Dimanche 10 février 2008 à 11:37
C'est en écoutant la radio dans ma salle de bains que je me suis rendue compte que ça commencait à urger, alors allons-y :
- recherche une tierce personne (comprenez qui n'est pas de la famille) disponible le 14 février, jour de la Saint Valentin mais surtout jour de l'anniversaire d'Adeline pour nous conduire et passer avec nous une journée à la plage (toutes les plages sont acceptées)
- recherche personnes pour aller au cinéma
- recherche personnes soit pour aller au concert de Girls in Hawaï à Lille en mars soit pour aller à un voire plusieurs concerts organisés sur la métropole dans le cadre du festival des Paradis Artificiels en avril.
Vous savez tout. Comme quoi ça commence à urger. Bien plus que mon bac blanc à mes yeux.
- recherche une tierce personne (comprenez qui n'est pas de la famille) disponible le 14 février, jour de la Saint Valentin mais surtout jour de l'anniversaire d'Adeline pour nous conduire et passer avec nous une journée à la plage (toutes les plages sont acceptées)
- recherche personnes pour aller au cinéma
- recherche personnes soit pour aller au concert de Girls in Hawaï à Lille en mars soit pour aller à un voire plusieurs concerts organisés sur la métropole dans le cadre du festival des Paradis Artificiels en avril.
Vous savez tout. Comme quoi ça commence à urger. Bien plus que mon bac blanc à mes yeux.
Samedi 9 février 2008 à 22:08
Personne ne me l'avait jamais dit "Tu peux pleurer devant moi tu sais".
Sauf que ce jour là ils y étaient . Même ceux que je n'avais pas attendu. Ceux qui étaient là au quotidien, ou presque. Les amis d'avant, les amis d'alors, les amis de maintenant. Lui n'y était pas, il m'a expliqué cette année qu'il n'y était pas allé parce qu'il ne l'avait pas vraiment connu. Et j'avais été étonnament soulagée de l'apprendre. Il n'était pas des hypocrites, des distributeurs automatiques de réconfort. Pas par pitié. Non. Ce jour là il y avait les sourires. La voiture de Lucie avec Simon et Thomas, Adeline je crois aussi, bizarrement je ne me souviens pas d'elle ce jour là, mais elle est dans ma tête pour tout le reste, il y avait les Tonneaux qui m'avaient invitée à rejoindre les rangs de la famille. Je n'avais pas osé de suite. Petite cousine. Que j'en ai pleuré entre toutes de n'être que la petite cousine. Il y avait Lucie qui est venue me prendre par la main au milieu de la cérémonie, pour que je rejoigne les élèves, les amis, derrière le chœur. Il y avait Thibault qui était en larmes, et mes larmes avec les siennes, et nos mains brûlantes ,humide, nous nous pleurions dessus, avec cette chaleur. Oui cette chaleur. M'en déchirer la gorge. Laisser les doigts glisser le long du bois tiède de ces gens qui l'aimaient. Déposer les fleurs. Je ne me souviens plus de l'ordre. Faire une haine d'honneur, toucher les autres, juste un geste à la place des paroles qui ne pouvaient pas sortir, se faire entraîner dans la procession par la petite dernière en larmes et qui m'avait choisie, moi. S'en dégager alors qu'ils amènent le cercueil dans la voiture. Et les bras de Thomas. Les bras de Thomas à qui j'ai seulement pu dire merci, bien après. Les bras comme ceux de tous. Il m'a dit que j'avais serré fort. Je pouvais pleurer. Je ne sais plus oublier. Je ne veux plus oublier. Qu'ils restent. Qu'il reste. A jamais. Ses bras.
