Un bruit court selon lequel je serais maussade. On se demande pourquoi. Vraiment. Et puis que ce soit le jour à n'importe quelle heure ou pas, ça ne change rien. Faut absolument pas se louper. C'est trop énorme pour être loupé. Cette chanson. Cette danse. Cette ambition. Cette histoire.
Samedi 26 avril 2008 à 22:02
Un bruit court selon lequel je serais maussade. On se demande pourquoi. Vraiment. Et puis que ce soit le jour à n'importe quelle heure ou pas, ça ne change rien. Faut absolument pas se louper. C'est trop énorme pour être loupé. Cette chanson. Cette danse. Cette ambition. Cette histoire.
Samedi 26 avril 2008 à 21:21
Ou alors. Merci à demoiselle Eloïne pour avoir si bien résumé ma pensée dans un email n'ayant pourtant aucun rapport.
Samedi 26 avril 2008 à 19:45
Extrait de Art poétique
Samedi 26 avril 2008 à 19:08
C'est surtout que je me relis (beaucoup) trop.
Samedi 26 avril 2008 à 18:17
On s'en fout : j'ai les cheveux coupés.
Samedi 26 avril 2008 à 13:28
Un de mes oncles. Sébastien et moi.
C'est à partir de là, je présume, que tout a changé.
Je me suis perdue dans mes photos, dans mes souvenirs.
Depuis ma naissance jusqu'à la maternelle.
Les amis, une fois arrivée (!) au CP.
Du CP jusqu'à la 5ème, pas au collège. Non. En dehors.
Et c'est qu'ils me manquent, en plus. Ces amis.
Vendredi 25 avril 2008 à 21:48
Vendredi 25 avril 2008 à 21:29
Vendredi 25 avril 2008 à 21:14
Deux paroles en l'air
Trois petits bateaux
Oubliés par terre
Un peu de ta bouche
Beaucoup de ta gueule
Quatre poils dans la douche
Tu vivrais mieux seule
Tes erreurs
Mes jugements
Mes jurons
Tes errements
> Et après ? <
Après on rêve d'avant
Rien de secret,
Tout se perd,
De quoi avons-nous l'air
A l'heure de l'inventaire
De quoi avons-nous l'air
De quoi avons-nous l'air
Cinq minutes chrono
On fera mieux demain
Six mauvaises photos d'inceste ou d'un saint
> Sept appels de ta mère
Un message par heure
Tu pourrais décrocher
Marre du répondeur <
Tant est plus pour trois fois rien
Trop de mal pour un bien
Au bout du compte
Amour tu m'aimes combien ?
Rien de secret,
Tout se perd,
De quoi avons-nous l'air
A l'heure de l'inventaire
De quoi avons-nous l'air
> De quoi avons-nous l'air ? <
De quoi avons-nous l'air ?
> De quoi avons-nous l'air ? <
Huit ans à t'aimer
C'était un jeudi
La terminale B
Pas une lettre depuis
Neuf je ne sais plus bien
Je vais pas mentir
Je ne trouve plus rien de neuf à te dire
Que te reste-t-il de moi ?
> Mieux vaut en rester là. <
Mais dis-moi
Est-ce que je compte pour toi ?
Vendredi 25 avril 2008 à 20:41
Quoi de mieux comme musique pour recommencer qu'une chanson offerte par Laurine et parlant de Mademoiselle ? Franchement ? Musique d'hier soir.
Jeudi 24 avril 2008 à 22:48
Fuck
Bah c'est con d'ailleurs. Parce que la colombe n'en est pas une, parce que le crapaud n'en est pas un, et même si c'était le cas, la colombe finirait par s'écraser, épuisée d'avoir trop volé, par peur de se poser, enfin. D'autant plus que le problème actuel serait plutôt que rien n'atteint la colombe.
Jeudi 24 avril 2008 à 20:51
Ça s'appelle lagrandemymy et ce
n'est même pas capable de faire un p'tit deux millième soi même.Nain porte
quoi ? Bah rien justement.
Un centième que je voulais, normal
pour elle, fastoche même. Les doigts dans le nez qu'elle l'a fait. Un deux
millième, pourquoi pas. Me demander, à moi, hum -tarée- grand sourire, et puis
qu'on se marie aussi tant que t'y es hein ? Ah, oui c'est vrai, tu me l'as déjà
demandé. Bon. Pas le choix alors....
