Lundi 11 juin 2007 à 16:40
Cest vrai ça, et pourquoi pas. Ce soir pas d'article je crois : Adeline est chez moi. Bah, on en profitera pour prendre des photos. Et les ES sont tombés sur les préjugés et le travail pour l'épreuve de philo... J'en connais beaucoup qui vont être soulagés ! Bonne chance pour la suite et un énorme "Merde" à Raf pour demain. Oui je me répète. Ca dérange quelqu'un ? Bien. Ah, aussi, n'oubliez pas :
Lundi 11 juin 2007 à 9:06
Le 13 juin chez Pyrus et RVP, projet bizarre et plus délirant qu'autre chose mais qui aurait finalement pu se concrétiser : trop juste niveau autorisation et pas assez d'argent.
Fin juin début juillet chez Ladypirate : pas assez d'argent
Du 15 au 27 juillet à Lyon : on peut à tout moment me retirer l'autorisation et je n'ai pas fini de payer mes billets....
Août chez Bee : pas assez d'argent, même plus la peine de demander l'autorisation.
Bah malgré ce compte clair et net, je n'ai pas l'impression que ma tirelire soit l'une de mes meilleures amies ces temps-ci....
Dimanche 10 juin 2007 à 21:49
Pourtant j'en ai rêvé. Nous étions trois avec Paris et la pluie. Les bords de Seine. Ton sourire qui s'était enfui, qui était tombé avec le masque.
Je voulais te le rendre. Je parlais du théâtre. Je te faisais jouer l'équilibriste sur un pont glissant, tu prenais ma main pour en descendre. Dans ce rêve je parvenais à t'en accrocher un autre de sourire, un vrai, un sincère que le temps ne pouvait pas amenuiser. C'était si beau que je n'y croyais pas. C'était aussi confus, parce qu'il n'y avait pas de gêne et que je n'y croyais pas non plus : cela devait être un accident et tu ne disais rien parce que ça n'en valait pas la peine.
L'antiquaire chinois et un cadeau-surprise qui n'avait rien d'une surprise. Moi je m'éloignais et je te cherchais. Une parole que je prends comme un défi, alors je le fais. J'ai à peine le temps de profiter de cette acalmie et de ce réconfort que cette situation rêvée m'apportait que je croise le regard de ton frère. C'est lui qui me fait comprendre que dans le rêve tout est vrai. Et en même temps c'est lui qui me réveille. J'ai fait le rêve de tes bras. Sacré regard.
Enfant de mots parce qu'il ya de tout mais une chose qui les rejoint.
Lui*
L'autre(s)
et Romain...
Dimanche 10 juin 2007 à 20:11
Je suis l'exemple de ton assitante. Ton cadeau de confirmation se trouve entre tes chaussons de jazz et ton débardeur noir.
J'aurais peut-être mieux fait de donner pour tes voyages. Mais bon, tes chers fantastiques t'enlèvent à moi pour la durée du stage, faut pas abuser non plus.
Tu vas nous manquer.
Dimanche 10 juin 2007 à 19:36
Merci.
Dimanche 10 juin 2007 à 13:57
Ils ont beaucoup parlé de Romain...
Samedi 9 juin 2007 à 22:26
Margaux, ma chérie
Je ne sais pourquoi tu m'as choisi comme parrain . Je sais cependant pourquoi j'ai accepté tu es ma petite fille. Comme tout papy j'ai guidé tes premiers pas. Mais très vite c'est toi qui m'a guidé sur les chemins de la vie.
Tu m'as fait redécouvrir, revivre des merveilles oubliées, des émotions à partager.
En grandissant, tu m'as ouvert ton monde. Pas un monde personnel, imaginaire. Non. Un monde construit d'expériences nouvelles, enrichissantes, bâti sur le socle solide des amitiés.
Je parle ici d'amitiées au pluriel. Mais il ne s'agit nullement d'amitiés multiples, nouées et dénouées au jour le jour. Non, tu tisses des amitiés solides, vraies, à travers tes rencontres autour de tes passions.
Tu es curieuse de la vie et tu vis tes passions.
Je voudrais te dire la fierté que j'éprouve quand je vois la jeune fille que tu es devenue. Résolument extravertie, tu sais être à l'écoute des autres, être disponible et apporter l'aide demandée.
Aujourd'hui, tu renouvelles ton engagement de chrétienne. C'est un choix que tu as fait seule et qui, j'en suis certains, tu continueras d'assumer seule avec succès.
Mais tu n'es pas seule, Margaux.
Je voudrais aujourd'hui te dire que tous mes voeux t'accompagnent : que tu poursuives tes engagements, tes amitiés, tes passions ! Garde tes valeurs, ces valeurs qui feront que, quelles que soient les embuches tu puisses y puiser la force et le courage de continuer.
