Lundi 25 février 2008 à 16:51



Te souviens-tu ?

Lundi 25 février 2008 à 16:39

J'ai envie d'essayer. Il n'y a aucune raison précise à mon refus. Alors pourquoi pas. Je n'ai pas voulu répondre hier. Je sais ce que j'aurais pu dire. Je le dirai ce soir. Ou pas. Si j'avais gâché mon unique chance ? Je refuse d'y croire. J'y arriverai. Parce qu'il n'y a plus que ça à faire. Partir. Vers le nord. Vers le sud. Mais partir. Rejoindre quelque chose. Quoi je l'ignore. Mais je sais que ça me manque.

Lundi 25 février 2008 à 13:44

SOS : s'il y a quelqu'un pour me prêter un premium !!!

Lundi 25 février 2008 à 0:22

Plus jamais. Hein. Ni elles, ni toi, ni moi. Jamais. Mon oeil. Je ne vais pas te mentir à toi. Je vais y aller quand même. Par goût du risque ? Par masochisme ? Non. Par défi probablement. Pour voir jusqu'où je suis capable d'aller. Pour de vrai. Je me suis fait bouffer pendant deux ans, c'est vrai, mais par une chimère. Ça mord comment les gens ? Les vrais ? Faut bien voir ça aussi. Non ? J'apprends pas des erreurs des autres. Je n'apprends jamais mes leçons alors... Celles des autres. Et puis ça n'est pas vraiment pareil. Ça ne sera pas pareil. Heureusement. C'est pas pour autant que la morsure ne fait pas mal. C'est vif comme sensation. Oui, vif. C'est le mot.

Lundi 25 février 2008 à 0:06

So strange. And I'm afraid. Can you scream ? Can you run ? Yes ? Ok. You can love.




Dimanche 24 février 2008 à 22:43

C'est plus simple en anglais.
C'est toujours plus simple en anglais.
Ma vie serait peut-être plus simple en anglais.

J'en sais rien à vrai dire. On verra ça, plus tard. Comme on pourrait très bien ne pas le voir. Tu m'en poses aussi toi des questions à la con. Dix-huit, dix-neuf, vingt ans, j'ai oublié qu'elle était la différence.S'il y en a eu une un jour. Ce dont je doute. Toi. Toujours présent. Toujours absent. Je ne t'ai rien demandé à la base. Mais je suis une incapable sans toi. C'est pas de ma faute. Ça n'est pas de la tienne non plus. Y'a pas de coupable. Peut-être parce qu'il n'y a pas de crime. Cela reste à voir.

Ne plus penser. Mon coeur tu es un beau salaud.

Dimanche 24 février 2008 à 17:10

Si si, c'est à rendre tel quel.. (papout = surnom de notre ADOREE [true] prof d'éco !)

Samedi 23 février 2008 à 22:43

Il est quatre heures du matin. Les aiguilles du réveil posé sur le bureau ont beaucoup avancées, elle le sait au bruit. Si elle lève le volet elle verra que la nuit est déjà plus claire. Elle ne lève pas le volet. Elle sort. Comme ça, pour se poser au milieu du jardin, encore très humide. C'est l'été. Pas de vent. C'est vivant le vent. L'herbe ne bouge pas. Bientôt un soleil orange prendra place à la gauche de son horizon, derrière les arbres du voisin, au delà de la plaine et de la forêt. La rosée tombe sur ses épaules. Elle ne la dérange plus, cela avait été un peu dérangeant, au début, ce froid suivi de la montée de la température. Mais depuis le temps elle a oublié. Son esprit n'est pas vraiment dans cette aurore. Il est avant, dans un passé, dans un choc et une blessure. Voilà pourquoi elle ses sensations se font moins fortes. Est-ce un rêve ? Est-ce un souvenir ? Simplement le présent... C'est ce qu'il y avait de plus terrible. Elle veut crier sa douleur à cette lumière qui se fera éclatante pour tous, sauf pour elle. Elle souffre en silence. Ce soleil est traître. Il illumine les autres d'un halo qu'elle voit heureux alors que son monde, le monde n'est qu'une violence et qu'un bruit. Dès maintenant. Il faut qu'elle arrête. Il faut qu'elle devienne cette lumière. Pour elle, juste pour elle. Se lever non plus pour souffrir. Pour vivre peut-être. Ça ne doit pas être si mal. Déjà pour savoir ce que ça fait.