Faut croire.
Faut croire que t'as plus confiance en moi que tu ne le devrais miss. Miss, enfin pardon, c'est vrai que maintenant c'est mademoiselle. J'aimerais te répondre tien. C'est vrai que je pourrais faire ton éloge, faire comme tous ces deux millième articles que l'on croise un peu partout. Ceux que je-ne-sais-qui fait à je-ne-sais-qui-d'autre. Mouais je pourrais. Pfff trop facile en même temps. Et pi tu sais bien que je fais pas dans le banal moi.
Ouais, toi non plus je crois bien.
Réponse : Écrire non, je n'appelle pas ça de l'écriture. Je dirais plutôt tenter coûte que coûte de retranscrire des émotions plus ou moins intenses que sur le papier ça ne rend pas super. Toi aussi tu le fais, l'écriture en plus bien sûr. "C'est fou comme certains vécus peuvent se ressembler." Dire que c'est ce que je me suis dis la première fois qu'on s'est vraiment parlé. C'est bête mais en quelques sortes tu m'as toujours foutus les j'tons quand je te lisais. J'y voyais ma vie j'imagine. Toujours en fait. Ce qui me fait peur c'est que plus le temps passe et plus au lieu de diverger dans nos actes on se rapproche. Merde. J'espère que ce n'est qu'une illusion de parano-dépressif que je suis et qui se monte tout un film basé sur des coïncidences. Rassure moi ... Allez.
Être un peu toi ? Tellement que tu en es devenue Mademoiselle avant que je ne le sois. Tant et si bien que je ne reste plus que la p'tite Mam'zelle, mais ça me va très bien comme ça aussi. Ah et puis merci pour tout.
Jeudi 24 avril 2008 à 19:50
Jeudi 24 avril 2008 à 19:37
Salue d'abord les spectateurs
[...]
Ayant décroché une étoile
Il la manie à bras tendus "
Les deux personnes que je garde au coeur.
" Il n'y a rien qui ne m'arrache à cette fin,
n'écorche ce dessein
je ne vois rien qui n'efface ce chemin "
ne m'achève enfin.
Jeudi 24 avril 2008 à 18:05
Aujourd'hui du soleil. Des notes, bien sûr, des cours, accessoirement. Des sketches en anglais, à grand renfort de Ice Tea, "Marge and John are having a drink in a pub". Convertir un pote aux études d'histoire, toujours en espagnol, parce que le droit n'est pas pour lui et que c'est le rêve de notre ancien-futur professeur d'histoire géographie. Mais vraiment, Lille 3 ça va être fun en 2010. Des supplications pour deux jeunes filles affamées. Un dossier sur la Bulgarie rendu (19!) et d'autres choses dont on se fout complètement.
Avoir le regard perdu ça n'est pas exactement pareil qu'avoir envie de pleurer. J'étais juste perdue dans nos souvenirs, justement.
Rentrer chez soi sous la pluie battante, avec une simple veste kaki. C'est pas juste. Il a fait si beau toute la journée. Se faire sauver. Et finalement rentrer chez soi en voiture et t'inviter comme j'aurais dû le faire en novembre.
Maintenant travailler. Raconter ses journées pour se dire qu'elles existent.
Mercredi 23 avril 2008 à 22:01
Non mais. Franchement.
Pour 25€ en plus.
[LAURE T'AS INTERET D'Y ALLER ET DE M'ENREGISTRER TOUT CA !!!!]
*ceci n'était pas un message subliminal*
Positivons : le sept juillet je penserai à autre chose, et j'en serai bien contente. Hein oui ?!
Mercredi 23 avril 2008 à 20:21
Sarah, très chère future mariée (héhé), le millième, je peux mettre celui que j'ai déjà ?
Mercredi 23 avril 2008 à 18:54
Mercredi 23 avril 2008 à 18:20
Mercredi 23 avril 2008 à 15:35
"T'as qu'à y partir avec tes *bips* !"
Ah mais en fait, si je devais partir aujourd'hui, je me demande si je reviendrais. Par force ou envie. Ce ne serait pas pour ces deux-là en tous cas, juste pour des histoires matérielles. Beaucoup d'excuses et la frousse de devoir continuer ainsi. Autant dire qu'il y aurait des chances que je ne revienne pas.