Sauf que ce jour là ils y étaient . Même ceux que je n'avais pas attendu. Ceux qui étaient là au quotidien, ou presque. Les amis d'avant, les amis d'alors, les amis de maintenant. Lui n'y était pas, il m'a expliqué cette année qu'il n'y était pas allé parce qu'il ne l'avait pas vraiment connu. Et j'avais été étonnament soulagée de l'apprendre. Il n'était pas des hypocrites, des distributeurs automatiques de réconfort. Pas par pitié. Non. Ce jour là il y avait les sourires. La voiture de Lucie avec Simon et Thomas, Adeline je crois aussi, bizarrement je ne me souviens pas d'elle ce jour là, mais elle est dans ma tête pour tout le reste, il y avait les Tonneaux qui m'avaient invitée à rejoindre les rangs de la famille. Je n'avais pas osé de suite. Petite cousine. Que j'en ai pleuré entre toutes de n'être que la petite cousine. Il y avait Lucie qui est venue me prendre par la main au milieu de la cérémonie, pour que je rejoigne les élèves, les amis, derrière le chœur. Il y avait Thibault qui était en larmes, et mes larmes avec les siennes, et nos mains brûlantes ,humide, nous nous pleurions dessus, avec cette chaleur. Oui cette chaleur. M'en déchirer la gorge. Laisser les doigts glisser le long du bois tiède de ces gens qui l'aimaient. Déposer les fleurs. Je ne me souviens plus de l'ordre. Faire une haine d'honneur, toucher les autres, juste un geste à la place des paroles qui ne pouvaient pas sortir, se faire entraîner dans la procession par la petite dernière en larmes et qui m'avait choisie, moi. S'en dégager alors qu'ils amènent le cercueil dans la voiture. Et les bras de Thomas. Les bras de Thomas à qui j'ai seulement pu dire merci, bien après. Les bras comme ceux de tous. Il m'a dit que j'avais serré fort. Je pouvais pleurer. Je ne sais plus oublier. Je ne veux plus oublier. Qu'ils restent. Qu'il reste. A jamais. Ses bras.
Samedi 9 février 2008 à 21:36
Ce ciel est traître. Cette journée est traître. Ce n'est pas un ciel de même début février, ni de mi-février d'ailleurs. Ca n'est pas une journée de début de vacances. J'espère que ça n'est pas. Il n'est là que lorsqu'il pleut, et on dit tellement souvent "jamais deux sans trois" que j'ai envie de rêver d'une troisième fois. Une troisième fois qui serait aussi la première. Impossible mon amour. Il y a toujours moyen de s'arranger. C'est sûr. Si les objectifs sont négociables, s'ils ont une valeur autre. Là j'ignore tout. Les relations sont égoïstes, à la base du moins. C'est le sens de l'humour d'une amie qui m'informe. Nous relevons bien du tragi-comique. Tant pis. Mieux que rien. J'ai entendu dire qu'il allait pleuvoir cette semaine. Pour finir. Ce qui n'a pas commencé. Je me suis oubliée en route. Je me suis retrouvée, aussi.
Samedi 9 février 2008 à 21:28
L'important est invisible pour les yeux.
J'ai bien retrouvé et l'appareil photo, et la housse, et les piles, et le câble.
Samedi 9 février 2008 à 21:21
Trop tard. Tu vois ce ciel ? Et bien moi j'y ai déjà goûté. Je l'ai déjà touché. Il n'est pas aussi loin que ce que l'on croit, que ce que l'on veut bien croire et faire croire. C'est rassurant dans un sens, alors que dans l'autre c'est tout bonnement terrifiant. Parce que maintenant que j'y suis, je ne veux plus en redescendre. Ca pourrait sembler logique. Ca pourrait. Mais je suis devenue une adepte de l'autre sens. Contre ma propre volonté. Je m'y suis perdue, trop de vague, trop de couleur, trop de lumière pour moi.
Samedi 9 février 2008 à 18:58
Je crois que les deux sont repartis ensemble. Pourquoi pas. C'est à voir. Normalement je serais tout à fait optimiste. Enfin... Normalement, avant devrais-je dire. Aujourd'hui ma vision des choses a bien changée. Je n'ai pas vraiment eu le choix. J'ai l'impression que cette évolution fut réalisée sans moi. Je me suis réveillée un matin en ayant changé, et je n'ai toujours pas envie de réfléchir aux raisons qui ont provoqué ce changement. Bonne chance ou bon courage ? Je ne sais pas ce qu'il faut leur souhaiter. De ne pas se casser la gueule encore une fois sûrement. Il semblerait que plus on insiste plus ça fait mal. Je n'ai pas encore eu le plaisir de tester. Pour l'instant je m'en porte assez bien. En même temps... Non. Ça devient trop facile et trop personnel après. D'abord.