Même si cela lui coûte.

Samedi 23 février 2008 à 22:16

On comprend jamais rien à ce que j'écris. Je sais bien. J'aimerais vous faire comprendre mais je n'ai pas envie de tricher en même temps. Oui, je reste une envieuse étrange. Pour moi ce serait de la triche que de changer ma manière de faire, voilà l'une des raisons. Je n'aime plus tricher.
Posez-vos questions.... S'il vous plaît.

Samedi 23 février 2008 à 22:02

Plus j'y pense plus j'ai peur. De le faire. De ne pas le faire. De laisser couler. De trop en faire. De ne rien faire. La peur. La vraie peur. Celle que je ne connais pas souvent. "Le courage c'est de faire ce qui est juste." bien dit. Le problème est de trouver ce qui est juste, c'est ça qui m'effraie. Alors le courage n'existe plus ? Non. Pfiiu, aux oubliettes. La question ne se pose même pas en fait. D'après eux. Et je me rends folle en la posant malgré tout.
Ce chemin là, retrousser ses manches et oser plus haut que ses rêves et sens envie, c'est l'évidence. Pas chez moi. Il y a certaines heures de sommeil qui valent tellement plus de quinze euros. J'ai un parfum en tête et une sensation sur ma peau. Ce serait plus simple sans.

C'est toujours quand je m'endors en pensant à un problème précis que je rêve d'un autre qui pourrait rendre la situation encore plus épineuse. C'est inéluctable. De ces soirs où je hais mon mode de fonctionnement, j'en testais un autre depuis quelques jours, qui me faisait sourire, rire, chanter... J'étais bien. Je faisais ce que j'aimais faire, sans pression aucune, et du coup je le faisais bien, j'en étais contente et je pense que je pouvais rendre les gens un peu plus heureux aussi... Le sujet n'est pas là. Le sujet n'est plus là. Je suis plus belle quand je suis grave. Je n'aime vraiment pas la demi-mesure mais je suis tellement éclatée que je peux être que ça. C'est fort et fragile comme assemblage. L'amalgame de milliers de morceaux de couleur, collés à la colle extra forte, ça n'est pas blanc, ça n'est pas noir pour autant. Pour trouver cela beau il ne faut regarder qu'une facette à la fois. Faudrait que je me recycle en tant que diamant, histoire que l'aspect général soit lui aussi présentable. C'est trop ambitieux. Je ne peux pas être tout mais je ne suis pas rien et  ça ne me convient pas. Et puis j'ai pas l'artisan à portée de la main.

Je reviens à la situation actuelle où je ne me sortirais jamais de ces mots. Je ne m'en suis jamais sortie en même temps. Je parle de quoi ? De mon avenir ? De mon coeur ? Des mes idées ? De l'ensemble probablement. De ma vie, y'a des chances. Il n'est pas si facile de vivre. Surtout quand on ne sait pas pour quoi, ni pour qui. Pour moi. Ouais. Solution de facilité encore, je présume.

Samedi 23 février 2008 à 21:12

Un peu de ton sourire. Me mettre sur la pointe des pieds pour te faire la bise. Toi tu ne t'attends à rien, tu ne désires rien, tu te contentes de sourire et d'exister. Curieusement cela suffit à tous. Ou presque.
J'aimerais te voir violent, déçu, triste, autrement qu'avec cette fiabilité qui te caractérise. Je rêve de conversations enflammées, intéressées, dures, fortes, pas de cette gentillesse polie comme si elle était prévue dans ton contrat.
Tu es tellement bien que je crois que tu en deviens inintéressant. Une surface, un mur lisse sur lequel je ne trouve pas une seule prise. Alors je cherche le moindre enfoncement, le moindre caillou qui se serait détaché de la paroi en libérant un espace, aussi infime soit-il.
Non. Tu réfléchis la lumière et seule ton absence peut faire mal, et encore, dans une moindre mesure puisque tu ne fais rien pour que les gens s'attachent à toi.
Mais voilà, c'est peut-être parce que je ne crois pas être les gens, parce que selon les théories en vogues, on tombe toujours amoureuse du contraire du dernier (ne répétons pas les mêmes erreurs), bref, moi je m'attache.

