurs emails et nous leur envoyons leur pass Wifi "

Intéressant n'est ce pas ? Surtout que je ne suis pas vache, je ne vous offre pas un, pas deux, mais bien TROIS pass à gagner... Héhé n'est-ce pas ? Alors je me laisse la journée de demain pour trouver trois adresses bien tordues et je posterai à 21h30 les adresses en question !

Mercredi 19 décembre 2007 à 14:41

"When the truth is.. that I miss you.."



Une photo de Sara, Sara qui a gagné deux thèmes du marathon photo de Montpellier.
J'adore celle là en plus.
Quand elle sont lumineuses, sobres et vivantes à la fois.
Pas quand elle s'embête de trop.


Mercredi 19 décembre 2007 à 14:34

C'est juste pitoyable. Et cette histoire commence vraiment à me prendre la tête.
C'est deux histoires d'ailleurs, une dans le monde "réel" et une dans le monde "virtuel".
Je suis déçue de la modération de cowblog et je me permets de le dire puisque c'est tout de même la première fois en deux ans.
Je suis déçue de l'immaturité de certains lycéens et ça malheureusement ça ne change pas beaucoup.
Pas envie d'en débattre mais je n'en pense pas moins.
Envie d'en découdre mais je ne sais plus ce que j'en pense.
Je chante l'Ave Maria.
J'aime ce défi que m'a lançé Anne.
N'hésitez pas. Je rappelle que le mot de passe invité c'est merci .
Je cherche quelque chose à faire pour la nouvelle année étant donné que je ne la fait pas avec les filles.
J'ai eu 20 à mon rapport de stage, le fameux rapport de stage ! Le pire c'est que je ne suis pas vraiment étonnée...
J'aime décidément les présentations orales.
Aujourd'hui Martin en a une d'ailleurs.
Lire cet article : "Curieuse de la vie."
Laver son écharpe blanche.


Mardi 18 décembre 2007 à 22:35
















Elle avait beaucoup changé. C'était une jeune femme vive, au caractère passionnée. Elle n'enviait personne. Mais décryptait. Et décidait quelques fois de s'approprier une attitude, une démarche, un regard.
Elle n'était certes pas une femme conventionnelle. Elle faisait les choses  non pas comme bon lui semblait, mais comme elles arrivaient, et comme elles pouvaient êtres bonnes pour elle.
Et les gens.
Elle n'avait pas d'attaches. Profondément humaniste, toujours prête à consoler, à aider, à donner son énergie, son sourire. Mais sans attache. Comme une merveilleuse brise d'été qui transporte tous les petits bonheurs, qui redonne à tous un espoir, mais sans jamais s'arrêter, jusqu'a ce qu'elle meure, dans une vallée trop calme. Elle finira comme ça aussi. Elle le sait. Ou pas. En fait elle s'en fout.
De savoir comment va finir une vie, il y en a déjà tant à l'intérieur de la sienne.
Sa vie d'artiste. Sa vie de femme ambitieuse et accomplie. Sa vie de folle instable. Sa vie de petite gamine fragile et inconsolable. Qu'elle ne montrait jamais. Ou presque. Dans un moment de temps si infime que l'on considère qu'il n'existe pas.

<< Page précédente | 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | Page suivante >>

Créer un podcast