Samedi 9 février 2008 à 12:27
"Tu étais passée déjà une fois sur mon blog, et tu y avais laissé un commentaire très très gentil qui m'a touchée.
depuis je n'ai pas trouvé un seul moment digne de t'être accordé, et à chaque fois, c'est drôle quand je mets les pieds ici, je trouve que ton univers est pensé, chaque millimètre, tout est pensé, et tout est toi, tellement toi.
Chaque mot est à sa place, tu as un pouvoir de dissuasion, et de persuasion tout simplement incroyable, tu manies parfaitement et ici tu es en maître.
Cet article est tout simplement GENIAL. Le pire c'est que tu peux en faire plusieurs en une seule journée ils seront tous très bons. Ils sont suffisamment abstraits pour qu'on puisse faire facilement abstraction d'une sorte de journal du style : à 2 h je suis allée en ville avec les copines, c'est comme un voyage en plein milieu de tes sentiments, et ce sont les meilleurs journaux intimes.
C'est personnel, c'est universel.
C'est la.grande.mymy"
Hustle and bustle.
Comment voulez-vous ensuite songer parfois à fermer cet endroit ?
depuis je n'ai pas trouvé un seul moment digne de t'être accordé, et à chaque fois, c'est drôle quand je mets les pieds ici, je trouve que ton univers est pensé, chaque millimètre, tout est pensé, et tout est toi, tellement toi.
Chaque mot est à sa place, tu as un pouvoir de dissuasion, et de persuasion tout simplement incroyable, tu manies parfaitement et ici tu es en maître.
Cet article est tout simplement GENIAL. Le pire c'est que tu peux en faire plusieurs en une seule journée ils seront tous très bons. Ils sont suffisamment abstraits pour qu'on puisse faire facilement abstraction d'une sorte de journal du style : à 2 h je suis allée en ville avec les copines, c'est comme un voyage en plein milieu de tes sentiments, et ce sont les meilleurs journaux intimes.
C'est personnel, c'est universel.
C'est la.grande.mymy"
Hustle and bustle.
Comment voulez-vous ensuite songer parfois à fermer cet endroit ?
Vendredi 8 février 2008 à 21:47
Elle a trouvé la manière parfaite. On pourrait au moins lui laisser ça. Et puis la danse. Cette envie furieuse de chausser ses demi-pointes et de danser. Dans le silence. Ce serait fort joli, elle en est persuadée. Le silence habite les rêves. C'est vrai ça : elle fait des rêves silencieux. Mais elle trouve cette absence de bruit fort désirable. Elle la désire d'ailleurs. Le reste avec. Il faut encore trouver la patience. Le gris qui va avec le noir. Le moment qui va avec le sentiment. La bonne réponse pour la bonne question. Le couloir. La sortie. Le grand air. La feinte. Le jeu. Le risque. S'élancer vers ce qui risque d'être la plus grande de toutes ses aventures : la révélation.
Vendredi 8 février 2008 à 19:18
Je suis heureuse. C'est grave docteur ? Tu vois j'ai un sourire qui m'arrive sur le visage, paf, comme ça, par surprise. C'est souvent, et surtout c'est pour assez longtemps, il ne part pas de suite. C'est étrange. A 12h50 pourtant j'étais blasée. De quoi je ne sais pas trop. Mais oui, l'analyse était bonne : j'étais blasée. Suffisamment pour être maussade. Sauf que voilà. Paf ! Paf ! Et repaf ! De ces journées qui vous donnent l'impression d'être belle. Enfin. Plutôt d'être de belle humeur. Oui, c'est une belle humeur. Maintenant il faut faire en sorte qu'elle ne retombe pas. Et ce soir c'est pizza. Et c'est msn. Et c'est et c'est. Sourire. Je suis heureuse. On ne touche plus à rien ! Ah si, une ombre au tableau. Qui ne devrait pas être une ombre d'ailleurs. Merde alors. Quoique. Sinon on ne verrait pas la lumière. Non non non ! Je suis heureuse. Je n'aurais pas dû rajouter ces dernières lignes. Bonheur. Bonheur. Plus que ça.
