Mercredi 23 avril 2008 à 18:20
Mercredi 23 avril 2008 à 15:35
"T'as qu'à y partir avec tes *bips* !"
Ah mais en fait, si je devais partir aujourd'hui, je me demande si je reviendrais. Par force ou envie. Ce ne serait pas pour ces deux-là en tous cas, juste pour des histoires matérielles. Beaucoup d'excuses et la frousse de devoir continuer ainsi. Autant dire qu'il y aurait des chances que je ne revienne pas.
Mercredi 23 avril 2008 à 14:29
"La même coupe que celle de ma mère à dix-sept ans."
Mardi 22 avril 2008 à 23:09
C'est bizarre lorsque l'on se rend compte que l'année est presque finie. Le spectacle est à monter, les costumes à faire, les décors à vérifier... Les chansons à finir, aussi, ça pourrait être une bonne idée. Bizarrement ça n'est pas l'excitation générale. Pourtant on se souvient des affichettes posées un peu partout il y a deux ans de cela "Cherche des draps blancs." "Cherche de la peinture." et tellement d'autres choses. Même qu'ils ont pas intérêt à m'abîmer les murs peints avec Giovanni. Faut respecter les anciens non mais ! D'autant plus lorsqu'ils sont partis. En fait, au fur et à mesure que j'avance, je ne fais que me dire que j'aurais mieux fait de partir, moi aussi. Ca n'est pas faute d'avoir essayé. Le bon plan ce sera peut-être une journée entre filles avec Hélène et Caroline. Les mentalités sont différentes, bien sûr, mais passer une heure au soleil avec elles c'est mieux que beaucoup d'autres salles d'attente. Clairement.
Mardi 22 avril 2008 à 15:09
Lundi 21 avril 2008 à 22:09
Lundi 21 avril 2008 à 20:45
Promis, je ne m'habillerai pas en bonne soeur.
Lundi 21 avril 2008 à 18:37
C'est vrai qu'au final ils manquent, ces deux sourires. Les autres aussi. Parce que le lycée est tellement bon que souvent y'a quelques prémices de sévices sexuels (répétez cette phrase le plus vite possible pendant trois minutes) dans les couloirs entre un monsieur plus vieux que la moyenne et le sosie de Stéphane Bern. L'un clairement sadique, l'autre clairement masochiste. Il font la paire. Mais il semblerait qu'en s'arrangeant correctement si l'on frappe le premier il y a la possibilité de se retrouver menotté(e) au bas de son lit. A voir donc. Les frites étaient en effet dégueulasses. Ils ont tellement de style d'un short et un t-shirt rouges, ou encore une robe chapiteau ne leur font pas peur... "Si tu devais me ressembler ?" Bah je serais bien contente attend !" Les livres dont il faut se souvenir du nom de l'auteur. Mon casque qui "déchire tout". Au passage, Marion a l'humour si particulier... Elle qui rigole je ne sais pas pourquoi. Moi qui ne suit visiblement pas au courant de tout. Les clins d'œil et les regards qui veulent tout dire, parce que voilà, heureusement que les amis sont là ! Bah ouais ! Heureusement. "Lille l'an prochain, sinon c'est pas drôle" je ne vais pas dire le contraire ! N'empêche, à Lille on ne peut pas aller piquer-niquer sur les rails du tramway. Bah oui, il faut mesure. Aussi ! Je maintiens que Paris ça peut être très bien. Non mais. Limite, au lieu du ciné ou de la plage y'a qu'à nous emmener là-bas. On m'avait bien dit "quand tu veux" pour une prochaine ballade ! Faut assumer.
Vraiment.
Les "on" et le reste, c'est pour Adeline et Thomas.
Pour mon Stéphaninounichet de Matthias, aussi.
Lundi 21 avril 2008 à 10:06
8h15, St Amand les Eaux. Le casque autour du cou. Marcher vers le lycée. Regarder la tour. La ville qui continuait sa petite vie bien tranquille sans nous. Personne n'a envie de reprendre les cours. Je ne comprends pas pourquoi certains demandent encore : "T'as envie d'y retourner toi ?" bien sûr que non... Juste, c'est la preuve que le temps passe, revenir, préparer les cours, les exposés, les interventions etc. Ces choses là prennent du temps lorsqu'on les fait. Il est là le problème, il faudrait que je me mette à les faire. C'est mal parti, je vous écris depuis le CDI du lycée. Je dois réhabituer mes doigts à ce clavier trop étroit. De tout l'on prend l'habitude. C'est ce qu'on dit. On. Toujours lui qui revient. Et si j'en avais marre des indéfinis ? Les terminales S révisent leur chimie et leur philo, les premières ES 1 traînent ou bossent (moi mise à part), la documentaliste cherche des infos sur le net. Photocopie de la gamine qui a suivi un adulte connu par internet, fille de douze ans qui a découché. Chronique et mots posés d'un ennui ordinaire. La zone parisienne est en vacances. Montpellier aussi.
Dimanche 20 avril 2008 à 21:55
Dimanche 20 avril 2008 à 21:13
[Un souvenir de Bambi, aussi.]
Dimanche 20 avril 2008 à 10:57
Changement d'habillage et il faudrait que je retrouve la chanson qui m'a fait décider cela. En attendant, à nouveau du Scala.
Dimanche 20 avril 2008 à 10:36
Samedi 19 avril 2008 à 23:03
Impossible. C'est ce que tu me fais haïr chez les autres. Comment alors tenter d'atteindre ce niveau sans offenser l'image que je me suis faite ? Étrange, ce soir, et depuis longtemps en réalité, je ressens un apaisement. J'ai abattu mes cartes, les unes après les autres et chacune a été irrémédiablement balayée d'un revers de main que j'ose encore parfois croire accidentel. On ne supprime pas ce à quoi on attache aucune importance. Ce n'est pas un apaisement. C'est un vide.
[C'est tellement différent, aujourd'hui.]
Samedi 19 avril 2008 à 19:25
Oh, oui, ça va, je suis au courant que je tourne en rond, que du coup je me répète et que ça n'en finit pas... Ce dont toi tu n'es pas au courant c'est pendant ce temps, passé à ne rien faire ou presque, à se répéter et à revenir en arrière parce que j'avance, et bien je prends de la vitesse. Viendra un moment où je quitterai la piste. Pour aller vers un ailleurs.
En même temps... T'as intérêt de courir vite si c'est moi que tu cherches à fuir.
Mais je suis encore un cran au-dessus. A une vitesse supérieure. Bouffe le ton neckless. Pas la peine de te déplacer en France. Vraiment pas la peine. "There is someone who you miss more."Ahaha. Vraiment de l'humour. Beaucoup.
Samedi 19 avril 2008 à 17:22
Tu sais parfois je laisse plusieurs jours s'écouler avant de lire tes articles comme ça après je passe des heures à les lires, à faire defiler ma musique, la mélanger avec la tienne. J'aime bien faire ça <3 I just wanna say that, take care of you cause you will miss us too much !
L.
Samedi 19 avril 2008 à 16:51
Oh, oui, ça va, je suis au courant que je tourne en rond, que du coup je me répète et que ça n'en finit pas... Ce dont toi tu n'es pas au courant c'est pendant ce temps, passé à ne rien faire ou presque, à se répéter et à revenir en arrière parce que j'avance, et bien je prends de la vitesse. Viendra un moment où je quitterai
Samedi 19 avril 2008 à 13:18