Ces voeux nous les formulons tous, nous tous qui t'aimons et t'accompagnons aujourd'hui par notre présence ou notre prière, en cette magnifique journée que tu nous offres.
Avec tout mon amour
Je vois Lyon, je vois Caen... Je vois Paris.
Mon grand-père sait que ce n'est pas mon "seul centre d'intêret", mais il sait aussi que c'est désormais une énorme part dans ma vie, il l'accepte et il le comprend. Comme demain il comprendra que j'ai un avis très personnel sur la religion, je crois aux hommes, pas forcément à l'Eglise. Il comprendra pourquoi même si je ne partage pas cela avec eux mes pensées seront avec eux. Et c'est pour ça que c'est mon parrain. Je voulais un homme qui soit présent dans ma vie et vers qui je puisse toujours me tourner, pour n'importe quoi. Mon grand-père est la personne au monde, unique, qui me connaît entièrement, moi et toutes mes facettes.
Et si je vous le dis à vous. Si je vous fait part de ces sentiments très personnels c'est parce que je sais et j'espère que parmis vous se trouvent de ces gens à qui je penserai énormément demain. De ces gens qui me manqueront.
J'aimerais aussi que tout ce qu'il dise soit vrai. Ou le devienne.
Et juste quand je commencais mon article.
La musique s'est mise en route.
Quant à la catégorie... Ca ne s'explique plus.
Samedi 9 juin 2007 à 14:26
"La vie n'est pas ce que tu crois. C'est une eau que les jeunes gens laissent couler sans le savoir, entre leurs doigts ouverts. Ferme tes mains, vite. Retiens là.".
Samedi 9 juin 2007 à 14:08
Je ne respire plus. Je ne vis plus. J'attends.
Samedi 9 juin 2007 à 13:59
Mesdames et Messieurs le spectacle est terminé
On tire le rideau
Mesdames et Messieurs en espérant vous avoir fait rêver
On tire le rideau
Mesdames et Messieurs merci de vous être déplacés
On tire le rideau mais mesdemoiselles, mes demoiselles..
n'oubliez pas d'exister...
C'est vieux.
Vendredi 8 juin 2007 à 19:22
Je lisais un sms (<3) il y a de cela trente minutes quand j'a été aveuglée par le premier éclair.
La foudre n'est pas tombée loin, vraiment pas loin.
C'était un de ces éclairs qui rentrent par les fenêtres. Je ne sais pas si vous connaissez.
Tu crois que je peux tenir longtemps comme ça ? Oh oui, il y a de l'électricité dans l'air, c'est sûr.
Ecrire c'est impertinent. Mon impertinence t'emmerde.
Quand je suis sortie l'averse était passée, comme de par hasard. Le ciel et moi on sera jamais d'accord.
En lui parlant je joue sans réfléchir avec un briquet et a posteriori ça me donne un pitoyable pauvre petit sourire. (Oui, tout à la fois).
Retourner en décembre. Non. Octobre. Non, septembre. Mieux encore, juin et ne pas avoir cette foutue conversation, pour ne pas avoir celle du mois d'août mais en même temps je ne suis pas prête à prendre le risque de gâcher le reste.
C'était hier soir. Ce soir mon sourire est encore plus pitoyable. Plus d'électricité, juste la pluie qui tombe, pas une pluie de rage (Ô rage... Orage. Oui mais non.), non une faible pluie de tristesse.
Et ce voile sur ma voix, qui lui fait dire qu'il ne manquerait vraiment pas grand chose pour que cela soit bon. En ce moment je n'y parviens pas.
Vendredi 8 juin 2007 à 17:32
C'est pour ça que je me souviens de longue promenade en forêt avec la grosse BMW de la police.
C'est pour ça que je me souviens de la vitesse et de mes cheveux qui volaient partout, en dehors et en dedans du casque.
C'est pour ça que je me souviens de la dame qui lui a foncé dessus alors qu'il traversait un point.
C'est pour ça que je me souviens de l'hôpital, avec l'odeur de la maladie et du produit aseptisant.
C'est pour ça que je me souviens de la vente de sa première moto. Et que je pensais même qu'il allait pleurer. C'est fort pourtant mon papa.
Vendredi 8 juin 2007 à 12:34
Nuit-ordinateur-passé-cendriers-tellement-vole-enfants-visage-bine-seconde-année-plusieurs-Paris
Ca fait mal de voir les gens partir. Ces gens qui nous avaient promis de ne jamais fuir. J'ai du mal à croire encore aux promesses. L'expérience je suppose. On se retrouve perdu et sans repères et il ne reste plus qu'à attendre. Que cela finisse. Que le rideau tombe ou que le "the end" apparaisse dans un coin de l'écran. Tout en noir et blanc. Ce n'est pas une question d'esthétique, c'est pire, c'est une histoire, une authenticité.