Au fait, quelqu'un a laissé un message adorable sur mon répondeur : qui ?
Jeudi 7 février 2008 à 22:59
C'était un autre choix, parmi tant d'autres, de ces choix qu'elle n'avait pas vraiment faits. Qui s'étaient imposés d'eux-mêmes. Comme beaucoup de choses d'ailleurs. Mais elle ne s'en plaignait pas. Enfin, pas trop. Il lui reste assez de fierté pour garder cachées les supplications qu'elle sait vaines. C'est à dire un nombre incalculable. Faut pas pousser non plus : être logique. Et puis quoi encore ? La seule logique qu'elle pourrait y trouver c'est une certaine concordance entre les événements. La soirée n'avait pas été bonne pour l'une, même si ce n'était pas véritablement cette soirée : elle l'avait appris bien après la rupture. Comme l'après midi n'avait pas été bonne pour l'autre. Toujours de manière rétroactive.
Jeudi 7 février 2008 à 22:19
Juste pour vous dire de lire ce webcomic, vraiment très bon, je trouve.
Tous les épisodes ne sont pas traduits en français, alors un conseil : lisez les épisodes traduits, puis quelques uns en anglais de ceux que vous avez déjà lu et ensuite mettez vous aux originaux. Ca vaut le détour.
Sinon c'est aussi pour cette réflexion de Marten que j'adore : "Les mecs le savent. La barbe est une manière de dire : "aujourd'hui je suis tellement célibataire que je me fous d'avoir ces sales poils sur la face" " Charmant n'est-il pas ?
Ah, et aussi : écoutez les conseils musicaux prodigués par les traducteurs et ayez la curiosité de chercher les morceaux ou les groupes cités dans l'histoire. C'est gégé.
Ah, et aussi : écoutez les conseils musicaux prodigués par les traducteurs et ayez la curiosité de chercher les morceaux ou les groupes cités dans l'histoire. C'est gégé.
Jeudi 7 février 2008 à 18:41
C'est éclater de rire, seule devant son ordi parce qu'on a fait quelques recherches google dont les résultats sont très mais alors très drôles.
C'est ne toujours pas connaître mon emploi du temps.
C'est attendre le prochain mardi qui se présentera.
C'est avoir des places de cinéma à liquider.
C'est chercher quelqu'un pour venir à un concert.
C'est espérer pouvoir montrer un jour les photos.
C'est écouter attentivement un cours de maths.
C'est tenter de prévoir.
C'est rire encore.
C'est se demander si les choses pourraient être différentes.
C'est ne toujours pas connaître mon emploi du temps.
C'est attendre le prochain mardi qui se présentera.
C'est avoir des places de cinéma à liquider.
C'est chercher quelqu'un pour venir à un concert.
C'est espérer pouvoir montrer un jour les photos.
C'est écouter attentivement un cours de maths.
C'est tenter de prévoir.
C'est rire encore.
C'est se demander si les choses pourraient être différentes.
Jeudi 7 février 2008 à 18:16
Etonnée mais enchantée des réactions quant à la chanson de Scala qui se trouve dans un de mes derniers articles, je vous pose la question suivante : voulez-vous une musique de fond pour ce blog ?
Scala pour commencer, mais après j'ai d'autres choses fort sympathiques dans ma bibliothèque, ou du moins je les trouve sympathiques.
Scala pour commencer, mais après j'ai d'autres choses fort sympathiques dans ma bibliothèque, ou du moins je les trouve sympathiques.
Mercredi 6 février 2008 à 21:09
Je m'accroche, je m'accroche.