*
Finalement je pourrais changer le prénom masculin.
Mais ça ne serait encore qu'une passage.
Marre de ne pas réussir à trouver le bon.
Marre de voir l'histoire se répéter. En fait je n'ai plus besoin d'écrire : il suffit de fouiller mes archives.

Samedi 23 février 2008 à 3:54

J'ai tenté de faire un petit truc pour Ladypirate. Rapidement. Y'a pas de tout. Alors j'invite à chercher et à être curieux... Deezer, radioblog, emule etc. sont vos amis ! Ah, si, tout de même : j'ai essayé de rassembler quand même vers un truc pop/rock enfin euh. Plus ou moins. En fait j'ai pas mis ni de jazz ni de musique classique, et pas trop de chanson. Voilà voilà.




Samedi 23 février 2008 à 3:25

La préparation des concours. Miam. Une pensée émue pour Quentin, peut-être avant l'heure ? Pour l'autre aussi. Je n'aimerais pas être à leur place. La mienne me convient très bien. Un seul problème...

Un seul regard. Un seul mot. Une seule amitié. Une seule information. Parmi toutes les autres. Une fixation sur un polo vert. Une horrible confirmation se fait : nous ne jouons pas au même jeu. Pourtant le livrets de règles me semblent être identiques. Le niveau diffère légèrement. Ça doit être ça. Ça ne peut être que ça. Puisque les bonus et les malus sont les mêmes, la limite de temps aussi. Tout concorde. Ou presque. Une seule chose change : l'aspect. Et il me fout en l'air. Il faut s'élever. Mouais. J'ai un doute quant à savoir si cette évolution est réellement positive. On la considère comme telle alors pourquoi pas. Oui je vais changer, moi aussi, comme jamais, encore.

Samedi 23 février 2008 à 3:13

Je n'aime pas être prise pour une imbécile. Encore moins quand c'est par une gamine de sept ans et son frère qui en a onze. M'enfin. Je suis payée pour ça, pas comme avec les grands cons de bientôt vingt ans et plus. C'est marrant de retrouver les biscuits de mon enfance dans une maison étrangère. Le mix de la jungle. Beaucoup de mes souvenirs sont liés à Simon et celui-ci n'échappe pas à la règle, sans que je sache ni comment ni pourquoi. J'ai hâte d'être à demain. Et à après-demain, à lundi aussi, même à mardi. Sauf que ce week-end s'annonçait décidément trop court. Cours d'anglais et baby-sitting : 90€ en quatre jours. De quoi me racheter une mobicarte...

Anne, Bérengère, Mylène, Laure, Sarah, J-D et Pierre.
Quentin et Emeline.

Vendredi 22 février 2008 à 17:28

Il faut profiter un peu. Un peu ? T'es sûr ? Pourquoi se limiter ? Non, allons-y pour de bon. Demain ça sera déjà différent. J'ai rencontré hier un veillard de 90 ans qui était bien plus jeune que nous. En fait notre système de valeurs a fini par être totalement détraqué. Ceux qu'on appelle "seniors" sont dotés des valeurs qui sont censées êtres les notres et inversement... C'est un monde de fous.

Jeudi 21 février 2008 à 22:43

Il y avait, il y a toujours d'ailleurs, quelques grains de sable dans mon paquet de chewing-gum.. C'est véridique : ils sont là comme pour prouver que j'étais bien à la mer du dimanche. Il y avait d'ailleurs un très beau jeune homme. Sauf qu'il n'est pas question de ce bel inconnu ici. Quoique... Il s'agit juste d'un autre bel inconnu auquel j'avais pensé en voyant le premier, par-dessus le marché. Que de bonnes surprises ! Je m'en remets, tout doucement. Je perds le fil de mes pensées mais ça n'est pas grave. Une écriture correcte, à l'encre noire sur une feuille quadrillée rangée à l'intérieur d'un petit classeur vert. J'aurais aimé montrer cela. Je n'étais probablement pas celle capable de le faire à ce moment là. C'est bête de s'être loupés de si peu. Si seulement je m'étais un peu retenue. C'est ça aussi quand on a pas l'habitude et qu'il nous surprend. Le bonheur peut se révéler légèrement traître. Alors qu'on veut le veut entier et dans l'instant. Je ne suis pas rancunière : c'est parfait. Par contre, avec un peu plus d'assurance j'oserais tenter dès maintenant. Ça ne servirait en toute logique à rien, vu l'absence au message "naturel". 80% de la communication est non-verbale. Voilà, ça c'est fait. Et s'il l'avait trop été, naturel ? Bof. Je n'y crois pas. Et je ne dois pas y croire. Ou bien je devrais arrêter de rêver, ce serait dommage. J'en ai marre du conditionnel. C'est se monter la tête (moi je saisis la balle au bond, il n'a qu'à m'en donner l'occasion !). Tiens, un faux espoir. Il y en aura beaucoup je suppose, accompagnés de petites déceptions. Jusqu'à la vraie, réelle et grosse, celle qui fera et fait déjà mal.