Jeudi 7 juin 2007 à 19:31
Les gens de la communauté cowblog sont vraiment tous plus exceptionnels les uns que les autres. Et j'aurais des "Merci !" à répandre par milliers. Ca prend du temps, alors j'y vais progressivement, si je me répète tant mieux. Je viens de me mettre à croire une chose : le temps passe beaucoup plus vite pour moi à écrire que pour vous à lire. Alors j'ai de la marge. C'est vrai qu'il y a de la place ici. On pourrait s'y mettre à plusieurs. Et pourtant je songe à faire autre chose, un ailleurs, sans fermer celui là bien sur. Et puis c'est un projet dans le vague, à long terme en plus, et le long terme je suis pas douée pour ça. Bon anniversaire à notre cher bassiste belge, en pleine période d'examens, je reconnais qu'il est très fort. Ils vont me manquer mine de rien mes 6èmes, et pourtant je ne pense pas recommencer l'an prochain, rendez-vous compte, ils ont tenté de m'acheter avec une boîte de Ferrero Rochers mais je suis au-dessus de ça. Ce qui ne m'a pas empêché de les engloutir. Je ne suis pas allée au chant aujourd'hui, la prof n'est pas revenue et j'avais une dissertation à faire. Des priorités. Mon oeil. A partir de septembre je n'ai plus le droit à l'erreur. A partir de septembre c'est pour Sciences Po.
Jeudi 7 juin 2007 à 19:14
En chimie, la stœchiométrie (du grec : "στοιχειον" = stoicheion (« élément ») et "μετρειν" = metrein (« mesure »)) est le calcul des relations quantitatives entre réactifs et produits au cours d'une réaction chimique.
Jeremias Benjamin Richter (1762-1807) fut le premier à énoncer les principes de la stœchiométrie, en 1792. Il écrivait alors :
«La stœchiométrie est la science qui mesure les proportions quantitatives ou rapports de masse dans lesquels les éléments chimiques sont impliqués.»
Made in Wiki.
Comprenne qui pourra.
Ils vont me manquer ces 6èmes en fait.
Mercredi 6 juin 2007 à 22:38
Je comptais me faire une énorme réserve de joie de vivre auprès des gens heureux. Mais qui l'est encore réellement, heureux ? Parfois je me dis que ça n'est qu'une illusion, un leurre. D'autres je trouve ce bonheur comme un état de faiblesse, une preuve de l'accord au monotone et à l'insipide.
Au bout de dix mois leur histoire s'arrête, elle ne l'aime plus. Au bout de... Trop compliqué, leur histoire s'arrête, il s'aiment mais ce n'est pas assez. Au bout de deux ans il court toujours après elle et elle toujours après lui, et aucun d'entre eux ne rattrapera l'être coursé et tant aimé.
Si, pour être honnête il y a toujours des rires et des éclats brillants, si il y a encore des conversations et des gens dont je ne peux me passer. Pourquoi ai-je donc la sensation d'avoir perdu une partie de moi-même ?
Les branches sont toujours recouvertes de feuilles mais le tronc a été scié. L'arbre lui est tombé sur la gueule. C'est pas moi qui le dit. Ouais, tu avais raison Clément ce jour où tu as relançé mes larmes. Ouais, l'arbre lui est tombé sur la gueule. Il s'est cassé la gueule, il lui a cassé la gueule aussi. Il, l'arbre ou lui. Il lui est tombé sur la gueule. Et j'y pense tous les matins avant de me regarder dans le miroir. Merde à la fin, c'est quoi une vie ?
J'aimerais être acide et amère. Je ne pensais pas écrire ça.
Mercredi 6 juin 2007 à 20:37
Mercredi 6 juin 2007 à 19:56
Fille 2 : Et tu le préviens grace à cet article ?
Fille 1 : Oui. Et aussi qu'au prochain tag, commentaire, email, en fait quelconque preuve de son existence ou mention de cette dernière, je... Je... Bref.
Fille 3 : Hey ! Faites gaffe, vous avouez donc qu'il passe ici et qu'il a ton msn. D'autres choses aussi. Je ne le dis pas, par une élementaire prudence .
Fille 1 : Tu lui expliques ou je m'énerve ?
Fille 2 : J'hésite. Bon tant pis. Fille 3, ta prudence ne paye pas. Et regarde dans quel état elle nous met.
Fille 3 : On verra.
Fille 1 : J'espère.
Mercredi 6 juin 2007 à 14:38
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Mercredi 6 juin 2007 à 14:01
Je dis encore, Attendez-moi j'arrive.
Faudrait crier au secours.
Crier très fort. T'es pas bien, si quelqu'un
s'amenait. Gueuler. Promettre d'être sage. Avec
des sanglots. Et des Maman maman.
J'ai passé l'âge.