Et partout où je retrouve cette couleur je m'accroche. Pourquoi l'écrire à l'encre verte sur une feuille blanche contre la vitre d'un bus qui va trop vite ? Pour ne pas l'écrire en bleu je suppose. J'ai mal aux bras. A force de m'accrocher ? Non ! Ce ne sont pas les bras qui me permettent de m'accrocher. Ce sont les pensées. A chaque fois j'oublie pourtant. J'oublie de les mettre en avant, j'oublie de les exprimer. J'oublie de les faire passer. Les yeux sont le miroir de l'âme. C'est ça. Mon oeil j'ai envie de dire. Comme ma professeure de français qui développait sur un poème de Baudelaire une thèse selon laquelle les yeux ne savent pas mentir. Ils peuvent manquer à l'appel par contre, j'en suis la preuve vivante. Je pense qu'ils peuvent mentir également. Mais bref, là n'est pas la question. Pourquoi mes pupilles sont-elles paniquées ? Je sais ce qu'il y a à dire, et bien. Quand j'y repense je ne peux m'empêcher de trouver cette incapacité stupide. C'est de pire en pire. Je fais tant d'efforts pour m'accrocher que j'oublie quel en est l'enjeu. Devenir paranoïaque ? Pourquoi pas. Je le suis déjà d'une certaine manière. Je garde juste assez de jugeote pour m'apercevoir que je n'ai pas à l'être. Et que même si je pouvais l'être (et non si j'avais à l'être : on est obligé de rien ) je ne supporterais de le devenir véritablement. En théorie je n'ai jamais supporté ça. Viendra le moment de lier théorie et pratique. Je croise les doigts.
Et partout où je retrouve cette couleur je m'accroche. Pourquoi l'écrire à l'encre verte sur une feuille blanche contre la vitre d'un bus qui va trop vite ? Pour ne pas l'écrire en bleu je suppose. J'ai mal aux bras. A force de m'accrocher ? Non ! Ce ne sont pas les bras qui me permettent de m'accrocher. Ce sont les pensées. A chaque fois j'oublie pourtant. J'oublie de les mettre en avant, j'oublie de les exprimer. J'oublie de les faire passer. Les yeux sont le miroir de l'âme. C'est ça. Mon oeil j'ai envie de dire. Comme ma professeure de français qui développait sur un poème de Baudelaire une thèse selon laquelle les yeux ne savent pas mentir. Ils peuvent manquer à l'appel par contre, j'en suis la preuve vivante. Je pense qu'ils peuvent mentir également. Mais bref, là n'est pas la question. Pourquoi mes pupilles sont-elles paniquées ? Je sais ce qu'il y a à dire, et bien. Quand j'y repense je ne peux m'empêcher de trouver cette incapacité stupide. C'est de pire en pire. Je fais tant d'efforts pour m'accrocher que j'oublie quel en est l'enjeu. Devenir paranoïaque ? Pourquoi pas. Je le suis déjà d'une certaine manière. Je garde juste assez de jugeote pour m'apercevoir que je n'ai pas à l'être. Et que même si je pouvais l'être (et non si j'avais à l'être : on est obligé de rien ) je ne supporterais de le devenir véritablement. En théorie je n'ai jamais supporté ça. Viendra le moment de lier théorie et pratique. Je croise les doigts.
Mercredi 6 février 2008 à 19:10
Ramasse une pièce à terre.
Je ne pouvais pas faire mieux. Mais je crois que ça ne suffira pas. Les vacances arrivent à grands pas et je sens que je vais les accueillir avec soulagement. Il y aura probablement un manque mais je tiendrai bien le coup : ce manque là me laissera le temps nécessaire pour préparer le terrain. Je suis pourtant une fervente partisane de l'improvisation, cependant certains choses méritent qu'on leur accorde toute notre attention ainsi que beaucoup de temps. De toutes manières si on ne s'y résoud pas elles prennent ce dont elles ont besoin sans nous consulter au préalable. C'est peut-être ça la véritable autonomie.
J'aimerais enlever le "peut-être" et commencer avant de finir.
Si ça marche je n'oublierais pas de faire bipper cette fois-ci.
