Te souviens-tu ?
Lundi 25 février 2008 à 16:39
Lundi 25 février 2008 à 13:44
Lundi 25 février 2008 à 0:22
Lundi 25 février 2008 à 0:06
Dimanche 24 février 2008 à 22:43
C'est toujours plus simple en anglais.
Ma vie serait peut-être plus simple en anglais.
J'en sais rien à vrai dire. On verra ça, plus tard. Comme on pourrait très bien ne pas le voir. Tu m'en poses aussi toi des questions à la con. Dix-huit, dix-neuf, vingt ans, j'ai oublié qu'elle était la différence.S'il y en a eu une un jour. Ce dont je doute. Toi. Toujours présent. Toujours absent. Je ne t'ai rien demandé à la base. Mais je suis une incapable sans toi. C'est pas de ma faute. Ça n'est pas de la tienne non plus. Y'a pas de coupable. Peut-être parce qu'il n'y a pas de crime. Cela reste à voir.
Ne plus penser. Mon coeur tu es un beau salaud.
Dimanche 24 février 2008 à 17:10
Si si, c'est à rendre tel quel.. (papout = surnom de notre ADOREE [true] prof d'éco !)
Samedi 23 février 2008 à 22:43
Même si cela lui coûte.
Samedi 23 février 2008 à 22:16
Posez-vos questions.... S'il vous plaît.
Samedi 23 février 2008 à 22:02
Ce chemin là, retrousser ses manches et oser plus haut que ses rêves et sens envie, c'est l'évidence. Pas chez moi. Il y a certaines heures de sommeil qui valent tellement plus de quinze euros. J'ai un parfum en tête et une sensation sur ma peau. Ce serait plus simple sans.
Je reviens à la situation actuelle où je ne me sortirais jamais de ces mots. Je ne m'en suis jamais sortie en même temps. Je parle de quoi ? De mon avenir ? De mon coeur ? Des mes idées ? De l'ensemble probablement. De ma vie, y'a des chances. Il n'est pas si facile de vivre. Surtout quand on ne sait pas pour quoi, ni pour qui. Pour moi. Ouais. Solution de facilité encore, je présume.
Samedi 23 février 2008 à 21:12
J'aimerais te voir violent, déçu, triste, autrement qu'avec cette fiabilité qui te caractérise. Je rêve de conversations enflammées, intéressées, dures, fortes, pas de cette gentillesse polie comme si elle était prévue dans ton contrat.
Tu es tellement bien que je crois que tu en deviens inintéressant. Une surface, un mur lisse sur lequel je ne trouve pas une seule prise. Alors je cherche le moindre enfoncement, le moindre caillou qui se serait détaché de la paroi en libérant un espace, aussi infime soit-il.
Non. Tu réfléchis la lumière et seule ton absence peut faire mal, et encore, dans une moindre mesure puisque tu ne fais rien pour que les gens s'attachent à toi.
Mais voilà, c'est peut-être parce que je ne crois pas être les gens, parce que selon les théories en vogues, on tombe toujours amoureuse du contraire du dernier (ne répétons pas les mêmes erreurs), bref, moi je m'attache.
*
Finalement je pourrais changer le prénom masculin.
Mais ça ne serait encore qu'une passage.
Marre de ne pas réussir à trouver le bon.
Marre de voir l'histoire se répéter. En fait je n'ai plus besoin d'écrire : il suffit de fouiller mes archives.
Samedi 23 février 2008 à 3:54
Samedi 23 février 2008 à 3:25
Un seul regard. Un seul mot. Une seule amitié. Une seule information. Parmi toutes les autres. Une fixation sur un polo vert. Une horrible confirmation se fait : nous ne jouons pas au même jeu. Pourtant le livrets de règles me semblent être identiques. Le niveau diffère légèrement. Ça doit être ça. Ça ne peut être que ça. Puisque les bonus et les malus sont les mêmes, la limite de temps aussi. Tout concorde. Ou presque. Une seule chose change : l'aspect. Et il me fout en l'air. Il faut s'élever. Mouais. J'ai un doute quant à savoir si cette évolution est réellement positive. On la considère comme telle alors pourquoi pas. Oui je vais changer, moi aussi, comme jamais, encore.
Samedi 23 février 2008 à 3:13
Quentin et Emeline.
Vendredi 22 février 2008 à 17:28
Jeudi 21 février 2008 à 22:43
Jeudi 21 février 2008 à 22:24
Je ne suis pas et n'aime pas cette série.
N'essayez pas de comprendre si ça ne vous vient pas de suite à l'esprit.
Vraiment trop tordu mais à poster malgré tout.
Jeudi 21 février 2008 à 14:40
Mes petits, je tiens à vous rappeler une règle fondamentale dans le travail de rédaction d'un rapport moderne. Google est votre ami, CERTES, mais n'en abusez pas ! Ou vous finirez, comme moi, par jouer à "Marquise vos beaux yeux d'amour me font mourir" avec des phrases de ce type :
"Le tourisme solidaire permet donc de préserver le respect de la personne, des cultures et de la nature, en impliquant le voyageur dans la nécessité sociale du lieu de destination." si quelqu'un a la solution, nous sommes toujours preneuses (dictionnaire des synonymes recommandé).
Jeudi 21 février 2008 à 12:31
Il faut écrire. Facile à dire. Et si je n'avais pas envie d'écrire moi ? Si je voulais m'arrêter et voir ce que cela fait, tout simplement. Profiter. Être vraiment. Ca pourrait être pas mal. Et depuis hier après-midi j'ai une chanson d'Axelle Red en tête "Parce que c'est toi." C'est con hein ?
Je pense aussi à une phrase toute simple mais que m'a (me) fait beaucoup réfléchir "Ma fille à 13 ans je ne la laisserai pas s'habiller comme ça." Comme si on pouvait s'imaginer sa fille. Son éducation. Et ce qui va avec. Sauf que voilà il était crédible, super crédible. Je me suis encore réveillée vers trois heures cette nuit. Ca n'est pas pénible pour autant. Bon. Je vais tout de même réussir à écrire, ou pas. Sinon je passerais outre. Pour changer. On attend la suite. On profite de cette attente, une fois n'est pas coutume. Quoique, je dois avouer que si cela pouvait devenir coutumier je ne me plaindrais pas. Au contraire. L'impatience court toujours. Je l'ai dépassée. Yeah. Je commence à aimer la course moi. Ne pas s'énerver pour autant en l'entendant parler. Se souvenir. Se délecter. Aller au cinéma. T'offrir les places. Rire. Rire. Sans jamais s'arrêter. Je ne sais pas m'arrêter. Vous pensez qu'il y a mur au bout ? J'espère pas.
Mercredi 20 février 2008 à 21:35