Jeudi 21 février 2008 à 22:24





Je ne suis pas et n'aime pas cette série.
N'essayez pas de comprendre si ça ne vous vient pas de suite à l'esprit.
Vraiment trop tordu mais à poster malgré tout.

Jeudi 21 février 2008 à 14:40

Mes petits, je tiens à vous rappeler une règle fondamentale dans le travail de rédaction d'un rapport moderne. Google est votre ami, CERTES, mais n'en abusez pas ! Ou vous finirez, comme moi, par jouer à "Marquise vos beaux yeux d'amour me font mourir" avec des phrases de ce type :

"Le tourisme solidaire permet donc de préserver le respect de la personne, des cultures et de la nature, en impliquant le voyageur dans la nécessité sociale du lieu de destination."

si quelqu'un a la solution, nous sommes toujours preneuses (dictionnaire des synonymes recommandé).

Jeudi 21 février 2008 à 12:31

Il faut écrire. Facile à dire. Et si je n'avais pas envie d'écrire moi ? Si je voulais m'arrêter et voir ce que cela fait, tout simplement. Profiter. Être vraiment. Ca pourrait être pas mal. Et depuis hier après-midi j'ai une chanson d'Axelle Red en tête "Parce que c'est toi." C'est con hein ?
Je pense aussi à une phrase toute simple mais que m'a (me) fait beaucoup réfléchir "Ma fille à 13 ans je ne la laisserai pas s'habiller comme ça." Comme si on pouvait s'imaginer sa fille. Son éducation. Et ce qui va avec. Sauf que voilà il était crédible, super crédible. Je me suis encore réveillée vers trois heures cette nuit. Ca n'est pas pénible pour autant. Bon. Je vais tout de même réussir à écrire, ou pas. Sinon je passerais outre. Pour changer. On attend la suite. On profite de cette attente, une fois n'est pas coutume. Quoique, je dois avouer que si cela pouvait devenir coutumier je ne me plaindrais pas. Au contraire. L'impatience court toujours. Je l'ai dépassée. Yeah. Je commence à aimer la course moi. Ne pas s'énerver pour autant en l'entendant parler. Se souvenir. Se délecter. Aller au cinéma. T'offrir les places. Rire. Rire. Sans jamais s'arrêter. Je ne sais pas m'arrêter. Vous pensez qu'il y a mur au bout ? J'espère pas.

Mercredi 20 février 2008 à 21:35

La retraite de communion... Bon c'était celle de mon frère. A part ça tout fut génial. Vraiment. Soulagement intense mardi matin quand je suis rentrée dans la salle. Beaucoup de rires. Et puis, vraiment beaucoup de rire. On se moque aussi, un peu. Normal quoi. D'excellents moments décidément, de l'ennui également, mais juste assez pour que l'on puisse apprécier pleinement le reste. De ces choses que je vous raconterai sûrement dans quelques mois parce que pour l'instant j'ai tout en tête. D'ici là certains moments plus forts ou plus marquants que d'autres prendront place au premier plan. Je dois aussi avouer que je suis complètement H-S. Mes mains sont encore une fois froides. Tant pis. Tant mieux d'ailleurs. Lorsque je me réveille à trois heures du mat et que je pète le feu je peux me dire que j'ai un problème. Quand une heure plus tard ce même problème me fait rire, toute seule dans ma chambre, je peux me dire que c'est un problème qui vaut le coup d'être conservé. Mon seul problème majeur c'est demain. Saperlipopette quoi.

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