Je ne pouvais pas faire mieux. Mais je crois que ça ne suffira pas. Les vacances arrivent à grands pas et je sens que je vais les accueillir avec soulagement. Il y aura probablement un manque mais je tiendrai bien le coup : ce manque là me laissera le temps nécessaire pour préparer le terrain. Je suis pourtant une fervente partisane de l'improvisation, cependant certains choses méritent qu'on leur accorde toute notre attention ainsi que beaucoup de temps. De toutes manières si on ne s'y résoud pas elles prennent ce dont elles ont besoin sans nous consulter au préalable. C'est peut-être ça la véritable autonomie.
J'aimerais enlever le "peut-être" et commencer avant de finir.
Si ça marche je n'oublierais pas de faire bipper cette fois-ci.
Mercredi 6 février 2008 à 18:50
Quelques mots. Qui pourraient largement suffire à déclencher la caméra. Mais si la caméra, vous savez bien : pour me faire des films. On a pas encore trouvé mieux pour ce faire. En attendant je regarde en simple spectatrice, plus pour très longtemps, je l'espère. Certains sont meilleurs acteurs que d'autres, même s'ils ne sont pas ouvertement déclarés en tant que tels. C'est de là que vient tout leur génie d'ailleurs. Quelle différence entre le mensonge, le charme et la comédie ? Le contexte. Les comédiens se retrouvent sur scène, donné en pâture aux regards. Les charmeurs et les menteurs eux choisissent plus ou moins leur public, leur marge de manoeuvre est nettement plus importante. Et surtout, s'ils ne récoltent pas les lauriers et les récompenses officielles lorsqu'ils excellent, eux peuvent souvent choisir leurs gains. Il s'est décidé et déjà pour ça, c'est un minimum, je respecte et j'admire.
Mardi 5 février 2008 à 21:17
Mardi 5 février 2008 à 20:53
Il fallait parler un peu aussi de ces hommes qui ne changeaient pas ma vie mais qui l'amélioraient. Ils étaient moins nombreux qu'on aurait pu le supposer. C'étaient ceux qui me faisaient sourire avec un simple message, quelques minutes passées sur msn ou le son de leur voix au téléphone. Qui me faisaient découvrir leur musique ou encore mieux me la jouait. C'étaient les guitares, les pianos, la basse, la batterie et les ordinateurs suréquipés. C'étaient les soirées passées devant la télé ou les après-midi à faire du sport. C'était et c'est toujours. Heureusement d'ailleurs.
Et puis ce n'est pas celle que je préfère mais elle me fera toujours rire.
Et puis ce n'est pas celle que je préfère mais elle me fera toujours rire.
Lundi 4 février 2008 à 21:18
Ca flirte gentiment. Il n'y a pas d'autres vraies manières de flirter selon lui je crois. Je m'en fous : j'adhère. Je m'arrête là parce que je n'avais que ces deux phrases en tête. Alors j'ai essayé d'imaginer la suite, et puis le lui qui pourrait se trouver derrière un article pareil. En fait il faudrait que je fasse des descriptions, pour qu'on me laisse enfin tranquille. Sauf que je n'aime pas les descriptions. Je dis une connerie là. J'aime bien les descriptions, physiques, morales, psychologiques, là n'est pas le problème. C'est juste que je n'ai pas envie d'en faire. Parce que ce n'est pas là-dessus que je me concentre. Si à chaque texte je devais me faire le film qui va avec le scénario il y aurait effectivement de grandes chances pour que je finisse au bout d'une corde. Franchement, les personnes qui passent leur temps à m'insulter ne méritent pas qu'on leur fasse ce plaisir. Mettez-y les prénoms et les visages que vous voulez. Peu m'importe.
Lundi 4 février 2008 à 21:05
Six mots. Qu'est-ce qu'il en a à foutre ? Il a demandé pourtant. Je présume que je devrais en être contente. Ce qui ne m'a pas empêché d'avoir été jalouse à un moment donné. Le pire c'est la résonnance qu'il y avait avec mon texte d'hier soir. J'avais envie de lâcher un "salaud" mais à ma manière, je te hais je t'aime quoi. J'ai détourné la tête une première fois, bêtement. Et plus après. Ca rassure de savoir que je peux toujours accrocher ce regard. Nous serions mille à pouvoir le faire que ça me rassurerait malgré tout.
Et puis la musique viendra plus tard.
Et puis la musique viendra plus tard.